Salam,
Je constate dans notre communauté, une certaine précipitation injustifiée en ce qui concerne leur envie de se marier, ainsi plus grave une envie immédiate d'enfant survenant quelques mois après le mariage.
En ce qui me concerne, je trouve cette envie pressante de mariage injustifiée, inutile, mais le plus suicidaire et ce qui est vraiment dangereux est l'envie (souvent comblée) de faire un enfant survenant quelque mois après le mariage, alors que le couple est frais, et que les fondations conjugales de ce couple, soient encore en construction.
La communauté maghrébine aujourd'hui, est en proie un problème d'identité, de repères; cela est un fait mais plus grave; la communauté maghrébine est une des communautés connaissant un nombre galopant de divorces et je reste persuadé que plus de la moitié des mariages est voué à l'échec.
Je vais évoquer un aspect, sur un des éléments responsable de ces échecs: le mariage de plus en tardif des femmes (cela sera analysé dans un prochain post), si bien qu'arrivé à un age et face aux pression familiales "on prends ce qui reste", car on a attendu depuis belle lurette le prince charmant mais malheureusement "le numéro demandé n'est plus attribué, merci de consulter la liste des renseignements". On peut egalement imputer le pénurie de prétendants, à un ego demeuré, au fait que certaines se soient précipitées dans une sorte de lévitation perfide axée sur une certaine condescendance, un mépris pour les personnes simples...mais comme je l'ai répété ce point sera analysé dans un prochain post.
Permettez Madame Claire Chazal que je puisse m’humecter la gorge asséchée d'oasis, afin que je puisse continuer mon analyse très pertinente? Vous acceptez? Merci Madame Chazal vous êtes bien bonne, je voulais dire vous êtes gentille. Je ne me permettrais pas voyons, car mon statut officiel de Général ne me le permets pas.
Comme je le stipulais au début de mon post, la probabilité de succès dans un mariage Maghrébin est de plus faible, si bien comme je l'affirmais nombre de couples soient victimes de divorce.
Je vais néanmoins revenir au thème central de mon débat, qui était: l'envie pressente de mariage engendrée par nombre de femmes, ainsi que l'envie de maternité.
Bons nombre de ses femmes ignorent une chose; une femme divorcée dans la communauté Maghrébine aura beaucoup de mal à retrouver un mari, car les préjuges à l'encontre de ses femmes est avérée et lourd, mais pire une femme divorcée avec un ou des enfants sera comme la quête du Graal pour retrouver un homme voulant se lancer dans un second mariage.
Est ce que le risque à vouloir une envie pressente de maternité mérite d’être pris? tout en sachant qu'en cas d’échec (donc de divorce), un enfant sera en jeu entre deux adultes, et que cet enfant risque de grandir sans homme à la maison avec pour seul parent une mère isolée?
Ce risque est assimilable à de l’égoïsme. Mais fait encore plus grave, des femmes en dépit du fait que le couple aille mal, soit au bord de l’asphyxie et à quelque mois du divorce, ne renoncent pas à se projet et se retrouvent bien souvent enceintes alors que la procédure de divorce soit en cours.
Ma question est simple: pourquoi tant d'empressement surtout (desolé Mesdames), de la gente féminine à prendre des risques inconsidérés alors que l'on ait conscience du danger?
Je constate dans notre communauté, une certaine précipitation injustifiée en ce qui concerne leur envie de se marier, ainsi plus grave une envie immédiate d'enfant survenant quelques mois après le mariage.
En ce qui me concerne, je trouve cette envie pressante de mariage injustifiée, inutile, mais le plus suicidaire et ce qui est vraiment dangereux est l'envie (souvent comblée) de faire un enfant survenant quelque mois après le mariage, alors que le couple est frais, et que les fondations conjugales de ce couple, soient encore en construction.
La communauté maghrébine aujourd'hui, est en proie un problème d'identité, de repères; cela est un fait mais plus grave; la communauté maghrébine est une des communautés connaissant un nombre galopant de divorces et je reste persuadé que plus de la moitié des mariages est voué à l'échec.
Je vais évoquer un aspect, sur un des éléments responsable de ces échecs: le mariage de plus en tardif des femmes (cela sera analysé dans un prochain post), si bien qu'arrivé à un age et face aux pression familiales "on prends ce qui reste", car on a attendu depuis belle lurette le prince charmant mais malheureusement "le numéro demandé n'est plus attribué, merci de consulter la liste des renseignements". On peut egalement imputer le pénurie de prétendants, à un ego demeuré, au fait que certaines se soient précipitées dans une sorte de lévitation perfide axée sur une certaine condescendance, un mépris pour les personnes simples...mais comme je l'ai répété ce point sera analysé dans un prochain post.
Permettez Madame Claire Chazal que je puisse m’humecter la gorge asséchée d'oasis, afin que je puisse continuer mon analyse très pertinente? Vous acceptez? Merci Madame Chazal vous êtes bien bonne, je voulais dire vous êtes gentille. Je ne me permettrais pas voyons, car mon statut officiel de Général ne me le permets pas.
Comme je le stipulais au début de mon post, la probabilité de succès dans un mariage Maghrébin est de plus faible, si bien comme je l'affirmais nombre de couples soient victimes de divorce.
Je vais néanmoins revenir au thème central de mon débat, qui était: l'envie pressente de mariage engendrée par nombre de femmes, ainsi que l'envie de maternité.
Bons nombre de ses femmes ignorent une chose; une femme divorcée dans la communauté Maghrébine aura beaucoup de mal à retrouver un mari, car les préjuges à l'encontre de ses femmes est avérée et lourd, mais pire une femme divorcée avec un ou des enfants sera comme la quête du Graal pour retrouver un homme voulant se lancer dans un second mariage.
Est ce que le risque à vouloir une envie pressente de maternité mérite d’être pris? tout en sachant qu'en cas d’échec (donc de divorce), un enfant sera en jeu entre deux adultes, et que cet enfant risque de grandir sans homme à la maison avec pour seul parent une mère isolée?
Ce risque est assimilable à de l’égoïsme. Mais fait encore plus grave, des femmes en dépit du fait que le couple aille mal, soit au bord de l’asphyxie et à quelque mois du divorce, ne renoncent pas à se projet et se retrouvent bien souvent enceintes alors que la procédure de divorce soit en cours.
Ma question est simple: pourquoi tant d'empressement surtout (desolé Mesdames), de la gente féminine à prendre des risques inconsidérés alors que l'on ait conscience du danger?
