Les TDA moins de patience : effets internet ?

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fonction executif

 
inhibition ?

methode de modelisation :


recette de cuisine :

methode toyotisme (kondo): strategie efficacité sun tzu

outils

esthetisme art de la table gastronomie degustation gourmandise critique

rangement

 
organisation
transition passage theorie a la pratique approche asiatique occidental


De facon simple clair et en quelque ligne comment mieu gerer optimisé : son temps et son energie tout en etant plus efficient ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Efficience

L'anglais comporte quatre termes (efficacy, efficiency, effectuality, effectiveness) là où le français n'en comporte que deux (efficacité et efficience).

4 causes : (quoi) matierel (quel ) forme (qui-comment ) efficient (pourquoi) finalité

Outils ustentile (materiaux ) objet ...
Efficacious serait l'efficacité appliquée aux objets,
particulièrement aux traitements,
et renvoie à la capacité de produire l'effet désiré.

Efficient s'applique aux agents, à leurs actions ou aux instruments,
et renvoie à la tendance à produire l'effet désiré
avec un minimum d'effort ou de dépenses.

Effectual s'applique à l'action indépendamment de l'agent
et signifie ne pas produire moins que l'effet complet visé.

Effective s'applique à l'action accomplie ou à l'acteur d'une telle action
et renvoie au haut degré d'effet de l'action.
 
proceder par etape : lecture lettre par lettre etymon mot .... a+b b.a ba



l'ideal serai de pouvoir generer sa propre energie et cela sans perte (tension usure ...):
https://www.bladi.info/threads/100000-questions.451080/page-3#post-15118875

bien etre : alimentation et gestion physique et mentale :
https://www.bladi.info/threads/cherche-tableau-citant-apport-nutritif.453908/#post-15123833
https://www.bladi.info/threads/cherche-differente-forme-meditation-relaxation.453958/#post-15124843


ce qui suit peut etre vrai dans certain cas et pas dans d'autre :
1/la chose la plus difficile c d'apprendre à avoir le bon timing : faire les bonne choses au bon moment

2/prendre son temps
(calme ...) et etre constant
deja je sais que l'on ne doit pas confondre rapidité et précipitation
car souvent ce qui est précipité est baclé ...

parfois la lenteur donne de meilleur resultat car on s'epuise moin vite et on evite des erreurs
donc faut mieu etre lent et constant que rapide et irregulier
la nature nous le rappel souvent (amplitude et perte d'energie )

il me semble que les japonais on developpé une philosophie au sujet du des actions appliquer avec lenteur mais concentration et serenité
quel est le nom de cette philosophie ? ce n'est pas la pleine conscience

qui connait le concept de et ce que cela sous entend : "l'eloge à la lenteur "?
 
par où et quoi commencer ? lekh lekha
tout commence par un souffle (inception insuflation inspiration idée reve ideal obsession ) :
petit impulsion effet papillon domino
un petit pas pour l'homme un grand pas pour l'humanité

 
gestion bien

 
Deficit de l'Attention moin de patience manque de concentration
pour ecouter quelqu'un qui parle pour lire un livre meme pour regardé un film
est ce un des effets de l'internet ou est ce autre chose

car internet donne l'habitude de zappé pour avoir directement ce que l'on cherche
je connais une fille tdah , elle lit bcp et regarde bcp les series.
Donc c 'est pas un problème Par contre, ils ont des troubles de l'apprentissage . Ils ont des difficultés à l'école.

Je connais aussi un garcon tdah plus jeune, lui est carrément violent . Il tape tous les copains avec un baton et a aussi des problémes a l'ecole
Il a pas de chance
 



Les fonctions exécutives sont nécessaires pour effectuer des activités telles que
la planification, l'organisation, l'élaboration de stratégies,
pour être attentif et se rappeler les détails,
et pour gérer le temps et l'espace1.
Les chercheurs en sciences cognitives ont créé des modèles des fonctions exécutives,
dont l'un des plus connus est le modèle du système attentionnel superviseur

Pour Luria
toute activité de résolution de problèmes suppose quatre choses :
une analyse de la situation,
une élaboration d'un plan de résolution,
une résolution séquentielle et organisée de ce plan
et une vérification en comparant l'objectif de départ avec le résultat obtenu.

