Le mensonge du réchauffement climatique

Selon de hauts scientifiques japonais, le réchauffement climatique n’a rien à voir avec l’activité humaine


Steve Watson, 27 février 2009

Un rapport scientifique majeur d’universitaires japonais conclut que le réchauffement planétaire n'est pas dû à l'homme et que la tendance au réchauffement généralisé depuis le milieu de 20ème siècle est désormais arrêtée.

Comme il fallait s’y attendre, ce rapport publié le mois dernier a été totalement passé sous silence par les médias occidentaux. Ce rapport a été entrepris par la Société de l’Énergie et des Ressources (JSER) japonaise, une société représentant les scientifiques universitaires des domaines de l'énergie et des ressources. La JSER agit en comité consultatif gouvernemental, tout comme le fait pour l’ONU le Groupe Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution Climatique (GIEC).

Ses conclusions contrastent fortement de celles du GIEC, avec cependant un seul hauts chercheurs sur les cinq d'accord avec l'affirmation du fait que le réchauffement récent a été accéléré par les émissions carbonées de l'homme.

Ce rapport commandé par le gouvernement critique la modélisation informatique du climat et dit aussi que les données des États-Unis sur la température au sol, utilisées pour appuyer les dires de la responsabilité humaine dans le réchauffement, manquent trop de perspicacité.Le mois dernier, aucun grand média occidental n’ayant couvert la sortie du rapport, cela a incité le site Internet de science et technologie de Grande-Bretagne The Registre à commander la traduction du document.

La première partie met en évidence l’arrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, la hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin, malgré la montée continue des émissions de CO2. Le rapport indique ensuite que le récent réchauffement subi par la planète est essentiellement dû au rétablissement de ce que l'on appelle le « Petit Âge Glaciaire, » qui a eu lieu aux alentours de 1400 jusqu’à 1800 et fait partie d'un cycle naturel. Les chercheurs concluent en plus que le réchauffement climatique et l'arrêt de la montée de la température sont liés à l'activité solaire, une idée rejetée auparavant par le GIEC.

L’introduction du rapport déclare : « L'hypothèse selon laquelle la majorité du réchauffement mondial pourrait être attribué à l'effet de serre est fausse. »

Kanya Kusano, directeur de programme et chef du groupe de simulation de la Terre à l’agence japonaise des sciences marines de la Terre et des technologies (JAMSTEC) confirme ce point : Les conclusions [du GIEC], selon lesquelles le température atmosphérique actuelle est susceptible de présenter un processus uniforme de montée continue, devraient être perçues comme une hypothèse indémontrable.

Shunichi Akasofu, chef du Centre International de Recherche Arctique en Alaska, cite des données historiques pour contester l'affirmation de l’anomalie des températures très récentes : Nous devons faire preuve de prudence, la théorie du GIEC, selon laquelle la température atmosphérique a augmenté depuis 2000 parallèlement au CO2 n'est qu'une hypothèse. Avant que quelqu'un l’ait remarqué, cette hypothèse a été substituée à la vérité ... Il doit être mis fin à l'opinion selon laquelle une grande catastrophe se produira réellement.

Les conclusions de ce rapport concordent avec celles de centains de scientifiques occidentaux, qui ont fait l’objet de dérision et ont même été comparés à des négationnistes pour avoir remis en cause le soi-disant « consensus » sur le réchauffement climatique.
L'absence totale de couverture de cet important rapport, qui a été reçu [diffusé aux agences de presse, ndt], est un autre exemple de la manière dont est détournée la couverture du changement climatique en faveur d’un seul jeu d'hypothèses.

Ça sert intentionnellement un ordre du jour destiné à susciter l'hystérie de masse, au nom de tous les gouvernements trop désireux d’introduire une fiscalité et des mesures de contrôle draconiennes qui ne feront rien pour lutter contre quelque forme de réchauffement planétaire, qu'il soit naturel ou artificiel.

source: Infwars.net


Les principaux passages de la traduction [anglaise] du rapport sont consultables: http://www.theregister.co.uk/2009/02/25/jstor_climate_report_translation/page2.html
 
c'est incroyable qu'on en a pas du tout parlé o_O !!!
Avec l'importance croissante du marché "green" (ou écologique) tu m'étonnes que les intérêts soient économique voire meme politique avec le Grenelle de l'environnement et cie ...
 
