On en parle ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Barlamane
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On se demande où ils sont allés les pêcher ces drôles de poissons. Y a un vrai problème d'identité et il n'y a pas mieux que son compatriote (parisien :D) pour parler de cela.
 
Dernière édition:
que ce passe t'il quand un bon vulgarisateur et synthetiseur avec une trés bonne culture generale se confronte à une personne donc le domaine est sa specialité
aprés meme si idriss maitrise moin bien le sujet que son adversaire cela n'enleve rien a son merite

j'apprecie ces 2 personnes car leur savoir me rende humble
meme si je ne les connais pas vraiment je trouve leur intervention souvent trés interessant

j'ai pas encore vraiment ecouté ce debat mais ca semble interessant

j'avais suivi cette émission mais j'ai trouvé qu'elle avait été gâchée par l'égo surdimensionné des 2 qui n'ont pas arrêté de se tirer dans les pattes façon "c'est moi qui vais pisser le plus loin" tout ce qu'il y'a de plus puéril, dommage, parce que le thème et l'émission étaient très intéressants.
 
Juste pour dire, près d'un an après la prise de becs entre Achachi et Aberkane, que je me range du côté d'Aberkane
Achachi, t'es un monstre d'érudition mais tu tombes bien trop bas quand on partage pas ton opinion.
 
Est ce que vous saviez que la capitale du Sri Lanka c’est en réalité Sri Jayawardenapura Kotte?

Moi j’ai toujours pensé Colombo ! On s’est fait arnaqué :D
 
En 1921, sur le cachet de cire noir qui scelle le col du flacon du parfum CHANEL N°5, Gabrielle Chanel appose un C, première lettre de son nom.
Une lettre C majuscule qu’elle trace également de sa main à l’intérieur des livres de sa bibliothèque.


L’ABBAYE D’AUBAZINE


Ce C elle va se l’approprier pour en faire un monogramme en le doublant : il va alors devenir le logotype de la Maison CHANEL, rappelant dans ses courbes rondes, les entrelacs des vitraux de l’abbaye cistercienne d’Aubazine, lieu fondateur de l’esthétique de CHANEL.

Justine Picardie dans son ouvrage CHANEL, sa vie (2010, Ed. Steidl) écrit : “La pénombre règne dans l’abbaye et le sol de pierre est aussi froid que les murs. Des rais de lumière passent cependant à travers les vitraux gris et blancs nacrés. Les vitraux de cette abbaye cistercienne ne sont pas figuratifs mais ornés de motifs géométriques, des nœuds et des entrelacs qui rappellent étrangement le double C du logo CHANEL“.


Remarquablement simple, ce monogramme s’impose comme un signe de reconnaissance.


CLAUDE DE FRANCE & CATHERINE DE MÉDICIS


Comment ne pas les comparer à ceux de la Reine Claude de France (1499-1524) et de Catherine de Médicis (1519-1589) formés, eux aussi, d’un double C ?


La reine Claude de France est la première personne reconnue à utiliser le double C comme insigne. Les C entrelacés se trouvent au château royal de Blois : (…) dans les appartements de la reine Claude de France où se voient encore les délicates sculptures des doubles C, accompagnés des images de blancheur parfaite, de cygnes et de lys, ce qui signifiait candidior candidis, plus blanche que les plus blanches choses, la devis de la reine (Catherine de Médicis et son temps dans la Comédie Humaine, Nicole Cazauran).

Caterina Maria Romula di Lorenzo de’ Medici, grande figure du XVIe siècle, signe toutes ses correspondances par deux C entrecroisés…


Aux côtés de l’emblème d’Henri II, ce sont ces mêmes double C de Catherine de Médicis que l’on retrouve sur une cheminée au château de Chenonceau.

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Une épingle à cheveux en or, coiffée d’un chiffre composé de deux C entrelacés, rehaussés d’un émail vert pour l’un et blanc pour l’autre a été retrouvée lors de récents travaux de réhabilitation du quartier Henri IV au château de Fontainebleau. Ce chiffre est utilisé par plusieurs personnages au XVIe siècle mais, associé aux couleurs vert et blanc, il vient naturellement à l’esprit la reine de France, Catherine de Médicis (1519-1589)…

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