apres quelque petite recherche j'ai touvé un rapport de l'unisco assez interessent pour ceux qui nous parle toujour de Islam et science.
LUnesco vient de rendre public, son rapport 2010 sur les sciences (ici ), rapport quelle publie tous les cinq ans.
Et il en ressort, une fois encore, que le monde musulman est un immense désert pour les sciences entourant une minuscule oasis (en rouge sur la carte), un état juif nommé Israël.
Si lon se base sur les données relatives à la production scientifique de chaque pays- en sciences naturelles, sciences physiques ainsi quen mathématiques - en termes de part relative, la répartition globale est la suivante :
pays de lOCDE 76,4 %,
Chine 10,6 %,
Inde 3,7 %,
Russie 2,7 %
Brésil (2,7 %)
Soit au total, 96,1 % de la production de données scientifiques.
le reste ne représentant que 3,9 %.
En ce qui concerne les pays musulmans, correspondant à lespace de lOrganisation de la conférence islamique (OCI), les données disponibles permettent davoir le tableau densemble suivant :
Turquie par ailleurs, membre de lOCDE 1,8 %,
Monde arabe 1,4 %,
Iran 1,1 %,
Pakistan/Afghanistan/Bangladesh/Indonésie/Malaisie 0,7 %
lAfrique subsaharienne, hors Afrique du sud, pour 0,6 %,
et les pays de la Communauté des Etats indépendants dAsie centrale pour 0,2 %.
Si lon regarde à présent les chiffres proportionnellement à la grandeur de la population:
LUNESCO obtient que 20 % de la population mondiale, soit 1,350 milliards de musulmans qui vivent dans les pays de lOCI, ne contribue quà hauteur de 5,3 % de la production scientifique mondiale.
En termes de nombre de publications scientifiques par million dhabitant, les chiffres de LUNESCO sont les suivants :
Environ 38 pour les pays musulmans, alors que la moyenne mondiale est denviron 148.
À titre de comparaison, ce nombre est de :
2 389 pour la Suisse
1 459 pour Israël
1 323 pour le Canada
1 023 pour les Etats-Unis
683 pour la Corée du sud
586 pour le Japon
139 pour le Brésil.
LUnesco vient de rendre public, son rapport 2010 sur les sciences (ici ), rapport quelle publie tous les cinq ans.
Et il en ressort, une fois encore, que le monde musulman est un immense désert pour les sciences entourant une minuscule oasis (en rouge sur la carte), un état juif nommé Israël.
Si lon se base sur les données relatives à la production scientifique de chaque pays- en sciences naturelles, sciences physiques ainsi quen mathématiques - en termes de part relative, la répartition globale est la suivante :
pays de lOCDE 76,4 %,
Chine 10,6 %,
Inde 3,7 %,
Russie 2,7 %
Brésil (2,7 %)
Soit au total, 96,1 % de la production de données scientifiques.
le reste ne représentant que 3,9 %.
En ce qui concerne les pays musulmans, correspondant à lespace de lOrganisation de la conférence islamique (OCI), les données disponibles permettent davoir le tableau densemble suivant :
Turquie par ailleurs, membre de lOCDE 1,8 %,
Monde arabe 1,4 %,
Iran 1,1 %,
Pakistan/Afghanistan/Bangladesh/Indonésie/Malaisie 0,7 %
lAfrique subsaharienne, hors Afrique du sud, pour 0,6 %,
et les pays de la Communauté des Etats indépendants dAsie centrale pour 0,2 %.
Si lon regarde à présent les chiffres proportionnellement à la grandeur de la population:
LUNESCO obtient que 20 % de la population mondiale, soit 1,350 milliards de musulmans qui vivent dans les pays de lOCI, ne contribue quà hauteur de 5,3 % de la production scientifique mondiale.
En termes de nombre de publications scientifiques par million dhabitant, les chiffres de LUNESCO sont les suivants :
Environ 38 pour les pays musulmans, alors que la moyenne mondiale est denviron 148.
À titre de comparaison, ce nombre est de :
2 389 pour la Suisse
1 459 pour Israël
1 323 pour le Canada
1 023 pour les Etats-Unis
683 pour la Corée du sud
586 pour le Japon
139 pour le Brésil.