En admettant que les conclusions du GIEC ne sont qu'une hypothèses (plus de 3000 spécialistes qui se trompent dans le même sens, après tout, pourquoi pas ?), en quoi celle du JSER seraient-elles vraies ? Voilà une bien étrange attitude scientifique que celle qui s'autorise à déclarer fausse la thèse qu'on ne partage pas. N'y aurait-il aucun intérêt lié à l'émission de CO2 et autres gaz bienfaisants ? Amusante aussi l'hypothèse selon laquelle le réchauffement ne serait qu'un complot catastrophiste d'Etat en mal de ressources fiscales et de néo-industriels verts.
 
En admettant que les conclusions du GIEC ne sont qu'une hypothèses (plus de 3000 spécialistes qui se trompent dans le même sens, après tout, pourquoi pas ?), en quoi celle du JSER seraient-elles vraies ? Voilà une bien étrange attitude scientifique que celle qui s'autorise à déclarer fausse la thèse qu'on ne partage pas. N'y aurait-il aucun intérêt lié à l'émission de CO2 et autres gaz bienfaisants ? Amusante aussi l'hypothèse selon laquelle le réchauffement ne serait qu'un complot catastrophiste d'Etat en mal de ressources fiscales et de néo-industriels verts.

Il ne s'agit pas uniquement des scientifiques japonais de la JSER, mais d'autre scientifiques partagent cette conculsion.
 
Le réchauffement climatique dérange les pays occidentaux. Prenons l'exemple allemand, obligé de revenir au charbon après l'abandon du nucléaire, mais qui se fait conspuer de toute part pour le choix du charbon extrêmement polluant. Du coup, je n'y crois pas trop à l'idée du complot occidentale contre le pétrole lorsqu'on voit tout le mal qu'ils ont à diminuer leurs quotas.

Par contre, le complot des libéraux, partisans de la liberté totale de production, ne m'étonnerais pas.
 
Bah les scientifiques...
On sait plus lesquels croire, y'en a ils diraient n'importe quoi pour poursuivre leurs recherches ou se faire un nom.
Les OGM on nous dit c'est pas dengeureux.
Les pesticides en passant un peu d'eau sur nos legumes bah ils disparaissent comme par magie.
Le ondes des téléphone et autres engins en tt genre, ya aucun risque.
On nous a laisser bouffer de la vache folle, du mouton fou et mtn des oiseaux fou, nous disant que la grippe aviaire, comme le nuage radioactif de tchernobile s'est arrêté à la frontière de la france, elle s'est arrêter aux porte de l'europe!

Moi ts ce que je vois, c'est qu'il y a plus de maladies et dc plus de malades, et plus d'espèces qui disparaissent, et ça pas besoin d'être scientifique pour savoir que c'est notre faute!
tous ce qu'on touche on le détruit, ces scientifiques oublient de dire que le Japon est l'un des plus gros pollueur du monde et qu'il n'a retifier (si mes souvenir sont bons) le protocole de Kyoto que recamment. Je paris que c'est le gouvernement japonais lui même qui a commender ce rapport.
 
2017 exceptionnellement chaud : confirmation de la NASA et NOAA, Janvier 2018.
L’article a dit:
Le récent bilan climatique de l'année 2017 mis en ligne par le service Européen Copernicus « Changement Climatique » semble désormais confirmé par la NASA ainsi que la NOAA : l'année 2017 se place sur le podium des années les plus chaudes observées depuis le début de l'ère pré-industrielle, à l'échelle mondiale.
Selon la NASA, 2017 est devenue la 2e année la plus chaude depuis 1880, avec une anomalie de +0.90 ℃ (rapport à la normale 1951-1980). Une seconde place, juste derrière l'année 2016, record en la matière.
La période 1951 à 1980, est prise comme référence du climat mondial normal. À prendre comme référence, une période si petite et si récente comparée aux échelles de temps de la Terre, on ne peut que voir des anormalités.

Ça ne me semble pas sérieux.
 
Comme dit ailleurs dans un autre sujet, le CO₂ est bon pour la phytomasse (la biomasse représentée par les plantes). Cette interview en parle. Celui qui parle est Christian Gerondeau, ingénieur diplômé de l’École polytechnique et haut fonctionnaire (un haut rispensable :joueur: ). Il est interviewé par Radio Temporium.

 
Salam,
C'est Allah 3aza wajal qui fait soufler le chaud et le froid.
Cependant si la tendance haussière des températures peut faire changer les comportements et amener les gens à moins gaspiller les ressources, c'est tant mieux.
 
Il ne s'agit pas uniquement des scientifiques japonais de la JSER, mais d'autre scientifiques partagent cette conculsion.
Fukushima témoigne aussi que les japonais peuvent se tromper ...

