Les robots

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Tiens, au fait, tu sais qu'aujourd'hui on a plus les moyens d'aller sur la Lune. Les données et les calculs précédemment disponibles sont stockés sur des supports dont il n'existe aucune machine capable de les lire et dont les plans de la machine sont, eux aussi, sur ces types de support. C'est un peu comme envoyé une caisse avec, pour l'ouvrir, le pied de biche à l'intérieur. C'est pas une blague, c'est de l'aveu même de la Nasa.

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>>Tiens, au fait, tu sais qu'aujourd'hui on a plus les moyens d'aller sur la Lune. Les données et les calculs précédemment disponibles sont stockés sur des supports dont il n'existe aucune machine capable de les lire et dont les plans de la machine sont, eux aussi, sur ces types de support. C'est un peu comme envoyé une caisse avec, pour l'ouvrir, le pied de biche à l'intérieur. C'est pas une blague, c'est de l'aveu même de la Nasa.


La bonne blague,

L'un des projets les plus couteux du siécle dernier, que l'on ne peut pas réiterer parce qu'on a perdu les papiers, alors que les technologies ont toutes faites un bond exponentiel...

Tout améne à croire que cet exploit est en fait une grosse farce.
 
>>Tiens, au fait, tu sais qu'aujourd'hui on a plus les moyens d'aller sur la Lune. Les données et les calculs précédemment disponibles sont stockés sur des supports dont il n'existe aucune machine capable de les lire et dont les plans de la machine sont, eux aussi, sur ces types de support. C'est un peu comme envoyé une caisse avec, pour l'ouvrir, le pied de biche à l'intérieur. C'est pas une blague, c'est de l'aveu même de la Nasa.


La bonne blague,

L'un des projets les plus couteux du siécle dernier, que l'on ne peut pas réiterer parce qu'on a perdu les papiers, alors que les technologies ont toutes faites un bond exponentiel...

Tout améne à croire que cet exploit est en fait une grosse farce.

Il ne s'agit pas de papiers, il s'agit de documents sous format électronique. La rétro-ingénierie a ses limites.

De même que de nombreux savoirs ont été perdus (et retrouvés par petits fragments) dans le temps quand divers centre de savoirs se sont ramassés une invasion. C'est le problème de la centralisation des savoirs et c'est, justement, un des buts de la montée en puissance de l'informatique et de la coopération en terme de bases de données universitaires que de contrer cet effet.

Quand on étudie l'histoire humaine, on se rend compte que des civilisations vivant au même endroit ont, plusieurs fois, dû réinventer des technologies qui étaient connues 50-100-200 ans auparavant. Parce que le savoir s'est "perdu".
 
SNCF : des robots autonomes pour nettoyer les gares en france

Après plusieurs mois de tests, la SNCF mise sur la propreté et déploie dans ses gares ses robots nettoyeurs autonomes.

La SNCF multiplie les robots nettoyeurs de sol
« La propreté des gares contribue directement à la satisfaction et au bien-être de nos clients », expliquait la SNCF en février 2016. En effet depuis 2015, la SNCF mise sur les robots présents dans ses gares, tout en promettant que ces derniers ne prendront pas les emplois des agents, mais seraient là pour les aider.

Après Pepper, le robot humanoïde présent dans les gares pour renseigner les voyageurs,

la SNCF a testé les robots nettoyeurs de sol, appelés Swingobot.

D’abord testés dans quatre gares SNCF, gares de Lyon et du Nord à Paris, Aix-en-Provence et Bordeaux, ils sont aujourd’hui contractualisés, comme le confirment nos confrères des Échos. Ils nous apprennent également qu’un « robot voltigeur laveur a aussi été testé dans la gare de Valence-TGV pour nettoyer les vitres en hauteur et enlever les toiles d'araignée. »

« Si vous n’allez pas à la poubelle, la poubelle viendra à vous ! »
Peut-être avez-vous déjà croisé BARYL lors de votre passage dans une gare SNCF ?

B.A.R.Y.L., c’est le nom du robot-poubelle testé depuis novembre 2016 : dans la gare de Lyon à Paris puis dans les grandes gares. Il se trouve aujourd’hui dans la gare d’Aix-en-Provence.

D'une autonomie de cinq à six heures, ce petit bijou de technologie « se déplace de manière aléatoire dans un périmètre défini au sein de la gare et vient vers l'usager qui lui fait signe.
Il envoie un SMS quand il est plein et qu'il faut le vider.
Muni d'une caméra 3D, d'un système de télédétection par laser Lidar et de capteurs », peut-on lire dans les colonnes des Échos. Baryl continuera la tournée des gares pour lui permettre d’apprendre par l’expérience et d’optimiser ses réactions, avant peut-être de s'y installer définitivement un jour...

https://le-mag.radins.com/actualite...jt_17h&utm_medium=email&utm_campaign=24-12-18

mam
 
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