Mort d'abdellah baha

Abdellah Baha, ministre d'Etat sans portefeuille du gouvernement d'Abdelilah Benkirane, est mort aujourd'hui à Bouzkina, après avoir été percuté par un train.
C'est ce qu'a annoncé il y a quelques minutes le journal l'Économiste, qui rapporte des sources proche du disparu.
Le défunt « était l'ami et le compagnon de toujours au sein du PJD. », écrit le journal. Secrétaire général adjoint du Parti de la justice et du développement depuis 2004, Abdellah Baha a été député de Rabat-Chellah.
Ingénieur agronome né (...)

- Maroc / Décès, Abdellah Baha, Abdelilah Benkirane

Mort d'Abdellah Baha
 
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Pareil a dit:
D'ailleurs faudra m'explique le concept de "ministre sans portefeuille".
Quand quelqu'un file un post aussi haut sans responsabilité ou travail à faire, c'est très douteux, soit il y a une affaire de coucherie entre les deux (comme le patron qui nomme sa secrétaire à un poste ultra payé) ou bien il y a chantage...

Même en Belgique on a pas encore osé ça en politique. :D
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yap! ca n existe pas ce poste parceque ca ne veut rien dire, que du protocol, il n est pas mentionne dans la Constitution d ailleurs, en fait c est un poste hors la loi lol
Baha est Benkiki sont amis depuis 30 ans, voila la vrai raison du poste.. son conseiller officielement ze3ma.. attend on paye le "conseiller" d un chef de gouvernement incompetent :claque:

Benkiki esperait que Baha prend sa place (il est a sa 3 eme election a la tete du PJD) voila qui va faire revenir El Othmani en jeu
 

Ce que je n'ai pas ccompris. Il était à pied ?
Il était en voiture ?
l'endroit est désertique
le pont est plein d'eau
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Pièces jointes

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imtiyaz a dit:
Ce que je n'ai pas ccompris. Il était à pied ?
Il était en voiture ?
l'endroit est désertique
le pont est plein d'eau
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il etait à pieds, d'aprés les temoins occulaires sur place .il est sorti de la mosquée , s'est arrêté un moment pour prier sur l'endroit où zaidi a trouvé la mort .
il a attendu que le train passe pour qu'il traverse ,il n'a pas vu l'autre qui venait du sens contraire, croyant peut être que les lumiéres et le vacarme venaient du train qui passait devant lui . il a hesité ne sachant probablement plus s'il devait traverser ou reculer .il a finalement reculé mais c'etait trop tard , le flanc du train l'a fauché et voilà.Allah yerhmou.
 
thitrite a dit:
il etait à pieds, d'aprés les temoins occulaires sur place .il est sorti de la mosquée , s'est arrêté un moment pour prier sur l'endroit où zaidi a trouvé la mort .
il a attendu que le train passe pour qu'il traverse ,il n'a pas vu l'autre qui venait du sens contraire, croyant peut être que les lumiéres et le vacarme venaient du train qui passait devant lui . il a hesité ne sachant probablement plus s'il devait traverser ou reculer .il a finalement reculé mais c'etait trop tard , le flanc du train l'a fauché et voilà.Allah yerhmou.
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Maskine.... allah y rahmou

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Jokeur a dit:
Salut,
Une phrase laconique haineuse, qui met à l'index les islamophobes qui ont un intérêt à semer la fitna et qui méconnaisent les marocains.
Dis-le à ses fils, à ses femmes, à ses amis ...
Triste commentaire témoignant du respect des morts ...
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Y a rien à faire avec eux, suffit de les laisser cracher leur fiel.
 
imtiyaz a dit:
Qui te dit que le PJD sera encore dans le gouvernement futur ? Il sont déjà tous morts et enterrés avant les élections.
Le Maroc ne dépendra jamais d'islamistes modérés ou pas, et qu'ils aillent se faire voir au delà de la mer rouge.

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Continue de rêver, ils sont présent dans le paysage politique et le resteront encore longtemps inshallah.
Ton courant ne représente rien au Maroc et tu le sais bien :)

A peine présent dans les forums et encore....
 