Je crois à la théorie du réchauffement d'un récipient aux parois noires charbon, placé au soleil, comme à la réfraction lors de la traversée de dioptres séparant des milieux d'indices distincts, ou encore à la fonte de la banquise et du permafrost ...
A notre échelle, nous constatons la désertification et la migration des espèces végétales, marines etc ...

Cependant la consommation de carburants au km a baissé, de même la gestion rationnelle de l'énergie (isolation thermique et efficacité énergétique) produit ses effets. Les innovations et la substitution des matériaux (plastique au lieu de métaux et fontes) ont modifié le profil de la courbe d'émission des GES.
 
Selon de hauts scientifiques japonais, le réchauffement climatique n’a rien à voir avec l’activité humaine


Steve Watson, 27 février 2009

Un rapport scientifique majeur d’universitaires japonais conclut que le réchauffement planétaire n'est pas dû à l'homme et que la tendance au réchauffement généralisé depuis le milieu de 20ème siècle est désormais arrêtée.

Comme il fallait s’y attendre, ce rapport publié le mois dernier a été totalement passé sous silence par les médias occidentaux. Ce rapport a été entrepris par la Société de l’Énergie et des Ressources (JSER) japonaise, une société représentant les scientifiques universitaires des domaines de l'énergie et des ressources. La JSER agit en comité consultatif gouvernemental, tout comme le fait pour l’ONU le Groupe Intergouvernemental d'Experts sur l'Évolution Climatique (GIEC).

Ses conclusions contrastent fortement de celles du GIEC, avec cependant un seul hauts chercheurs sur les cinq d'accord avec l'affirmation du fait que le réchauffement récent a été accéléré par les émissions carbonées de l'homme.

Ce rapport commandé par le gouvernement critique la modélisation informatique du climat et dit aussi que les données des États-Unis sur la température au sol, utilisées pour appuyer les dires de la responsabilité humaine dans le réchauffement, manquent trop de perspicacité.Le mois dernier, aucun grand média occidental n’ayant couvert la sortie du rapport, cela a incité le site Internet de science et technologie de Grande-Bretagne The Registre à commander la traduction du document.

La première partie met en évidence l’arrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, la hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin, malgré la montée continue des émissions de CO2. Le rapport indique ensuite que le récent réchauffement subi par la planète est essentiellement dû au rétablissement de ce que l'on appelle le « Petit Âge Glaciaire, » qui a eu lieu aux alentours de 1400 jusqu’à 1800 et fait partie d'un cycle naturel. Les chercheurs concluent en plus que le réchauffement climatique et l'arrêt de la montée de la température sont liés à l'activité solaire, une idée rejetée auparavant par le GIEC.

L’introduction du rapport déclare : « L'hypothèse selon laquelle la majorité du réchauffement mondial pourrait être attribué à l'effet de serre est fausse. »

Kanya Kusano, directeur de programme et chef du groupe de simulation de la Terre à l’agence japonaise des sciences marines de la Terre et des technologies (JAMSTEC) confirme ce point : Les conclusions [du GIEC], selon lesquelles le température atmosphérique actuelle est susceptible de présenter un processus uniforme de montée continue, devraient être perçues comme une hypothèse indémontrable.

Shunichi Akasofu, chef du Centre International de Recherche Arctique en Alaska, cite des données historiques pour contester l'affirmation de l’anomalie des températures très récentes : Nous devons faire preuve de prudence, la théorie du GIEC, selon laquelle la température atmosphérique a augmenté depuis 2000 parallèlement au CO2 n'est qu'une hypothèse. Avant que quelqu'un l’ait remarqué, cette hypothèse a été substituée à la vérité ... Il doit être mis fin à l'opinion selon laquelle une grande catastrophe se produira réellement.

Les conclusions de ce rapport concordent avec celles de centains de scientifiques occidentaux, qui ont fait l’objet de dérision et ont même été comparés à des négationnistes pour avoir remis en cause le soi-disant « consensus » sur le réchauffement climatique.
L'absence totale de couverture de cet important rapport, qui a été reçu [diffusé aux agences de presse, ndt], est un autre exemple de la manière dont est détournée la couverture du changement climatique en faveur d’un seul jeu d'hypothèses.

