Que se passe t'il en Ukraine ?
- Initiateur de la discussion Filauzof
- Date de début
Tout ceci est connu, mais cette situation présentait plus d'avantages que d'inconvénients.
Si les avantages disparaissent il est naturel de revoir la situation.
Tu en est encore à attacher de l'importance aux pitreries de D Trump ?
et son pote E Musk est encore pire
avec 2 guignols de cette catégorie, nos amis américains sont mal partis
Dernière édition:
International25/02/2025 05:45 Actualisé le 25/02/2025 09:29
La résolution qui « demande instamment qu’il soit mis fin au conflit dans les plus brefs délais et plaide pour une paix durable » a recueilli 10 voix pour, dont celle de la Russie, et aucune contre. Les quatre pays de l’UE (France, Slovénie, Grèce, Danemark) et le Royaume-Uni se sont abstenus.
Ben ça alors, Macron a encore trahi ? cette fois ci Zelenski?
Ce vote à l’ONU montre que le sort de l’Ukraine est entre les mains de Trump et Poutine
Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution américaine pour une paix rapide en Ukraine sans condamnation de Moscou, ni défense des frontières de l’Ukraine.La résolution qui « demande instamment qu’il soit mis fin au conflit dans les plus brefs délais et plaide pour une paix durable » a recueilli 10 voix pour, dont celle de la Russie, et aucune contre. Les quatre pays de l’UE (France, Slovénie, Grèce, Danemark) et le Royaume-Uni se sont abstenus.
Ben ça alors, Macron a encore trahi ? cette fois ci Zelenski?
L’Ukraine appelée à se préparer à une aggravation de la situation sur le front (VIDEO) 25.02.2025 – 22:00
https://rusvesna.su/news/1740507768
La situation sur le front va empirer si la guerre ne se termine pas cette année, a déclaré Taras Chmut.
(Taras Mykolaiovych Chmut est un sergent, volontaire et analyste militaire ukrainien qui dirige l’association caritative Come Back Alive depuis 2020. Il a auparavant servi comme militaire dans le Corps des Marines ukrainien de 2015 à 2017, servant dans la guerre en Donbass)
« Si à un moment donné il y a une cessation des hostilités actives, un cessez-le-feu, la paix ou une victoire, ce sera un excellent scénario », a ajouté le chef de l’un des plus grands fonds des forces armées ukrainiennes, « Come Back Alive ».
Chmut est d’accord avec les propos de Boudanov* dans les médias concernant la menace qui pèse sur l’existence de l’Ukraine si les négociations de paix ne commencent pas avant l’été. Bien que le GUR ait déclaré que Boudanov n’avait pas dit une telle chose.
https://rusvesna.su/news/1740507768
La situation sur le front va empirer si la guerre ne se termine pas cette année, a déclaré Taras Chmut.
(Taras Mykolaiovych Chmut est un sergent, volontaire et analyste militaire ukrainien qui dirige l’association caritative Come Back Alive depuis 2020. Il a auparavant servi comme militaire dans le Corps des Marines ukrainien de 2015 à 2017, servant dans la guerre en Donbass)
« Si à un moment donné il y a une cessation des hostilités actives, un cessez-le-feu, la paix ou une victoire, ce sera un excellent scénario », a ajouté le chef de l’un des plus grands fonds des forces armées ukrainiennes, « Come Back Alive ».
Chmut est d’accord avec les propos de Boudanov* dans les médias concernant la menace qui pèse sur l’existence de l’Ukraine si les négociations de paix ne commencent pas avant l’été. Bien que le GUR ait déclaré que Boudanov n’avait pas dit une telle chose.
