Pour en finir avec les théories du complot

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Chose étrange, la BBC et CNN annonçaient son effondrement ... avant même qu'il ne survienne ! La Commission d'enquête a passé le cas sous silence.

Nous sommes tous les otages du 11 septembre


Les sionistes ne reconnaissent que les infos validées par le likoud et les sion de gauches.
 
A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants du passé : la destruction et l’altération des textes.

L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.

Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure au régime masculin devait, pendant longtemps, être effacée.

Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains.
Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.

Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.

N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.

Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.

N’est-ce pas de là que vient le mot « predate » (antidater) d’où « pré-dateur » ?

Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs. Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès (ça résume un peu toute l’histoire contemporaine des « USA » et de leurs ennemis).

Or, tout cela était mensonge et il importe aujourd’hui de rechercher la vérité cachée, c’est-à-dire le plaidoyer des vaincus, leur véritable état social et moral.
 
tu es ici depuis l’aube non stop mdr

mais je ne suis pas là en permanence, je jette un oeil de temps en temps, comme je travaille la plupart du temps devant mon ordinateur.
et de plus je tape très vite, cela ne me prend pas tant de temps que cela
mes collègues disent que je tape plus vite que mon ombre ;)
 
le courage et l'intelligence, ce n'est pas de glaner n'importe quoi sur internet
mais de comprendre ce qu'est une source, le croisement des sources, l'analyse de la validité d'une information,
comment distinguer une information d'une rumeur colportée par des analphabètes, par exemple.
bref tout cela est vraiment attristant,
mais bon continuez dans l'obscurantisme, foncez bien au fond et vautrez vous dans la boue :rolleyes:


On a le courage, l'intelligence, nos sources, des infos validées, et on a pas besoin de ton obscurantisme talmudique de fake news
 
A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants du passé : la destruction et l’altération des textes.

L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.

Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure au régime masculin devait, pendant longtemps, être effacée.

Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains.
Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.

Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.

N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.

Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.

N’est-ce pas de là que vient le mot « predate » (antidater) d’où « pré-dateur » ?

Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs. Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès (ça résume un peu toute l’histoire contemporaine des « USA » et de leurs ennemis).

Or, tout cela était mensonge et il importe aujourd’hui de rechercher la vérité cachée, c’est-à-dire le plaidoyer des vaincus, leur véritable état social et moral.
Pertinent. Comme d'habitude.
 
A toutes les époques, il y a eu des partis qui, voulant s’emparer d’un pouvoir auquel ils n’avaient pas droit, ont appuyé leurs prétentions sur une idée, un système, une théorie religieuse ou sociale, qu’ils ont propagée par violence, par fraude ou par ruse. Deux moyens furent notamment employés pour faire disparaître les témoignages gênants du passé : la destruction et l’altération des textes.

L’ère de destruction s’ouvrit au VIIIème siècle. On précise même la date : cela commença en 747 avant notre ère, c’est-à-dire au moment où la classe sacerdotale se constitua.

Un roi de Babylone nommé Nabou-Assar, rempli d’un orgueil fanatique et irrité des éloges qu’il entendait prodiguer au régime antérieur, s’imagina qu’il suffisait de faire disparaître sa trace dans l’histoire pour remplir l’univers de son nom et rendre sa domination légitime. Il fit effacer toutes les inscriptions, briser toutes les tables d’airain et brûler tous les papyrus. Il voulait que l’époque de son avènement au trône fût celle qui commençât l’histoire. Et cette idée devait triompher ; l’histoire antérieure au régime masculin devait, pendant longtemps, être effacée.

Nous savons qu’une semblable idée était venue aux Romains.
Le souvenir d’un pareil événement s’est perpétué aux Indes. On sait assez qu’il eut lieu en Chine et que l’empereur Tsinchi-hoang-ti alla encore plus loin que Nabou-Assar, en défendant sous peine de mort de garder aucun monument littéraire antérieur à son règne.

Ce système est resté dans les habitudes de tous les conquérants, de tous les usurpateurs, il a même pris des proportions formidables dans les religions modernes.

N’oublions pas que la fameuse Bibliothèque d’Alexandrie a été brûlée trois fois, que les papes chrétiens ont fait détruire un grand nombre de monuments antiques, que les archives du Mexique et celles du Pérou ont disparu pour satisfaire le zèle fanatique d’un évêque espagnol.

Puis, lorsque ces partis triomphaient, ils avaient soin d’abord d’écrire l’histoire passée, la montrant comme une longue préparation de leur triomphe qu’ils justifiaient par une aspiration des foules existant depuis longtemps.

N’est-ce pas de là que vient le mot « predate » (antidater) d’où « pré-dateur » ?

Pour répandre l’histoire ainsi écrite, ils créaient un enseignement obligatoire dans lequel ils ne manquaient pas d’avilir leurs ennemis, ceux qu’ils avaient vaincus et qu’ils représentaient toujours comme des barbares ou des gens de mauvaises mœurs. Eux-mêmes se représentaient comme des sauveurs apportant tous les progrès (ça résume un peu toute l’histoire contemporaine des « USA » et de leurs ennemis).

Or, tout cela était mensonge et il importe aujourd’hui de rechercher la vérité cachée, c’est-à-dire le plaidoyer des vaincus, leur véritable état social et moral.

oui ton post historique sur la réécriture de l'histoire par les vainqueurs est intéressant. Et vrai. Surtout quand ce sont les rois qui ont écrit leur propre histoire, ou en général le pouvoir.

Cependant, dans l'historiographie récente, il y a eu bien des historiens qui se sont intéressés à la "contre-histoire", l'histoire des minorités sociales, les bas fonds, les ouvriers, les bandits mêmes, et bien sûr l'histoire des vaincus.