Ça sert intentionnellement un ordre du jour destiné à susciter l'hystérie de masse, au nom de tous les gouvernements trop désireux d’introduire une fiscalité et des mesures de contrôle draconiennes qui ne feront rien pour lutter contre quelque forme de réchauffement planétaire, qu'il soit naturel ou artificiel.

source: Infwars.net


Les principaux passages de la traduction [anglaise] du rapport sont consultables: http://www.theregister.co.uk/2009/02/25/jstor_climate_report_translation/page2.html
Salam Octavius,
Pour les sceptiques, si le réchauffement ne vous convainc pas, pensez à la pollution, l'air sera bientôt irrespirable.
Et là aucun doute que c'est l'homme (nous) le responsable.
 
Le rechauffement climatique à -1° :joueur:
On attend -10°
On crève de chaud

Par contre la pollution se fait sentir à cause de l'air sec et ça cest pas bon
 
Chercher le film "Idiocraty" ...On y est!
JSER:
La Société japonaise de l'énergie et des ressources a été fondée en 1980.
C'est une société académique pour promouvoir la science et la technologie concernant l'énergie et les ressources, et ainsi faciliter la coopération entre l'industrie, les universités et les secteurs gouvernementaux pour faire face aux problèmes dans ce domaine.


Bref un lobby de l'énergie qui paye des scientifiques pour étudier le réchauffement climatique , et les scientifiques découvre que leur patron ne sont pour rien dans ce réchauffement qui en fait n'existe même pas ! Bonne nouvelle pour leur patron! C'est vraiment un coup chance! Imaginez qu'ils aient financer des recherches qui confirmerait leur implication dans le réchauffement climatique , et que du coup ils soient obliger à renoncer à leur business ! Cela aurait été ballot!

Le mensonge du réchauffement climatique

Quand aux complotistes , c'est toujours les autres mais jamais soit bien sure ...
L'avantage avec le complotisme c'est que l'on y ait pour rien , nous sommes responsable de rien , c'est le complot, ceux qui tirent les ficelles ...Je peux donc continuer l'esprit tranquille! d’ailleurs notre mode de vie n'est pas négociable !

 
Le mensonge du réchauffement climatique
Discussion dans 'Actualités internationales' créé par Octavius, 2 Mars 2009

Voilà une discussion ouverte il y a bientôt 9 ans , comme l'article :

La première partie met en évidence l'arrêt du réchauffement planétaire, notant que, depuis 2001, La hausse de la température à l'échelle mondiale a pris fin, malgré la montée continue des émissions de CO2.

Le JSER confirme?

2015, 2016 et 2017 sont les années les plus chaudes jamais enregistrées
http://www.leparisien.fr/environnem...es-jamais-enregistrees-18-01-2018-7508823.php

Sans doute que ces chiffres sont truqués , comme les photos satellites des glaciers et le JSER réduit au silence par la conspiration des écolo bobo , le lobby des éoliennes et des panneaux solaires...https://actualite.housseniawriting....ement-climatique-des-images-avantapres/21586/
 
D’après Christian Gerondeau, les hauts responsables du GIEC ne sont pas des experts en climatologie, mais des fonctionnaires représentant leurs pays respectifs.

Il fait remarquer que le GIEC s’appel à l’origine et en Anglais, IPCC, un sigle signifiant « Intergovernmental Panel on Climate Change », c’est à dire « Groupe intergouvernemental sur le changement climatique », qui a été trompeusement traduit en français par, GIEC, « Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat », le mot « experts » a été ajouté dans la désignation en français, mais le nom d’origine de l’organisation ne contient pas le mot « experts ».
 
D’après Christian Gerondeau, les hauts responsables du GIEC ne sont pas des experts en climatologie, mais des fonctionnaires représentant leurs pays respectifs.

Il fait remarquer que le GIEC s’appel à l’origine et en Anglais, IPCC, un sigle signifiant « Intergovernmental Panel on Climate Change », c’est à dire « Groupe intergouvernemental sur le changement climatique », qui a été trompeusement traduit en français par, GIEC, « Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat », le mot « experts » a été ajouté dans la désignation en français, mais le nom d’origine de l’organisation ne contient pas le mot « experts ».

Comment jouer sur les mots pour mieux noyer le poisson !

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) — en anglais IPCC pour Intergovernmental Panel on Climate Change — est un organisme intergouvernemental, ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il « a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement fondées sur les publications scientifiques et techniques dont la valeur scientifique est largement reconnue ».



Quand à Christian Gerondeau c'est pas un scientifique mais un fonctionnaire , auteur des plans actuels du RER parisien.
Vous voyez c'est facile de dénigrer pour décrédibiliser!
 
Comment jouer sur les mots pour mieux noyer le poisson !

