tu vas à la biblio et tu lis les livres relatif à Manes appelé aussi Mani, c'est très instructif pour la compréhension des rites et dogmes de l'islam.
Bien sur que si que ton sujet porte sur ça puisque l'origine probable de cette idée mentionnée dans le coran était localement enseignée depuis 3 siècles par une religion qui fut très importante même si aujourd'hui elle est marginale.
Donne-moi une source, si c'est présent dans ma petite bibliothèque du coin, il doit bien y avoir un passage dans un site web qui le confirme, je ne te réfute pas mais ça me parait bizarre que la manichéisme qui puise ses sources du christianisme et qui considère la crucifixion comme la souffrance définie de l'Homme dénie la crucifixion de Jésus...
Mon sujet dit : C'et à Allah lui-même qui a "crée" le Christianisme puis le condamne, d'après le Coran, peu importe les origines de l'Islam au moment de l'arrivée de Mohamed, c'est bon pour la culture mais ce n'est pas le but de ma discussion.
Faux ils n'ont rien à voir du tout ! la différence entre le manichéîsme et l'Islam c'est le message justement, l'essence même du monothéïsme de l'Islam le Al Ikhlâs Fi al Tawhid donc aucune idolâtrie et ce monothéïsme s'étend aux attributs divins, personnne ne possède les mêmes qualités, la même puissance ni la même force qu'Allah...
A contrario du manichéïsme qui rabaisse Dieu comme l'adversaire de Satan, il y aurait 2 chefs de guerre, il fait de satan l'égal de Dieu ce qui est inconcevable en Islam...
Vous n'avez pas du tout comprendre de l'Islam et du Tawhid peut-être pour ça que vous pensez que mani vous a ouvert les yeux lol...
Exactement à part sur le monothéisme qui a été plus amené par le zoroastrisme!
Il n' y a rien qui indique que ces versets se réfèrent au même événement. Si nous examinons les versets du Coran, nous pouvons proposer une interprétation chronologique des événements.
Et je n'ai jamais dit le contraire, je "connais" vos réfutations, vous pensez qu'on croit que les deux événements sont confondus à un même moment mais ce n'est pas ça que je dis, c'est que Mohamed (ou Allah, je laisse le bénéfice du doute quand même) a écrit l'événements une première fois puis quand il a l'a réécrit, il s'est trompé dans son espace-temps c'est à dire qu'il ne s'est pas trompé seulement sur le nombre d'anges mais aussi sur le moment et le temps.
Si je te dit que j'étais au lycée quand j'ai vu une licorne et je me suis exclamait : "Wow une licorne, pourtant je ne vis pas dans un monde magique"
et qu'ensuite je te dit que j'étais content enfin de toucher ma retraire et je me suis exclamait : "Wow des licornes, pourtant je ne vis pas dans un monde magique et je ne touche pas à la drogue"
Là obligatoirement tu me dis : "Hé attends, tu te fous pas un petit peu de ma tête là ?" Le moment, le lieu et le nombre sont contradictoires.
Alors que si je te dit : "j'étais content enfin de toucher ma retraire et je me suis exclamait : "Wow encore des licornes, non mais vraiment je doit vivre dans un monde magique ou je touche à la drogue ?"
Il y a déjà plus de logique et pourtant c'est exactement le premier cas qui se passe dans le Coran, regarde un autre cas d'exemple similaire mais où là il n'y a pas de doutes sur la logique :
La femme d’Imran dit : « Seigneur je Te voue comme consacré ce qui est dans mon sein ! Daigne Seigneur, l’accepter ! Tu es, en vérité, Celui qui entend tout, qui sait tout » Coran 3 ; 35
Et lorsqu’elle eut mis son enfant au monde, elle s’écria : « Seigneur j’ai donné naissance à une fille » – Dieu le savait bien – « Un garçon n’est pas pareil à une fille » Je l’ai appelée Mariam ajouta-t-elle, et je la mets, Seigneur sous Ta protection, elle et sa descendance contre Satan le réprouvé. » Coran 3 ; 36.
Alors que si c'était :
La femme d'Imran dit "Seigneur je Te voue comme consacré ce qui est dans mon sein ! Daigne Seigneur, l'accepter ! Tu es, en vérité, Celui qui entend tout, qui sait tout Je la mets, Seigneur sous Ta protection, elle et sa descendance contre Satan le réprouvé."
Et lorsqu'elle eut mis son enfant eu monde, elle dit : "Seigneur je Te voue comme consacré ce que j'ai mis au monde ! Daigne Seigneur, l'accepter ! Tu es, en vérité, Celui qui entend, qui sait tout Je la mets, Seigneur sous Ta protection, elle et sa descendance contre Satan le réprouvé."
Alors là ça toque un peu le cerveau, la même exclamation et la même phrase excepté deux petits mots !
Comment est-ce qu'un acte que Jésus qualifie de satanique peut-il être salvateur pour les chrétiens ?
Heu....j'en sais pas grand-chose mais là on dirait que tu me fais un débat moi missionaire chrétien devant un Ahmeed Deedat
Quoique, comment des actes mauvais peuvent-ils être un bénéfice, voici la réponse :
71. Alors les deux partirent. Et après qu'ils furent montés sur un bateau, l'homme y fit une brèche. [Moïse] lui dit : “Est-ce pour noyer ses occupants que tu l'as ébréché ? Tu as commis, certes, une chose monstrueuse ! ”.
72. [L'autre] répondit : “N'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”.
73. “Ne t'en prend pas à moi, dit [Moïse,] pour un oubli de ma part; et ne m'impose pas de grande difficulté dans mon affaire” .
74. Puis ils partirent tous deux; et quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua. Alors [Moïse] lui dit : “As-tu tué un être innocent, qui n'a tué personne ? Tu as commis certes, une chose affreuse ! ”
75. [L'autre] lui dit : “Ne t'ai-je pas dit que tu ne pourrais pas garder patience en ma compagnie ? ”
76. “Si, après cela, je t'interroge sur quoi que ce soit, dit [Moïse,] alors ne m'accompagne plus. Tu seras alors excusé de te séparer de moi”.
77. Ils partirent donc tous deux; et quand ils furent arrivés à un village habité, ils demandèrent à manger à ses habitants; mais ceux-ci refusèrent de leur donner l'hospitalité. Ensuite, ils y trouvèrent un mur sur le point de s'écrouler. L'homme le redressa. Alors [Moïse] lui dit : “Si tu voulais, tu aurais bien pu réclamer pour cela un salaire”.
78. “Ceci [marque] la séparation entre toi et moi, dit [l'homme,] Je vais t'apprendre l'interprétation de ce que tu n'as pu supporter avec patience.
79. Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau.
80. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance.
81. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux.
82. Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux-mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience”.