tim92
el wad lidak makhalani
les americains et les européens font tout leurs possible pour faire peur le golf . l'important c'est la vente d'armes qui compte avant. il suffit de regarder la demonstration des avions que sarko a fait.
Obama et la paix au moyen orient
- Initiateur de la discussion FPP75
- Date de début
les americains et les européens font tout leurs possible pour faire peur le golf . l'important c'est la vente d'armes qui compte avant. il suffit de regarder la demonstration des avions que sarko a fait.
il peuvent leurs vendre des armes sans pour autant s'implanter sur place non ?
eux ils parlent d'une route stratégique et commerciale qu'il faut sécuriser ,MON OEIL ?
+1 hado13
C'est d'ailleurs ce qu'ils font partout en Afrique !
Les pays à la botte de la france par exemple, on y trouve même pas de présence militaire. Mais le matériel français oui :/
Deja il n'etait pas president a l'epoque.
et puis tu t'as jamais pose la question:les presidents/rois arabes-musulmans qu'est ce qu'ils ont fait pour les enfants et femmes de gaza??...oui rien...
corbier
noɯnoɯ ɐʎ ıuıu
Obama ou le Bill clinton, d' ailleur ils ont tout les 2 un point commun,c' est hilary qui traine à leur pied
http://www.freewebs.com/shamik-das-3/Pictures/Rabin-Clinton-Arafat_13-09-2007.bmp
Que de la poudre dans les yeux.
BenBomba
Johnny le Reb
Bien sur t'as bien fait de croire
les USA vont répandre la paix et établir un nouvel age au moyen orient.
Yes we can
Bipasha
Soussia
Obama appelle Israël à «arrêter la colonisation»
Le président américain a fait pression jeudi sur Israël pour la création d'un Etat palestinien et la fin de la colonisation en recevant le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas. «Je crois fermement à une solution à deux Etats», la Palestine coexistant avec Israël, a dit Barack Obama à l'issue de son premier entretien avec M. Abbas.
Il a aussi rappelé avoir été «très clair quant à la nécessité d'arrêter la colonisation» lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, le 18 mai à la Maison-Blanche.
Ces deux questions représentent un sérieux différend entre les gouvernements américain et israélien. Netanyahou refuse d'accepter un règlement à deux Etats, au coeur des efforts de paix de la communauté internationale depuis des années et oppose une fin de non-recevoir à un arrêt total de la colonisation. Obama a toutefois invoqué la dynamique intérieure israélienne pour dédramatiser les litiges. «Je suis confiant sur le fait que nous pouvons faire avancer ce processus si les parties sont prêtes à honorer leurs engagements»a-t-il insisté.
Mahmoud Abbas a de son côté qualifié sa rencontre avec Obama de «sérieuse et franche». «Nous sommes convenus de rester en contact en permanence», a-t-il ajouté. Interrogé sur le point de savoir s'il était plus optimiste sur la création d'un Etat palestinien sous la présidence Obama, il a répondu : «J'espère que les promesses vont se réaliser. Rien ne l'empêche à condition qu'Israël ne pose pas d'obstacles.» Il a en outre annoncé une nouvelle visite dans la région le 7 juin de l'émissaire américain George Mitchell.
Le président américain a fait pression jeudi sur Israël pour la création d'un Etat palestinien et la fin de la colonisation en recevant le dirigeant palestinien Mahmoud Abbas. «Je crois fermement à une solution à deux Etats», la Palestine coexistant avec Israël, a dit Barack Obama à l'issue de son premier entretien avec M. Abbas.
Il a aussi rappelé avoir été «très clair quant à la nécessité d'arrêter la colonisation» lors de sa rencontre avec le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, le 18 mai à la Maison-Blanche.
Ces deux questions représentent un sérieux différend entre les gouvernements américain et israélien. Netanyahou refuse d'accepter un règlement à deux Etats, au coeur des efforts de paix de la communauté internationale depuis des années et oppose une fin de non-recevoir à un arrêt total de la colonisation. Obama a toutefois invoqué la dynamique intérieure israélienne pour dédramatiser les litiges. «Je suis confiant sur le fait que nous pouvons faire avancer ce processus si les parties sont prêtes à honorer leurs engagements»a-t-il insisté.
Mahmoud Abbas a de son côté qualifié sa rencontre avec Obama de «sérieuse et franche». «Nous sommes convenus de rester en contact en permanence», a-t-il ajouté. Interrogé sur le point de savoir s'il était plus optimiste sur la création d'un Etat palestinien sous la présidence Obama, il a répondu : «J'espère que les promesses vont se réaliser. Rien ne l'empêche à condition qu'Israël ne pose pas d'obstacles.» Il a en outre annoncé une nouvelle visite dans la région le 7 juin de l'émissaire américain George Mitchell.
Bipasha
Soussia
un autre article intéressant.
Entre Israël et les États-Unis, le climat n'est plus au beau fixe, comme du temps de George W. Bush.
Entre Obama et Nétanyahou, c'est une rude partie d'échecs qui a commencé.
« Le président Obama est très clair. Il veut la fin de la colonisation : pas de colonies, pas de postes avancés, pas d'exceptions liées à la croissance naturelle » des colonies de peuplement en Cisjordanie.