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) — en anglais IPCC pour Intergovernmental Panel on Climate Change — est un organisme intergouvernemental, ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il « a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, […]
Quand les conclusions sont décidées d’avance, ce n’est pas de la science, c’est de la pseudo‑science. C’est le même problème qu’avec les pseudo‑sciences humaines dans les pays de gauche comme la france. Il y en a eu une illustration ridicule mais malheureusement vraie : une étude a été financée pour aboutir à la conclusion que les pêts des vaches des troupeaux réchauffent le climat. Comment en est on arrivsé là ? La réponse il la donne : seuls les études à charge sont financées, les études à décharge ne le sont pas. Dit plus simplement, « on » finance des études pour dire que le réchauffement est d’origine humaine (conclusion décidée d’avance, pseudo‑science), au lieu de financer des recherche pour comprendre pourquoi le climat se réchauffe (ce que ferait une vraie science). Pendant ce temps, aucune étude sur l’impacte de la vapeur d’eau dont le pouvoir d’effet de serre est énormément plus important que celui du gaze carbonique. Quand je dis énormément, ce n’est pas pour exagérer. Mais si un jour quelqu’un arrivait à sortir une théorie pour dire que la vapeur d’eau dans l’air, c’est à cause de l’activité humaine, là il y aurait des financements.

On ne peut pas parler de science non‑plus quand les scientifiques qui contestent d’autres scientifiques sont censurés : désintérêt des médias ou diffamation, chantage au financement, chantage à la carrière, chantage à la réputation. Même la revue Nature en a fait les frais, un de ces éditos à propos de doute sur l’importance du réchauffement, a été censuré en faisant pression sur le directeur de publication. Pourtant ces doutes tout le monde peut les constater : avant 2000 on nous promettait qu’en 2015 ou 2020 la terre serait devenu invivable, que toutes les villes côtières seraient inondées, etc. Que voit‑on ? Que presque rien n’a changé. Quand on se plante à ce point dans les prédictions et qu’on fait vraiment de la science, on se remet en question, mais si on fait de la pseudo‑science, au contraire on insiste.

Quand on menace les gens pour les faire taire, ça ne sent pas bon. Quand on substitue la politique ou la pseudo‑science ou l’idéologie à la science, on est sur une mauvaise pente.
 
Dernière édition:
Fukushima témoigne aussi que les japonais peuvent se tromper ...

Je crois à la théorie du réchauffement d'un récipient aux parois noires charbon, placé au soleil, comme à la réfraction lors de la traversée de dioptres séparant des milieux d'indices distincts, ou encore à la fonte de la banquise et du permafrost ...
A notre échelle, nous constatons la désertification et la migration des espèces végétales, marines etc ... […]
À notre échelle, on constate la désertification animale surtout par la construction de routes, d’autoroutes, de parkings, de centres de loisir, de maisons individuelles, par l’agriculture intensive, par la chasse aux « nuisibles ». Par besoin d’aller chercher dans un si faible réchauffement, la Terre en a connu de pire sans se désertifier. Par exemple un sujet ici disait que en 2008, un quart des espèces de mammifères en france étaient menacées ou pas loin de l’être, en 2017, c’est un tiers. Le climat s’est‑il réchauffé à ce point entre 2008 et 2017 au point de menacer autant d’espèces supportant pourtant bien les variations climatiques, comme les lapins et les taupes ?

Pour le végétale, c’est au contraire d’une désertification, une augmentation de la végétation qui est constatée, une végétation qui au passage produit plus de dioxyde de carbone (*) qu’on ne le pensait (30 % de plus), comme un autre sujet encore en parlait.

(*) Pour les gens qui ne le savent pas, ce n’est pas une erreur, les plantes rejettent aussi du dioxyde de carbone, surtout la nuit et surtout certaines plantes.
 
Dernière édition:
A chaque vaguelette de froid, les climatosceptiques nous ressortent le même couplet : le réchauffement climatique n’existe pas. Et s’il existe, il est minime, et absolument pas d’origine humaine.

Déjà, il suffit de constater l’évolution de nos glaciers depuis plus de 30 ans pour bien comprendre que le réchauffement global n’est pas une vue de l’esprit.
J’aurais pu prendre l’exemple de la banquise arctique, qui est sur le point de disparaître en période estivale.

Quant à ceux qui prétendent que ce micro-réchauffement climatique n’est pas d’origine humaine, il suffit de constater l’évolution quasi-parallèle du taux de CO2 dans l’atmosphère et de l’évolution des températures...