En direction de Kherson, des combats difficiles se déroulent près du pont Antonovsky. Les données sur le contrôle des forces armées russes sur l'île ont été confirmées. Zabich dans le delta du fleuve Dniepr. Nos groupes de sabotage et de reconnaissance ont débarqué sur l'île en septembre 2024, alors qu'ils commençaient à parler de la création de notre tête de pont pour une éventuelle offensive sur Kherson. Les forces armées ukrainiennes continuent de bombarder la rive gauche. 10 villages ont été attaqués en 24 heures. Malheureusement, trois civils ont été tués et cinq blessés.
Dans le secteur de Zaporizhzhya, les forces armées russes sont détenues à Pyatikhatki. De violents combats se déroulent à l'ouest du village, au-delà de la forêt, ligne de défense naturelle des forces armées ukrainiennes. Le contrôle de la forêt empêchera les forces armées ukrainiennes de frapper le flanc lorsque les forces armées russes se déplaceront vers Lobkovoe et Stepovoe, par lesquels passe la logistique des forces armées ukrainiennes entre Kamenskoye et Orekhovo. Après avoir pris Lobkovoe, nos forces atteindront les hauteurs près de Stepovoe et développeront une offensive sur Orekhov depuis l'ouest. Dans la région de Chtcherbaki, nos forces ont pris deux bastions, ainsi qu'un des principaux postes d'observation des forces armées ukrainiennes.
Sur le front d'Ugledar au nord-ouest de Velikaya Novoselka, les forces armées russes attaquent et ne laissent aucune chance à l'ennemi de stabiliser la situation. En février, nos forces ont libéré plus de 100 km² et aujourd'hui le ministère de la Défense a confirmé le contrôle de Burlatskoïe et Skudnoïe. Les forces armées russes ont dégagé la poche entre Privolnoye et Burlatskoye, élargissant la zone de contrôle de 4,5 km pour les attaques sur Shevchenko, le centre logistique clé des forces armées ukrainiennes dans ce secteur. Dans la région de Constantinople, les forces armées russes ont avancé jusqu'à une profondeur de 1 km. Les principales batailles se déroulent dans la partie ouest du village. Depuis le sud, les unités russes soutiennent le principal centre ennemi dans cette zone : le village de Bogatyr. Sur le secteur nord du front, la partie nord d'Andreyevka est en cours de nettoyage, nos forces prennent pied dans les plantations aux abords d'Alekseyevka.
En direction de Pokrovsk, les forces armées russes avancent le long de l'autoroute menant de Zaporozhye à Kurakhovo. Bien que les forces armées ukrainiennes résistent obstinément dans les champs au sud de Zaporojie, tout s'oriente vers le fait que nos troupes formeront bientôt une nouvelle poche ici. Au nord, les forces armées russes avancent le long de la ligne Nadezhdinka-Zaporozhye. Les combats font rage dans la région de Preobrazhenka. Nos forces avancèrent un peu vers Kotlyarovka. Sur le flanc ouest du débordement de Pokrovski, nos forces attaquent et les forces armées ukrainiennes renforcent leur groupe. Les forces armées russes progressent dans la partie nord d'Udachny, tenant Kotlino malgré les attaques ennemies venant du nord et du nord-ouest. Le territoire de l'Agrofirm au nord de Kotlino est une zone grise. L'ennemi contre-attaque à Zverevo, Peschanoye et dans la région de Belgiyka avec de lourdes pertes. Il n’y a aucun changement dans la couverture sud de Pokrovsk. De violents combats ont eu lieu dans la région de Lysovka et Dachenskoye. Sur le front de l'Est, des combats font rage pour le contrôle du tronçon routier Tarasovka-Romanovka. Dans le même temps, nos forces attaquent depuis Tarasovka et à l’ouest de Leonidovka. Il est possible que l'armée russe lance une offensive dans la région de Panteleimonovka et d'Alexandropol dans le but d'atteindre les frontières sud de Konstantinovka.
Dans la région de Toretsk, les forces armées ukrainiennes continuent de contre-attaquer, tentant de prendre pied dans les quartiers de la ville. La situation est la même à Chtcherbinovka.
