DU CÔTÉ DES COLLABOS
Devant la frilosité de ses partenaires pro-bandéristes à envoyer des troupes sur le sol ukrainien (Allemagne, Pologne, Royaume-Uni...) Macron, tergiverse, fait volte face, mais tout en essayant de maintenir son cap russophobe.
Ainsi aujourd'hui Macron appelle à une fin du conflit et exclut l'envoi de troupes françaises en Ukraine tant que la paix ne sera pas signée.
Le président Macron a évoqué la nécessité de parvenir à une paix durable en Ukraine.
"Notre objectif est une paix à long terme qui apportera à l'Ukraine la stabilité, la reconnaissance du droit international et la possibilité de mettre en œuvre un plan de relance".
Cependant, dans les propos de Macron, ce dernier persiste dans le fantasme occidental selon lequel c'est la Russie qui a déclenché cette guerre, refusant obstinément
La réalité des 7 années de bombardements terroristes des populations du Donbass par le régime de Kiev,
Le refus catégorique des occidentaux de faire respecter par Kiev les accords de Minsk dont les violations ukrainiennes étaient quotidiennement rapportées par l'ODCE,
Le refus catégorique des occidentaux (USA, OTAN, OSCE) de discuter. en janvier 2022, de l"accord de sécurité collective proposé par la Russie,
L'accumulation pendant l'hiver 2021-2022 de plus de 300 000 soldats ukrainiens en configuration offensive sur la ligne de front du Donbass, et l'augmentation drastique de leurs bombardements meurtriers à partir de la mi janvier.
Macron n'abandonne pas les revendications bandéristes de restaurer les frontières artificielles de l'Ukraine soviétique, simplement il considère (avec réalisme) que Kiev n'a pas (aujourd'hui) les moyens militaires pour y parvenir.
Dans sa rhétorique habituelle du "en même temps" le locataire de l'Elysée de plus en plus impopulaire, narcissique et mégalomane (caractéristiques pour lesquelles il dispute à Zelensky la première place) cherche à concilier à la fois sa guerre mondialiste contre la Russie, la guerre politique subie de la part de Washington, l'effondrement économique européen que les deux provoquent et un fanatisme idéologique mené aujourd'hui par le totalitarisme délirant de la Commission européenne.
Visiblement les excroissances mondialistes européennes veulent nous rejouer l'imposture des accords de Minsk tout en jurant "les grands dieux" vouloir des garanties de paix pérennes...
Un discours hypocrite que le Donbass a déjà entendu en février 2015 concernant les accords de Minsk 1 en échec: Juste gagner du temps en sauvant le navire bandériste du naufrage, en attendant de monter en puissance l'effort militaro-industriel européen et en espérant que les bellicistes mondialistes reviennent à la Maison Blanche.