Nétanyahou pensait qu'il avait en Hillary Clinton, l'ancienne sénatrice de New York ouvertement pro-israélienne pendant sa campagne, une alliée au sein de l'administration. Il doit déchanter.
Le message d'Obama signifie qu'il ne fait aucun cas de la fragilité politique du gouvernement Nétanyahou et ne parie pas sur sa longévité. Le premier ministre israélien aura bientôt le choix entre une crise politique intérieure ou une crise avec les États-Unis ou, plus vraisemblablement, les deux à la fois.
Quant à Obama, il poursuit son chemin, imperturbable. Le 4 juin au Caire, il prononcera son «discours au monde musulman». On y découvrira la feuille de route qu'il s'est tracée au Proche-Orient.
Les signaux lancés par la Maison-Blanche montrent que le conflit israélo-palestinien s'inscrit pour cette Administration dans un cadre plus large. Israël reste l'« allié privilégié » des États-Unis qui demeurent les « garants » de sa sécurité. Mais Washington poursuit aussi d'autres objectifs dans la région et attend désormais de son allié qu'il y contribue.
Ainsi en est-il de l'amélioration souhaitée de relations avec le monde arabe ainsi que du règlement recherché de la question iranienne.
Avec George W. Bush, Israël avait perdu l'habitude de ce genre de discours. Les semaines qui viennent nous diront s'il s'agit seulement d'un changement verbal ou bien si la politique des États-Unis vis-à-vis d'Israël est en train de se transformer en profondeur.
Entre Israël et les États-Unis, le climat n'est plus au beau fixe, comme du temps de George W. Bush.
Entre Obama et Nétanyahou, c'est une rude partie d'échecs qui a commencé.
« Le président Obama est très clair. Il veut la fin de la colonisation : pas de colonies, pas de postes avancés, pas d'exceptions liées à la croissance naturelle » des colonies de peuplement en Cisjordanie.
Nétanyahou pensait qu'il avait en Hillary Clinton, l'ancienne sénatrice de New York ouvertement pro-israélienne pendant sa campagne, une alliée au sein de l'administration. Il doit déchanter.
Le message d'Obama signifie qu'il ne fait aucun cas de la fragilité politique du gouvernement Nétanyahou et ne parie pas sur sa longévité. Le premier ministre israélien aura bientôt le choix entre une crise politique intérieure ou une crise avec les États-Unis ou, plus vraisemblablement, les deux à la fois.
Quant à Obama, il poursuit son chemin, imperturbable. Le 4 juin au Caire, il prononcera son «discours au monde musulman». On y découvrira la feuille de route qu'il s'est tracée au Proche-Orient.
Les signaux lancés par la Maison-Blanche montrent que le conflit israélo-palestinien s'inscrit pour cette Administration dans un cadre plus large. Israël reste l'« allié privilégié » des États-Unis qui demeurent les « garants » de sa sécurité. Mais Washington poursuit aussi d'autres objectifs dans la région et attend désormais de son allié qu'il y contribue.
Ainsi en est-il de l'amélioration souhaitée de relations avec le monde arabe ainsi que du règlement recherché de la question iranienne.
Avec George W. Bush, Israël avait perdu l'habitude de ce genre de discours. Les semaines qui viennent nous diront s'il s'agit seulement d'un changement verbal ou bien si la politique des États-Unis vis-à-vis d'Israël est en train de se transformer en profondeur.
America say yeah !
BenBomba
Johnny le Reb
LeMulet
Adieu tout le monde
Une notion utopique qui n'a pas lieu dans ce monde..
Islamistes !!??
Apprend ceci " si on n'a pas un ennemi, faut le créer "
LeMulet
Adieu tout le monde
Et pourtant la présence Française en Arabie est réel
c'est une alliance pour faire la guerre contre l'Iran. donc c'est toujours une guerre de civilisation.
La vraie alliance des civilisations, c'est les nations unis avec un grand pouvoir d'autoproclamation. et ceux qui ont affaiblie les nations unis, sont les 5 membres permanents du conseil de sécurité, dont la Chine, Etats-Unis, Fédération de Russie, France et Royaume-Uni.
mais oui mais biensur
je viens de faire basculer la majorité vers le non..Obama ne va pas révolutionner quoi que ca sur cette planète..il est noir point barre..
bon voila j'ai lu ton message avant de voter le non, Sir Obama va esayer seulement de reparer la mauvaise image de USA donnée par ses ex president, mais je suis assez persuedé qu'il va tchatcher sans trop agir.....................d'ailleurs il ne peut pas
myself000
VIB
Il n'a rien d'extraordinaire Brack..il est juste entré dans l'histoire parce qu'il estblack..du coup y'a un engouement fou autour de lui..et ses beaux discours plaisent..mais ce ne sont que des discours comme on en a déjà entendu..
Ile ne peut rien contre ce qui se passe en Palestine..et de toute manière c'est pas dans son intéret que les conflits cessent faut pas se leurrer..
Obama s'en fou de la politique extérieur, il va faire wallou, nada; nothing.
myself000
VIB
voilà tout est dit ...
Arreter de croire qu'Obama va venir avec sa cape sauver le monde. On vit pas dans le monde des bisounours !!!!!!!!!