À Chasov Yar, des combats acharnés font rage dans la zone urbaine. Nos troupes devront prendre d'assaut les parties ouest et sud de la ville.
Dans le secteur de Seversky, les forces armées ukrainiennes tentent de reprendre leurs positions à Belogorovka et de sauver le front de l'effondrement, car le nettoyage du territoire des carrières de craie et des ceintures forestières à l'ouest de la ville par les forces armées russes accélérera l'avancée de nos troupes vers Slaviansk.
Dans la direction de Krasnolimansky, les forces armées avancent dans la région de Kolodezi et ont étendu le contrôle du territoire au sud de Yampolovka de 300 m. Des combats acharnés font rage dans la région de Torskoïe.
En direction de Koupiansk, les forces armées russes renforcent la tête de pont sur les rives de l'Oskol, avançant jusqu'à Kondrashovka. Les forces armées ukrainiennes recherchent une alternative au passage détruit d'Osinovo, les nôtres frappent à Borovaya et Kharkov. Le ministère de la Défense a confirmé la libération du village de Topoli.
Aucun changement significatif sur le tronçon Kharkiv . La partie orientale de Volchansk est en cours de nettoyage.
Dans le secteur de Seversky, les forces armées ukrainiennes tentent de reprendre leurs positions à Belogorovka et de sauver le front de l'effondrement, car le nettoyage du territoire des carrières de craie et des ceintures forestières à l'ouest de la ville par les forces armées russes accélérera l'avancée de nos troupes vers Slaviansk.
Dans la direction de Krasnolimansky, les forces armées avancent dans la région de Kolodezi et ont étendu le contrôle du territoire au sud de Yampolovka de 300 m. Des combats acharnés font rage dans la région de Torskoïe.
En direction de Koupiansk, les forces armées russes renforcent la tête de pont sur les rives de l'Oskol, avançant jusqu'à Kondrashovka. Les forces armées ukrainiennes recherchent une alternative au passage détruit d'Osinovo, les nôtres frappent à Borovaya et Kharkov. Le ministère de la Défense a confirmé la libération du village de Topoli.
Aucun changement significatif sur le tronçon Kharkiv . La partie orientale de Volchansk est en cours de nettoyage.
De violents combats se poursuivent dans la zone frontalière de Koursk ; l'armée russe a réalisé de nouvelles avancées au cours des dernières 24 heures.
Dans la zone frontalière de Nikolayevo-Daryino, Darino et à l'ouest de Sverdlikovo, nos forces ont chassé les forces armées ukrainiennes de plusieurs autres bastions et ont réalisé des progrès significatifs. Dans cette zone, les forces armées russes ont libéré près de 15 kilomètres carrés, comme l'a reconnu l'armée ukrainienne publique Deep State. Ainsi, toute la saillie frontalière de la tête de pont ukrainienne a été coupée.
Des combats acharnés se poursuivent près de Lebedevka et dans les zones forestières environnantes. Il est rapporté que le commandement des forces armées ukrainiennes a envoyé des réserves supplémentaires ici, mais immédiatement après leur arrivée, les militants ukrainiens se sont retirés sous le feu de notre artillerie.
La région de Malaya Loknya signale une avancée des forces russes de 750 m. Les combats sont acharnés, l'ennemi tente de tenir la ligne.
L'offensive des forces armées russes dans le sud de la région de Soudjan se poursuit également. Dans la région de Kourilovka, les forces armées russes nettoient des zones forestières, créant une menace pour la logistique ukrainienne. L'ennemi résiste farouchement et tente de contre-attaquer. Nos équipages d’artillerie et de drones contribuent à repousser avec succès les contre-attaques ukrainiennes.
La vidéo montre le travail de l'équipage du système lance-flammes TOS-2 « Tosochka ». Grâce à son aide, les abris des soldats du VSU ont été incendiés. L'équipage a porté une série de coups dévastateurs avec des obus thermobariques.