Notre époque est presque tout à l'opposé: c'est l'histoire des victimes qui prime bien plus que l'histoire des bourreaux vainqueurs. On a même pu parler de "concurrence des victimes" et d'histoire victimaire.

Sans parler des grandes tendances qu'ont constitué le marxisme, l'histoire post-coloniale, le féminism, les études ethniques, afro-américaines, hispano-américaines etc ("ethnic studies" aux USA)...

L'histoire des vainqueurs, histoire officielle encore dans certains pays totalitaires, n'est quand même plus au gout du jour en occident en tous cas.

je rajoute juste que l'étymologie de "prédateur" n'est pas dans "pré dater" ni dans le mot "date"
mais vient de praeda, le mot ancien pour la "proie", le prédateur est celui qui pille ses proies.

Emprunt au latin praedator «pillard, voleur» dér. de praeda «butin de guerre; proie prise à la chasse ou à la pêche».
 
Je partage avec vous cet article sur les mensonges de la « naza ». « Naze » et « Nazi ». Tout un programme. LoL.
La capsule de rentrée de la mission lunaire chinoise Chang’e 5 est revenue sur Terre, ramenant avec elle des échantillons du sol lunaire. La dernière fois qu’un tel événement a eu lieu, c’était en 1976. Comme prévu, la capsule a atterri en Mongolie intérieure chinoise. La capsule de 300 kg a déjà été retrouvée. Son état est en cours d’évaluation avant qu’elle ne soit transportée dans un lieu sûr.

Jusqu’à hier, la situation des échantillons de sol lunaire était la suivante :

  • Les six missions Apollo ont ramené 382 kg de sol lunaire (c’est ce que l’on prétend ; personne en dehors de la NASA n’a jamais été autorisé à les voir)
  • Trois missions soviétiques (Luna 16, 20 et 24) ont ramené 324 g
La mythologie officielle américaine ultérieure sur ce sujet va dans ce sens :

Les Américains ont distribué des échantillons de sol lunaire dans le monde entier. Des dizaines de centres de recherche et de laboratoires parmi les plus grands et les plus éminents du monde ont reçu de grosses roches et de nombreux kilos de sol. Les scientifiques du monde entier les ont étudiés et ont découvert… ils ont découvert… euh… par exemple… hum…

La réalité est un peu plus compliquée.

Les Américains ont d’abord annoncé qu’ils allaient distribuer des échantillons de sol lunaire provenant de leur gigantesque réserve, mais six mois plus tard, ils ont mis un frein à ce programme. Puis ils ont annoncé que les échantillons seront conservés dans des conteneurs spéciaux en attendant un meilleur équipement pour leur analyse. Cette annonce a été faite alors que leur programme spatial lunaire était à son apogée et qu’ils étaient censés faire des voyages sur la Lune le week-end, au pied levé, juste pour prendre des selfies et rouler en buggy sur les dunes. « Nous volons vers la Lune, nous continuerons à voler vers la Lune encore plus souvent, nous avons 400 kilos d’échantillons de sol uniques et nous les mettrons dans un stockage secret parce que nous n’avons pas de bon équipement de laboratoire ». N’est-ce pas absurde !

Bien que des dizaines d’universités et de laboratoires du monde entier aient demandé des échantillons, peu d’entre eux en ont reçu et la taille des échantillons n’a pas impressionné. Par exemple, l’URSS a reçu 2 grammes, la Chine 1 gramme. Et ils ont reçu ces échantillons très peu de temps et ont dû les renvoyer sans perte de masse.

En outre, les échantillons qui ont été fournis comprenaient des échantillons d’exposition dans des récipients hermétiques à condition qu’ils ne soient pas ouverts.
 
Le plus curieux est que les seules percées dans l’étude du sol lunaire sont venues de l’étude des minuscules échantillons ramenés par les Lunas soviétiques 16, 20 et 24. On a découvert qu’ils contenaient une couche de fer pur d’une épaisseur de 20 angströms, ce qui est tout à fait inattendu. Après que le professeur O. Bogatikov ait présenté cette découverte à CalTech, un représentant américain l’a approché et lui a dit que cela ne pouvait pas être, « parce que nous l’aurions trouvé aussi ». Moins d’un mois passe, et un miracle se produit : Les Américains télégraphient au monde entier qu’ils ont eux aussi trouvé une telle couche dans leurs échantillons (bien qu’ils n’en fournissent aucune preuve). Des recherches plus poussées sur les échantillons soviétiques permettent de trouver du cérium atomique pur, de l’iodure de rhodium, du sulfure aurique. Les Américains se débattent un peu, mais annoncent ensuite qu’ils ont également trouvé un minéral unique : l’yttrobetafite. Mais leur excitation est de courte durée lorsqu’il s’avère que l’yttrobetafite a été trouvée en 1962 dans des échantillons venant de Carélie, en URSS, et qu’il ne s’agit donc pas d’un matériau lunaire unique.

Les Américains prétendent avoir ramené un camion d’échantillons uniques, l’avoir distribué au monde entier et… rien. Il y a eu beaucoup de battage médiatique, un camouflage bizarre et ensuite des tentatives tendues pour simuler la concurrence scientifique.

Mais maintenant, un nouveau joueur est entré dans ce domaine très intéressant qui est resté en suspens pendant un demi-siècle. Les Chinois parlent déjà de la pression sans précédent qu’ils subissent de la part de la NASA, exigeant d’être fournie immédiatement en échantillons de sol lunaire. Cela va être très amusant à regarder !

source:http://versouvaton.blogspot.com/
 
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