Tes deux articles date d’avant la guerre , donc avant les sanctions économique dont on a pour l’instant vu que la partie émergée, , mais il y a des conséquences à long terme . Faut être patient avec l’économie , pour l’instant comme dit , c’est un gonflement artificiel des chiffres qui va bientôt s’effondrer.La dette publique devrait atteindre 113,5% du PIB en 2022, selon Olivier Dussopt
Le ministre des comptes publics table par ailleurs «sur une dette publique de 115,3% du PIB fin 2021» contre 118% initialement attendus.www.lefigaro.fr
En ce qui concerne la Russie, en 2017, sa dette s'élevait à 84% du PIB, dont 81,5 % étaient des dettes commerciales (ou privées) soit 897 dollars par personne, explique Gaïdar Gassanov, expert au Centre financier international de Moscou. Les réserves de la Russie ont dépassé 500 milliards de dollars pour la première fois cette année, ce qui signifie que l'économie peut assurer la stabilité de sa monnaie nationale en cas de nouveaux risques potentiels de sanctions à l'avenir
Comment et pourquoi la Russie a-t-elle réduit sa dette à zéro?
Les réserves financières du pays ont dépassé sa dette pour la première fois depuis 2014. Pourquoi est-ce important?fr.rbth.com
en 2022 pour la Russie -----> ZERO
-------------- la France ------> 113.5% du PIB ,
on est loin des critères Européennes exigées par Bruxelles 60% !
Hélas , je ne suis pas aussi optimiste que toi !
la situation financière de l Europe est beaucoup plus fragile que celle de la Russie . j aurais aimé que çà se soit le contraire
Mais faut pas se voiler la face
Guerre en Ukraine : face aux sanctions imposées par les Occidentaux, l'économie russe se trouve-t-elle dans une impasse ?
Trois mois après le début de la guerre, le pays tente de faire le dos rond face aux mesures de rétorsion imposées par les pays occidentaux. Pour combien de temps ?
www.francetvinfo.fr
extrait :
Interrogée par franceinfo début avril, la chercheuse Anna Colin Lebedev estime que la situation sera intenable sur la durée. "Les sanctions font mal, notamment parce que l'économie russe est extrêmement dépendante de produits européens, de technologies européennes, de matières premières européennes." C'est le cas, par exemple, dans l'industrie automobile. En raison de l'arrêt des importations de modèles occidentaux, les entreprises de livraison jettent désormais leur dévolu sur les marques russes (UAZ, Lada, GAZ…). Mais là encore, les sanctions imposées par les pays occidentaux posent problème : la part des composants électroniques importés atteint parfois 50% dans ces modèles.
Ces tensions menacent des pans entiers de la production industrielle russe. "L'effet durable des sanctions, moins visible, est de compliquer l'approvisionnement en composants critiques pour de nombreuses industries technologiques en Russie, au premier rang desquelles se trouve le complexe militaro-industriel", résume l'économiste Julien Vercueil. "La question est de savoir combien de temps ces difficultés persisteront et à quelle vitesse les entreprises pourront trouver de nouveaux fournisseurs", commente (en anglais) pour sa part Elvira Nabiullina, fraîchement reconduite pour cinq ans à la tête de la Banque centrale russe."Les entreprises connaissent des difficultés considérables en matière de production et de logistique."
La Banque centrale russe
dans un communiqué
Les compagnies russes tentent, à la hâte, de faire évoluer leurs importations et leurs exportations, en diversifiant les partenaires et les biens concernés. Mais là encore, l'équation est délicate. Même en cas de soutien chinois sur l'achat de matières premières et les fournitures de technologies, "l'asymétrie économique entre les deux pays risque de se traduire par une dépendance financière, économique et technologique de la Russie", alors que "l'économie de son voisin est environ dix fois plus puissante", analyse Julien Vercueil.