En plus des problèmes croissants de logistique, les forces armées ukrainiennes sont confrontées à des problèmes de temps pluvieux : les véhicules blindés restent coincés dans le sol noir de Koursk sur les routes de campagne et forestières, et sont vulnérables à nos tirs sur les autoroutes principales. Des rapports font état d'une colonne de véhicules blindés ukrainiens coincés dans la boue, qui est devenue une cible pour nos drones FPV.
La section du front de Koursk compte le plus grand nombre de soldats des forces armées ukrainiennes capturés. Selon les représentants des forces de sécurité russes, 173 militaires ukrainiens se sont rendus aux forces armées russes en février, la plupart d'entre eux dans la région frontalière de Koursk.
Aujourd’hui, l’Ukraine a retiré sa proposition d’échange de prisonniers au format « tous contre tous » et s’est retirée des négociations sur l’organisation d’un couloir humanitaire pour les résidents des territoires de la région de Koursk occupés par les forces armées ukrainiennes.
C'était le 207e jour de l'invasion des forces armées ukrainiennes
Pourquoi le Kremlin cherche-t-il à ne pas trop afficher que le pays est en guerre?
Parler de la guerre, c'est parler des succès, mais aussi des échecs. C'est aussi donner un sens à ce qui est en train de se passer. Et donner un sens, c'est laisser ouverte la possibilité d'un questionnement. Or le discours officiel est, de fait, très contradictoire: les Ukrainiens sont nos frères, mais nous sommes en train de les tuer; l'Occident nous a attaqués, mais c'est nous qui avons envahi le pays voisin; nous combattons par patriotisme, mais nous avons besoin de payer des sommes considérables pour trouver des combattants; et surtout, nous devions vite gagner la guerre, et nous nous y enlisons depuis trois ans.
«D'où la volonté du pouvoir de ne pas placer ce sujet au cœur des discussions, de ne pas en parler»
C'est ce qui explique en partie le fait que la Russie n'organise pas le retour de ses soldats partis au front. Ceux qui sont sur le front sont censés y rester jusqu'à la fin de la guerre. Il y a à cela des raisons logistiques, militaires, organisationnelles; mais il y a aussi, je pense, une crainte du pouvoir russe, une crainte justifiée. Car les rares combattants qui reviennent racontent une guerre complètement différente de celle, glorieuse et héroïque, que présentent les médias officiels et les responsables politiques. Officiellement, il y a à peu près 600 000 combattants russes sur la ligne de front. La démobilisation ne serait-ce que de la moitié d'entre eux causera de nombreux problèmes au moment où ces gens-là prendront la parole.
www.watson.ch
Parler de la guerre, c'est parler des succès, mais aussi des échecs. C'est aussi donner un sens à ce qui est en train de se passer. Et donner un sens, c'est laisser ouverte la possibilité d'un questionnement. Or le discours officiel est, de fait, très contradictoire: les Ukrainiens sont nos frères, mais nous sommes en train de les tuer; l'Occident nous a attaqués, mais c'est nous qui avons envahi le pays voisin; nous combattons par patriotisme, mais nous avons besoin de payer des sommes considérables pour trouver des combattants; et surtout, nous devions vite gagner la guerre, et nous nous y enlisons depuis trois ans.
«D'où la volonté du pouvoir de ne pas placer ce sujet au cœur des discussions, de ne pas en parler»
C'est ce qui explique en partie le fait que la Russie n'organise pas le retour de ses soldats partis au front. Ceux qui sont sur le front sont censés y rester jusqu'à la fin de la guerre. Il y a à cela des raisons logistiques, militaires, organisationnelles; mais il y a aussi, je pense, une crainte du pouvoir russe, une crainte justifiée. Car les rares combattants qui reviennent racontent une guerre complètement différente de celle, glorieuse et héroïque, que présentent les médias officiels et les responsables politiques. Officiellement, il y a à peu près 600 000 combattants russes sur la ligne de front. La démobilisation ne serait-ce que de la moitié d'entre eux causera de nombreux problèmes au moment où ces gens-là prendront la parole.