Et s’il y a bien existé des périodes de réchauffement dans le passé, aucune n’à été aussi brutale que celle à laquelle nous assistons en ce moment ;)
 
A chaque vaguelette de froid, les climatosceptiques nous ressortent le même couplet : le réchauffement climatique n’existe pas. Et s’il existe, il est minime, et absolument pas d’origine humaine.

[…]
Qui a parlé de la vaguelette de froid ici ?

Personnellement j’ai parlé de gros plantage dans les prédictions, de censure et de pseudo‑science. J’en ai aussi profité pour rappeler d’autres causes de modification de l’environnement, aux effets plus radicaux et immédiats que quelques centimètres d’élévation des océans.
 
D’après Christian Gerondeau, les hauts responsables du GIEC ne sont pas des experts en climatologie, mais des fonctionnaires représentant leurs pays respectifs.

Il fait remarquer que le GIEC s’appel à l’origine et en Anglais, IPCC, un sigle signifiant « Intergovernmental Panel on Climate Change », c’est à dire « Groupe intergouvernemental sur le changement climatique », qui a été trompeusement traduit en français par, GIEC, « Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Évolution du Climat », le mot « experts » a été ajouté dans la désignation en français, mais le nom d’origine de l’organisation ne contient pas le mot « experts ».
Non , pas toi :pleurs:
 
Pour le végétale, c’est au contraire d’une désertification, une augmentation de la végétation qui est constatée, une végétation qui au passage produit plus de dioxyde de carbone (*) qu’on ne le pensait (30 % de plus), comme un autre sujet encore en parlait.

Voir le programme de lutte contre la désertification dans le Sud du Maroc ...
Pour la flore, les variétés de haute montagne migrent et déplacent leur "habitat" vers les sommets, plus froids.

Enfin, la photosynthèse et la respiration des plantes n'éludent pas les effets du CO autre que CO² et des pluies acides ...
 
Dernière édition:
Je ne suis pas étonné de ce débat: il y a rarement unanimité en sciences, surtout lorsque le sujet est connu du grand public.
Ce dernier trouve toujours quelques intérêts pour les positions minoritaires (c'est toujours valorisant de ne pas penser comme la masse).
Ainsi réchauffement climatique, vaccin, SIDA, ondes électromagnétiques etc. auront toujours des partisans pour soutenir les théories rejetées par la communauté scientifique.
Par exemple il existe une liste de 2300 scientifiques dont 2 prix Nobel pour soutenir que:
a) le SIDA n'est pas une maladie infectieuse ;
b) le SIDA n'est pas causé par un rétrovirus ;
c) les tests sérologiques et la charge virale ne sont pas fiables pour diagnostiquer le SIDA ;
d) les médicaments HAART (thérapie antirétrovirale hautement active) font plus de mal que de bien ;
e) l'hygiène publique et les conditions sanitaires adéquates, la nutrition équilibrée, et la restriction de l'usage des drogues récréatives peut prévenir et contrôler le SIDA beaucoup mieux que tout régime thérapeutique à base d'antirétroviraux toxiques, et
f) plusieurs alternatives et facteurs non viraux peuvent expliquer la plupart des cas d'immunodéficience acquise chez l'homme.
https://www.alterinfo.net/Selon-de-nombreux-scientifiques-le-virus-du-SIDA-n-existe-pas_a17030.html

Si des gens en sont là concernant le VIH, on peut comprendre que d'autres soient climato-sceptiques:bizarre:
 
Le problème se situe au niveau des cycles des GES : vitesse de production ou de libération des GES dans l’atmosphère et vitesse d'assimilation, de passivation ou de stockage (sous forme de charbon, houille, tourbes, dilution dans les océans, algues, etc).
La déforestation diminue la capacité de réduction des GES, bien plus la combustion des bois de coupe en libère ...
Un déséquilibre qui s'accompagne de l’élévation des taux de GES dans l'atmosphère.
Des analyses des gaz emprisonnés dans les différentes couches de carottes glacières prouvent cette évolution post révolution industrielle (charbon/aciers).
Si la production végétale augmentait et suivait la production de GES, on n'aurait pas pu constater de variation dans la composition des gaz emprisonnés ....
 
Les pauvres tortues elles sont en train de disparaitre à cause d'un "mensonge" qui n'existe pas alors :claque: ?