Sanzo a dit:
Continue de rêver, ils sont présent dans le paysage politique et le resteront encore longtemps inshallah.
Ton courant ne représente rien au Maroc et tu le sais bien :)

A peine présent dans les forums et encore....
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Le courant de Imtiyaz est le courant qui détient le pouvoir au Maroc, c'est le makhzen et la monarchie. :)
 
Scoco a dit:
Le courant de Imtiyaz est le courant qui détient le pouvoir au Maroc, c'est le makhzen et la monarchie. :)
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Salut,
Je ne pense pas que le makhzen défende la thèse du rejet des islamistes au delà de la mer Rouge ?
Quand à la Monarchie elle est celle de tous les marocains indépendamment des idéologies et des crédos, il suffit de voir la composition du Gouvernement de Sa Majesté pour s'en convaincre. Il n'y a pas de courant qui détient le Pouvoir, mais un Pouvoir qui compose avec les courants ...
 
Jokeur a dit:
Salut,
Je ne pense pas que le makhzen défende la thèse du rejet des islamistes au delà de la mer Rouge ?
Quand à la Monarchie elle est celle de tous les marocains indépendamment des idéologies et des crédos, il suffit de voir la composition du Gouvernement de Sa Majesté pour s'en convaincre. Il n'y a pas de courant qui détient le Pouvoir, mais un Pouvoir qui compose avec les courants ...
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Tu n'as pas compris mon message, si les makhzanistes sont monarchistes ça veut pas dire que les autres ne les sont pas, le courant makhzaniste est une idéologie qui approuve et défend le fait que tout les pouvoirs restent concentrés dans la main d'une seule personne, le roi, et que l'exécutif reste contrôler par le sérail du palais, conseillers et co.

J'espère que c'est plus clair maintenant, je mets fin à cette parenthèse. Bonne soirée.
 
Salut,
L'idée de l'échiquier politique dans le cadre d'une nation est à mon avis erronée : la nature nous apprend que la dichotomie en "blancs" et "noirs" n'est pas pertinente, du simple fait de la gradation des couleurs, de plus à l'échelle d'une nation, il n'y a ni dames, ni deux rois, mais bien un seul qu'il soit républicain ou monarque.
Les approches dichotomiques "intangibles" génératrices d'antagonismes entre blancs et noirs, bien et mal, makhzen et "progressistes", droite et gauche, modernistes et traditionalistes, courant dominant et prolétariat dominé, imberbe et barbu, féminisme et machisme, amazighs et non amazighs, caricaturales sont éculées en rengaines d'un autre temps où la forme, les stéréotypes prennent le pas sur le fond : la citoyenneté au service de la chose publique, des intérêts communs suprêmes de la nation.
De quoi inventer un nouveau jeu de stratégie, mettant en scène des acteurs d'une opposition cavalière qui ne progressent pas en ligne droite, ni selon la ligne des principes formant l'assise de leurs idéologies, intégrant les ingérences étrangères mobilisant les pions, ONG, séparatistes, les "fous" de gauche comme de droite, les imitations des tours Eiffel en bastions d'un sectarisme atavique, les marionnettes, les miroirs aux alouettes, les financiers ect.
Bref, la complexité des interactions au sein d'une nation, va au delà d'une vision réductrice en courants linéaires statiques. En fonction des enjeux et des thèmes, les pseudos clivages politiciens s'estompent, les positions changent.
On peut toujours créer des sous ensembles, une partition, distinguant une composante du tout, isoler un makhzen aux frontières floues et fluctuantes sans s'interroger sur son rôle stabilisateur et régulateur, en un noyau d'un homéomorphisme de groupes conservant les structures fondamentales de la nation et les identités multiples.
Les clivages sectaires en Syrie, en Irak, en Libye, en Egypte au Yemen et ailleurs en Afrique sont là pour témoigner que les approches réductrices en "courants" mènent irrémédiablement au Chaos.
 
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