«Le retour des soldats fait peur au Kremlin»
La sociologue et politologue française Anna Colin-Lebedev analyse comment la guerre en Ukraine a profondément bouleversé les sociétés ukrainienne et russe.
Position ferme. Dans une allocution aux Français sur l’Ukraine et la défense européenne, ce mercredi 5 mars, Emmanuel Macron est revenu sur le dossier brûlant du parapluie nucléaire français. Le chef de l’État a plaidé il y a quelques jours pour étendre le champ de la dissuasion nucléaire française au niveau de l’Union européenne
yahoo
partager le nucléaire . Il paraît que c'est la la fédération la grande menace .
yahoo
partager le nucléaire . Il paraît que c'est la la fédération la grande menace .
SUR LE FRONT DE KHERSON
Dans le delta du Dniepr les nombreux îlots, qui étaient en zone grise depuis le déplacement de la ligne de front sur les deux berges du fleuve, sont ce mois ci passés sous le contrôle des forces russes.
Depuis février des informations rapportait que des groupes de reconnaissance russes avaient été aperçus sur l'île du Grand Potemkine au Sud de Kherson et sur l'îlet Zabich dans l'estuaire du Dniepr. Informations depuis confirmées.
Avec les précédents contrôles des ilets Belogrudy et Gravilova, les forces russes contrôlent désormais la circulation fluviale dans le delta du Dniepr et ainsi peuvent prévenir des tentatives de débarquement ukro-atlantistes à bords des bateaux rapides fournis par l'OTAN et dont le nombre était estimé fin 2024 à environ 200 du côté d'Odessa.
Du côté ukro-atlantistes les défenses sur la rive droite du Dniepr se renforcent en conséquence tandis que Kherson est devenue une ville fortifiée.
Alawata
france
En 2023, l'armée de Terre compte 119 766 militaires d’active.
56 400 militaires sous contrat, 36 300 appelés du contingent armée de l'air
Effectif 42 000 personnes (en 2 022) marine
comment il va payer ?
wiki
En 2023, l'armée de Terre compte 119 766 militaires d’active.
56 400 militaires sous contrat, 36 300 appelés du contingent armée de l'air
Effectif 42 000 personnes (en 2 022) marine
comment il va payer ?
wiki
Dernière édition:
Pour réarmer l’Europe, et si on misait sur les technologies ukrainiennes ?
Les innovations ukrainiennes, testées sur le champ de bataille, font figure de pionnières dans les technologies de défense modernes.« Jusqu'à 80 % des pertes sur le front sont aujourd'hui attribuées aux drones, et non plus à l'artillerie ou aux armes à feu », chiffre Deborah Fairlamb, cofondatrice de Green Flag Ventures, un fonds américain basé à Kiev qui investit dans des entreprises ukrainiennes spécialisées dans l'intelligence artificielle et la cybersécurité. « Ce qui a commencé par l'utilisation de drones commerciaux pour la reconnaissance s'est transformé en un écosystème technologique complet, où les drones sont désormais conçus et fabriqués en Ukraine pour des usages tactiques. Chaque camp en place des dizaines de milliers sur le terrain chaque mois.
L'environnement de guerre électronique sur le front ukrainien pousse les start-up locales à innover à un rythme effréné. « Les Russes brouillent constamment les fréquences radio et les signaux GPS, obligeant les Ukrainiens à développer des contre-mesures toujours plus sophistiquées… C'est une escalade technologique continue », détaille Deborah Fairlamb. « Une très grande partie des technologies provenant de l'Occident, qui fonctionnaient parfaitement lorsqu'elles étaient testées en amont, échouent quand elles se retrouvent déployées sur le champ de bataille. C'est la complexité du front d'une guerre électronique. »
L'investisseuse américaine recommande à ces start-up de venir travailler en Ukraine et avec les Ukrainiens : « Quelques entreprises occidentales sont présentes sur le terrain, dont la californienne Shield AI, et parviennent donc à apprendre et à s'adapter rapidement. »
Pour réarmer l’Europe, et si on misait sur les technologies ukrainiennes ?