Les glaciers, ils se sont mis à fondre à une vitesse bien supérieure à ce qui se faisait des millénaires auparavant, sur la base d'un mensonge aussi alors :claque:

Le risque de disparition du Gulf stream est aussi basé sur un mensonge :claque:, risque qui entrainerait un changement climatique en europe de l'ouest, avec des saisons identiques à celles d'amérique du nord (du genre comme chez @Ebion )

Ou encore l'augmentation des cyclones et de leur formation, aussi basée sur un mensonge car le réchauffement climatique en est un :eek: :claque:
 
Non , pas toi :pleurs:
Quand Photoshop est utilisé pour travestir la réalité, on est pourtant pas dans la science, désolé si ça te choque, mais moi ce qui me choque c’est la manipulation : Écologie : l’ours polaire et sa doublure médiatique (contrepoints.org), 2015.

En parlant des pôles, une autre manipulation est de montrer des images alarmistes des glaces se désagrégeant en été en oubliant de dire qu’elles se reconstituent en hiver et en oubliant de dire que des énormes morceaux de la banquise se sont toujours détaché en été, c’est normal.
 
Voir le programme de lutte contre la désertification dans le Sud du Maroc ...
Pour la flore, les variétés de haute montagne migrent et déplacent leur "habitat" vers les sommets, plus froids.

Enfin, la photosynthèse et la respiration des plantes n'éludent pas les effets du CO autre que CO² et des pluies acides ...
Le Sahara, j’en avais parlé ailleurs, c’est la région qui souffre quand le climat se réchauffe, ça a toujours été le cas dans le passé. Il y a aussi une partie de l’Amérique du sud qui se porte le mieux pendant les périodes froides. Mais le Sahara et cette partie de l’Amérique du sud, ce n’est pas le monde. La population de ces régions n’est pas énorme, il est possible de la faire immigrer ailleurs, et activité humaine ou pas, de tels réchauffements se sont déjà produit dans le passé.

On ne peut pas comprendre quand on regarde à travers un trou d’aiguille, celui de la période actuelle sur deux ou trois décennies en prenant les années 1950‑1970 comme référence absolue. Le climat a une bien plus longue histoire, il y a eu des périodes chaudes, même plus chaudes que maintenant et des périodes froides causées par le volcanisme le plus souvent, qui sont d’ailleurs plus fréquentes que les périodes chaudes.

L’histoire sur les derniers milliers d’années, montre que au contraire d’être des catastrophes, les périodes chaudes ont été des périodes d’essor de civilisations (via l’accroissement de la production agricole, surtout les céréales), et ces mêmes civilisations trébuchent quand arrive une période froide (via des révoltes et des guerres de conquête).
 
Dernière édition:
Le problème se situe au niveau des cycles des GES : vitesse de production ou de libération des GES dans l’atmosphère et vitesse d'assimilation, de passivation ou de stockage (sous forme de charbon, houille, tourbes, dilution dans les océans, algues, etc).
La déforestation diminue la capacité de réduction des GES, bien plus la combustion des bois de coupe en libère ...
Un déséquilibre qui s'accompagne de l’élévation des taux de GES dans l'atmosphère.
Des analyses des gaz emprisonnés dans les différentes couches de carottes glacières prouvent cette évolution post révolution industrielle (charbon/aciers).
Si la production végétale augmentait et suivait la production de GES, on n'aurait pas pu constater de variation dans la composition des gaz emprisonnés ....
La déforestation provoque plus de dégâts directement en elle‑même que indirectement par la perte d’absorption de gaz carbonique, surtout quand la phytomasse augmente comme c’est le cas actuellement.

La déforestation ça signifie moins d’humus, plus d’érosion, des vents plus destructeurs et la disparition des habitats naturels de plusieurs espèces, et elle s’accompagne souvent de monoculture à grands coups de machines agricoles qui dament le sol et répandent des pesticides nuisibles à la santé des humains et des animaux et utilisent des engrais pour compenser la destruction de la vie naturelle du sol.

Ça fait sûrement plus de dégâts et plus rapidement, que la petite élévation du niveau des océans de quelques centimètres ou des hivers avec moins de neige.
 
Dernière édition:
Je ne suis pas étonné de ce débat: il y a rarement unanimité en sciences, surtout lorsque le sujet est connu du grand public.
Ce dernier trouve toujours quelques intérêts pour les positions minoritaires (c'est toujours valorisant de ne pas penser comme la masse).
[…]
Quand on ne comprends pas ce qu’on lit …
 
Les pauvres tortues elles sont en train de disparaitre à cause d'un "mensonge" qui n'existe pas alors :claque: ?
C’est le résultat de la chasse et de la destruction de leur habitat (plusieurs plages ont été détruites au cours des vingt dernières années). Elles ont commencé à disparaître avant qu’on ne parle de réchauffement climatique. Elles sont bien menacées par des causes humaines, mais pas le réchauffement. Les tortues ont connu des variations climatiques bien plus importantes depuis leurs ancêtres il y a des millions d’années.