Il définit trois fonctions :
  • la volition : c'est la volonté d'agir, l'initiation ;
  • la planification des étapes ;
  • le contrôle.

Rabbitt définit cinq fonctions4 :
  • l'adaptation aux situations nouvelles (qui peut être rapprochée de la notion d'intelligence fluide) ;
  • la planification et la mise en œuvre de stratégies nouvelles (qui peuvent aussi être liées à l'intelligence fluide) ;
  • le contrôle et la régulation de l'action ;
  • la capacité à tenir compte de l'information en retour pour ajuster sa réponse ;
  • la capacité à inhiber des informations non pertinentes pour la réalisation de la tâche.
 
Nous avons besoin des fonctions exécutives dans notre vie quotidienne.
Elles nous permettent de :
  1. faire des plans ;
  2. garder une trace du temps et terminer le travail à temps ;
  3. garder une trace de plus d'une chose à la fois ;
  4. inclure de façon significative les connaissances antérieures dans les discussions ;
  5. évaluer des idées et réfléchir sur notre travail ;
  6. changer d'avis et apporter des corrections à mi-parcours en pensant, la lecture et l'écriture ;
  7. demander de l'aide ou demander plus d'information quand nous avons besoin ;
  8. s'engager dans la dynamique du groupe.

Grâce à une analyse de régression, ils ont pu mettre à jour trois fonctions exécutives spécifiques,
qui sont à la fois indépendantes et font partie d'une certaine unité (corrélées entre elles).

La flexibilité mentale (shifting)
Cette fonction définit la capacité de changer de tâche ou de stratégie mentale
et à passer d'une opération cognitive à une autre7.
Elle peut requérir le désengagement d'une tâche pour se réengager dans une autre.
Il existerait trois sous-classes de flexibilité mentale :
la flexibilité d'information en mémoire de travail (interne),
la flexibilité externe (pour des stimuli environnementaux)
et la flexibilité de source8.

La mise à jour (updating)
Cette fonction permet la mise à jour d'information dans la mémoire de travail.
Cela implique la modification du contenu sur la base de l'information entrante plus récente6,9.
Cette mise à jour d'une action nécessite la surveillance et le codage de l'information entrante
pour la pertinence de la tâche qui est en cours d'exécution à un moment.
Alors, elle révise d'une façon appropriée les items conservés en mémoire de travail
en remplaçant l'information qui n'est plus pertinente
avec l'information plus récente et plus pertinente10.

L'inhibition
L'inhibition se réfère à une série de mécanismes qui permettent
la suppression des cognitions et des actions inappropriées
et aussi la résistance aux interférences de l'information non pertinente11.
C'est la capacité de supprimer l'expression ou la préparation de l'information
qui perturberait le bon achèvement de l'objectif souhaité12.
Cette fonction exécutive permet le contrôle de la cognition et le comportement complexe
et c'est essentiel pour une interaction efficace avec l'environnement13.
En outre, l'inhibition est importante dans l'intelligence, la mémoire et l'attention
et elle est liée à la compétence sociale et la régulation émotionnelle14.
 
Système attentionnel superviseur

Les fonctions exécutives regroupent un ensemble de systèmes cognitifs
qui contrôlent et gèrent les processus cognitifs.
Norman et Shallice (1986) ont proposé un modèle du fonctionnement exécutif du contrôle attentionnel spécifiant comment les schémas d'action et de pensée sont activés ou inhibés selon la nature habituelle ou inhabituelle des circonstances. Les schémas, ou scripts, définissent la série d'actions ou de pensées d'un individu sous l'influence de conditions environnementales.

Chaque type de stimulus déclenche l'activation d'une réponse, d'un schéma1.
Dans des situations routinières, bien connues, le lancement du schéma approprié est le gestionnaire de conflits qui inhibe latéralement les schémas en concurrence pour le contrôle du système cognitif2.

Dans le cas de situations uniques, non-routinières, c'est le système attentionnel superviseur (SAS) qui contrôle l'activation des schémas.
Le SAS est un système exécutif qui supervise et contrôle la gestion des conflits en influant sur les probabilités d'activation des schémas et en permettant d'appliquer des stratégies générales à des problèmes (ou situations) nouveaux pendant le déroulement des traitements attentionnels automatiques1.
 


