Mafia gay/cabale gay/mafia rose/mafia lavande ..
Ou plus récemment désigné comme le lobby gay de l'Eglise catholique.
Oubliés les signes d’ouverture : les prêtres gays sont plus que jamais stigmatisés par l’Église et risquent d’être les boucs émissaires de la conférence sur les abus sexuels qui s’ouvre au Vatican. Une vingtaine d’entre eux se sont confiés au New York Times, souvent en demandant l’anonymat.
Aux États-Unis, moins d’une dizaine de prêtres ont osé reconnaître leur homosexualité en public. Pourtant, selon des dizaines d’estimations de prêtres gays et de chercheurs, le clergé catholique américain est composé à au moins 30 ou 40 % d’homosexuels. Au dire de certains prêtres, le pourcentage se rapprocherait même de 75 %. Dans le Wisconsin, l’un d’eux va jusqu’à considérer tous les prêtres comme gays à moins d’être certain du contraire. En Floride, un autre estime qu’“un tiers sont gays, un tiers sont hétéros et un tiers n’ont aucune idée de ce qu’ils sont”.
De nombreuses études montrent qu’il n’y a pas de rapport entre l’homosexualité et les actes de pédophilie. Pourtant, d’éminents évêques ont accusé les prêtres homosexuels d’être la racine du problème, et des médias de droite dénoncent la “sous-culture homosexuelle”, la “mafia lavande” ou la “cabale gay” qui existeraient dans l’Église.
Une “mode” de l’homosexualité
Même le pape François s’est fait plus critique ces derniers mois. Il s’est inquiété d’une “mode” de l’homosexualité, a recommandé que les hommes chez qui “ce type de tendance est profondément ancré” ne soient pas acceptés dans le sacerdoce, et a exhorté les prêtres homosexuels à être “parfaitement responsables, en veillant à ne jamais créer de scandales”.
Ou plus récemment désigné comme le lobby gay de l'Eglise catholique.
Les prêtres homosexuels, parias de l’Église : “Ce n’est pas un placard, c’est une cage”
Oubliés les signes d’ouverture : les prêtres gays sont plus que jamais stigmatisés par l’Église et risquent d’être les boucs émissaires de la conférence sur les abus sexuels qui s’ouvre au Vatican. Une vingtaine d’entre eux se sont confiés au New York Times, souvent en demandant l’anonymat.
Aux États-Unis, moins d’une dizaine de prêtres ont osé reconnaître leur homosexualité en public. Pourtant, selon des dizaines d’estimations de prêtres gays et de chercheurs, le clergé catholique américain est composé à au moins 30 ou 40 % d’homosexuels. Au dire de certains prêtres, le pourcentage se rapprocherait même de 75 %. Dans le Wisconsin, l’un d’eux va jusqu’à considérer tous les prêtres comme gays à moins d’être certain du contraire. En Floride, un autre estime qu’“un tiers sont gays, un tiers sont hétéros et un tiers n’ont aucune idée de ce qu’ils sont”.
De nombreuses études montrent qu’il n’y a pas de rapport entre l’homosexualité et les actes de pédophilie. Pourtant, d’éminents évêques ont accusé les prêtres homosexuels d’être la racine du problème, et des médias de droite dénoncent la “sous-culture homosexuelle”, la “mafia lavande” ou la “cabale gay” qui existeraient dans l’Église.
Une “mode” de l’homosexualité
Même le pape François s’est fait plus critique ces derniers mois. Il s’est inquiété d’une “mode” de l’homosexualité, a recommandé que les hommes chez qui “ce type de tendance est profondément ancré” ne soient pas acceptés dans le sacerdoce, et a exhorté les prêtres homosexuels à être “parfaitement responsables, en veillant à ne jamais créer de scandales”.