Les glaciers, ils se sont mis à fondre à une vitesse bien supérieure à ce qui se faisait des millénaires auparavant, sur la base d'un mensonge aussi alors :claque:
Il y a eu pire au début de l’histoire de l’humanité (réchauffement puis refroidissement brutaux en quelques décennies) et même pendant la période de l’empire Romain.

Le risque de disparition du Gulf stream est aussi basé sur un mensonge :claque:, risque qui entrainerait un changement climatique en europe de l'ouest, avec des saisons identiques à celles d'amérique du nord (du genre comme chez @Ebion )

Ou encore l'augmentation des cyclones et de leur formation, aussi basée sur un mensonge car le réchauffement climatique en est un :eek: :claque:
Le gulf stream n’a pas toujours existé, il n’est pas stable par nature comme il est le résultat de plusieurs autres courants et ce type d’interaction est toujours en équilibre précaire. Comme je disais plus haut, l’histoire de la terre n’est pas gravée dans les années 1950‑1970, il faut sortir de l’anthropocentrisme.
 
Dernière édition:
C’est le résultat de la chasse et de la destruction de leur habitat (plusieurs plages ont été détruites au cours des vingt dernières années). Elles ont commencé à disparaître avant qu’on ne parle de réchauffement climatique. Elles sont bien menacées par des causes humaines, mais pas le réchauffement. Les tortues ont connu des variations climatiques bien plus importantes depuis leurs ancêtres il y a des millions d’années.


Il y a eu pire au début de l’histoire de l’humanité (réchauffement puis refroidissement brutaux en quelques décennies) et même pendant la période de l’empire Romain.


Le gulf stream n’a pas toujours existé, il n’est pas stable par nature comme il est le résultat de plusieurs autres courants et ce type d’interaction est toujours en équilibre précaire. Comme je disais plus haut, l’histoire de la terre n’est pas gravée dans les années 1950‑1970, il faut sortir de l’anthropocentrisme.
Bonjour hibou!

Tu aurais d'abord du me demander à quoi je me référais lorsque je parlais de disparition des tortues.

En terme terrestre c'est bien dû principalement à une destruction de leur environnement.
En revanche et d'où mon propos, les espèces maritimes sont un exemple concret de l'effet du changement de température.
Le déterminisme sexuel chez elles se fait selon la température d'incubation, ce qui induit au delà d'un seuil donné, un sexe masculin ou féminin selon l'espèce.

Avec la brutale variation à la hausse de ces derniers siècles, contrairement à auparavant sur des millénaires, les tortues n'ont pas pu s'adapter. Aujourd'hui cela signifie des déséquilibres populationnels. Voilà pourquoi j'ai cité le cas des tortues qui me paraît assez concret.

Sauf qu'on ne parle pas ici de variation sur des échelles d'années ou décennies à des niveau locaux ou régionaux, mais on parle d'échelle planétaire ce qui n'est pas identique. Qu'il y ait des abus bien entendu qu'il faut les dénoncer mais nier que ce réchauffement cause des dégâts et qu'il est d'origine principalement humaine ne me semble pas juste

Concernant le gulf stream je suis curieux de ton propos car on ne sait pas quand il me semble il s'est formé (mais c'est évident qu'il n'a pas toujours existé), mais on suppose qu'il a été découvert vers le 16e siècle simplement.
-> Par ailleurs je ne fais pas d'anthropocentrisme, j'ai simplement quelque connaissances dans le domaine de la géologie et un peu ( pas énormément) en climat. Ces connaissances me permettent de dire clairement que le réchauffement actuel n'est pas issu de phénomène naturel mais humain principalement
 
Ça fait sûrement plus de dégâts et plus rapidement, que la petite élévation du niveau des océans de quelques centimètres ou des hivers avec moins de neige.
Dans les situations d'équilibre instable, une "petite" variation peut avoir de lourdes conséquences : effet papillon, (théorie du chaos).
Une élévation de la température du corps humain de quelques degrés est souvent létale ...

Pour en revenir au sujet, il faut combiner les approches globales et locales : un réchauffement global et les effets locaux impliquant une migration des milieux et des écosystèmes : des espèces marines tropicales migrant vers eaux plus clémentes et faisant irruption dans des zones qu'elles ne colonisaient pas ...
 
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