En psychologie cognitive, les schémas sont des représentations mentales abstraites
qui résument de façon structurée des événements, des objets, des situations ou des expériences semblables.
Les schémas, stockés en mémoire à long terme, permettent d'analyser, de sélectionner, de structurer et d'interpréter des informations nouvelles.
Ils servent donc en quelque sorte de modèle, de cadre
(pour reprendre l'expression équivalente utilisée en intelligence artificielle)
pour traiter l'information et diriger les comportements1.

Dans le modèle du contrôle de l'action de Norman et Shallice (1980),
les schémas sont des routines (c'est-à-dire des actions rodées et habituelles),
exécutées automatiquement à partir d'indices internes ou environnementaux.

La notion de schéma trouve des applications en psychologie pathologique et en psychologie du travail.

En psychopathologie,
les travaux de Beck ont montré l'existence de schémas inadaptés à l'origine de la dépression.
Des travaux ont ensuite prolongé cette voie en montrant l'existence de schémas inadaptés à l'origine des personnalités pathologiques.
Jeffrey Young, un collaborateur de Beck, a par exemple développé la thérapie des schémas (ou schémathérapie) dont l'objectif est précisément de s'attaquer aux schémas précoces inadaptés à l'origine des troubles de la personnalité (troubles dit d'axe II).
Un apport important de Young est d'avoir listé les schémas précoces inadaptés les plus fréquents2,3.
 
Le contrôle attentionnel est la capacité d'une personne à diriger son attention,
à choisir ce à quoi elle prête attention et ce qu'elle veut ignorer1.

Le contrôle est lié à deux dimensions particulières :
  • l'aspect « quantitatif » de l’attention, c'est l'intensité de l'attention ;
  • l'aspect « sélectif », lié à la sélectivité de l'information sur laquelle porte le contrôle attentionnel.
Lors d'une tâche, les informations non pertinentes peuvent être absentes pour un individu,
alors qu'elles sont visibles, leur traitement est différé, c'est la période psychologique réfractaire.
Les deux processus qui semble œuvrer pour l’inhibition des informations externes pourrait être la prévention initiale de la distraction et le désengagement lorsqu'elle se produit2.

Le contrôle attentionnel serait aussi lié à certaines fonctions exécutives telles que la mémoire de travail5.
Le contrôle attentionnel sur une tâche spécifique semble être diminué par l'anxiété6.

 
j'avais deja vu mais je n'ai pas accrocher
la bande annonce faisait envie mais l'histoire ne me parle pas ...

Je n'ai pas encore fini mais j'ai adoré. J'ai pris conscience du fait que le sommeil c'est aussi la vie, un genre de reset permanent qui permet de vivre des expériences alternatives, il n'y a pas d'avant pour influencer ce qu'on y fait , il n'y a pas de projection sur l'après qui viendrait nous inhiber c'est un monde qui échappe au jugement des hommes et peut-être même aussi à celui du créateur.
Il fut un temps où chaque jour je rêvais de ma mère puis comme l'héroïne dans l'univers fantasy, j'ai pris conscience dans le rêve que j'étais hors de la réalité et tu sais ce que je fais chaque fois que ma défunte mère apparait (paix à son âme), je me précipite sur elle et la serre dans mes bras.
 
Je n'ai pas encore fini mais j'ai adoré. J'ai pris conscience du fait que le sommeil c'est aussi la vie, un genre de reset permanent qui permet de vivre des expériences alternatives, il n'y a pas d'avant pour influencer ce qu'on y fait , il n'y a pas de projection sur l'après qui viendrait nous inhiber c'est un monde qui échappe au jugement des hommes et peut-être même aussi à celui du créateur.
Il fut un temps où chaque jour je rêvais de ma mère puis comme l'héroïne dans l'univers fantasy, j'ai pris conscience dans le rêve que j'étais hors de la réalité et tu sais ce que je fais chaque fois que ma défunte mère apparait (paix à son âme), je me précipite sur elle et la serre dans mes bras.

il y avait une periode je connaissai aussi ce genre de reve lucide
il faut que je retente la serie peut etre que cela me parlera cette fois
 
point de vue interessant entre la passion et l'obsession
avoir des interets et activité divers et varié ?

 
association (prejugé stereotype ) et discrimination inhibition abstraction (realisme minimalisme)
analogie et schema (suite) logique structure schema de la pensé


Pour Klaus Conrad, l'apophénie est la deuxième phase dans le développement d'une schizophrénie (entre le tréma et l’apocalypse1).

effet stroop 2 facon de voir les choses : plein ou vide

la paréidolie est généralement causée par la tendance naturelle à assimiler des perceptions nouvelles à celles déjà connues et répertoriées.
C'est la plupart du temps utile pour identifier un objet nouveau comme appartenant à une catégorie connue, mais peut entraîner des erreurs1.
On trouve dans l'effet Stroop un autre exemple de cette même préférence des sens à interpréter une perception en la comparant à celles déjà connues.
Il est possible que cette préférence découle d'un avantage évolutif ayant mené à une hypersensibilité à détecter une présence, qui favorise la survie mais pas nécessairement la précision2.
Ainsi, les erreurs se font presque toutes dans la même « direction » :
des faux positifs (reconnaître une présence qui n'est pas là)
plutôt que des faux négatifs (ne pas reconnaître une présence)3.
 

Déjà dans le Tome I des Etudes Psychiatriques publié en 1948, dans son crucial Etude N°8 "Le rêve. "Fait primordial" de la psychopathologie",
Henri Ey ébauche pour la première fois ces trois niveaux de la désorganisation structurelle de la conscience, dans une perspective dynamique et dialectique :
1° les "états fanstasmiques" de type maniaco-dépressifs ;
2° "les états oniriques" (où sont inclus les états oniroïdes, les bouffées délirantes et les états crépusculaires) ;
3° la "confusion onirique".
Nous pensons que cette division se trouve dejà en puissance dans sa monographie de 1938, "Essais d’application des principes de Jackson à une conception dynamique de la neuro psychiatrie".

Ce que nous allons tenter de faire ressortir c’est qu’il existe une correspondance clinique étroite entre ces niveaux de dissolution et les trois phases issues de "l’analyse de la forme" de "la configuration des délires" (Gestaltanalyse des Wahns) schizophréniques de K. Conrad : tréma, apophanie et apocalypse.
Cette conception montre que la dette à l’égard de H.Ey est plus grande que ce que l’allemand est prêt à reconnaître bien des années après.
 

Son ouvrage principal est Die beginnende Schizophrenie. Versuch einer Gestaltanalyse des Wahns, dans lequel il décrit les états précoces de la schizophrénie et leurs aspects typiques. Dans sa monographie, il invente ou reprend une terminologie, notamment « tréma » (« trou ou orifice »), « apophénie » (« qui affirme ») et « apocalypse »4



Les auteurs proposent une introduction à l'ouvrage princeps de Klaus Conrad intitulé La schizophrénie débutante. Essai d'analyse structurelle du délire.
L'intérêt de cette étude réside à la fois dans l'originalité de la méthode promue par Conrad et-dans son analyse pénétrante de l'expérience schizophrénique, appréhendée dans sa configuration d'ensemble.
L'analyse structurelle est une méthode psychopathologique qui s'assigne pour tâche d'étudier la forme (Gestalt) de l'expérience vivante (Erleben) qui constitue la réalité phénoménologique concrète d'un syndrome psychiatrique. En se concentrant sur la schizophrénie débutante, Conrad cherche à éclairer in actu la transformation du « vivrequi sous-tend la formation du tableau schizophrénique, et tente de dégager l'unité de mouvement qui répond de la cohérence interne des différents sous-types de la schizophrénie.
Il analyse le processus de transformation de l'expérience dans la schizophrénie en y distinguant une suite de phases :
1) le Tréma, période prodromale prédélirante qui constitue la phase de rupture où le sujet perd les conditions qui assuraient jusqu'alors la praticabilité de son existence ;
2) l'apophanie, temps du délire proprement dit (phase paranoïde);
3) l'apocalypse, période d'éclatement de la continuité de l'expérience (phase catatonique);
4) la consolidation, stade de rémission du délire ;
5) l'état résiduel ou le « résidude la transformation schizo phrénique en ce qu'elle comporte d'irréversible.


 
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