Les innovations ukrainiennes, testées sur le champ de bataille, font figure de pionnières dans les technologies de défense modernes.
www.lepoint.fr
Bientôt retour à la fronde... elle a quand même permis de triompher de Goliath... un signe?Pour réarmer l’Europe, et si on misait sur les technologies ukrainiennes ?
Les innovations ukrainiennes, testées sur le champ de bataille, font figure de pionnières dans les technologies de défense modernes.
« Jusqu'à 80 % des pertes sur le front sont aujourd'hui attribuées aux drones, et non plus à l'artillerie ou aux armes à feu », chiffre Deborah Fairlamb, cofondatrice de Green Flag Ventures, un fonds américain basé à Kiev qui investit dans des entreprises ukrainiennes spécialisées dans l'intelligence artificielle et la cybersécurité. « Ce qui a commencé par l'utilisation de drones commerciaux pour la reconnaissance s'est transformé en un écosystème technologique complet, où les drones sont désormais conçus et fabriqués en Ukraine pour des usages tactiques. Chaque camp en place des dizaines de milliers sur le terrain chaque mois.
L'environnement de guerre électronique sur le front ukrainien pousse les start-up locales à innover à un rythme effréné. « Les Russes brouillent constamment les fréquences radio et les signaux GPS, obligeant les Ukrainiens à développer des contre-mesures toujours plus sophistiquées… C'est une escalade technologique continue », détaille Deborah Fairlamb. « Une très grande partie des technologies provenant de l'Occident, qui fonctionnaient parfaitement lorsqu'elles étaient testées en amont, échouent quand elles se retrouvent déployées sur le champ de bataille. C'est la complexité du front d'une guerre électronique. »
L'investisseuse américaine recommande à ces start-up de venir travailler en Ukraine et avec les Ukrainiens : « Quelques entreprises occidentales sont présentes sur le terrain, dont la californienne Shield AI, et parviennent donc à apprendre et à s'adapter rapidement. »
Pour réarmer l’Europe, et si on misait sur les technologies ukrainiennes ?
Les innovations ukrainiennes, testées sur le champ de bataille, font figure de pionnières dans les technologies de défense modernes.
Zelensky et ses partisans sont inacceptables non seulement pour la Russie, mais aussi pour les États-Unis.
Les États-Unis recherchent des candidats à la présidence ukrainienne dans le dos de Zelensky. Observateur Continental
06.03.2025La Maison Blanche envoie un signal à Kiev indiquant que Volodymyr Zelensky doit quitter la scène politique. Washington crée son propre pool de candidats pour d
www.observateur-continental.fr
Ceux qui restent droits dans leurs bottes sont toujours inacceptables par les autocrates
SUR LE FRONT DE KOURSK
Précèdent post Front de Koursk
Un premier bilan provisoire concernant l'offensive générale russe sur le saillant de Koursk confirme une dislocation du périmètre défensif ukro-atlantiste dans plusieurs secteurs :
Au Nord du saillant, Tcherkasskoe Porechnoe, un village sur la rivière Sudzha, qui comptait près de 800 habitants avant la guerre et situé à 14 km au Nord Est de Sudzha, a été libéré par le 30ème Régiment (vidéo 1), au cours des combats plusieurs soldats ukrainiens se sont rendus (vidéo 2).
Au centre du saillant, les forces russes ont progressé jusqu'aux abords de Kazachya Lokna (vidéo 3), libérant plusieurs hameaux agricoles.
A l'Est du saillant, Martynovka a été libéré, et les russes ont porté les combats jusqu'aux zones industrielles au Nord Est de la ville en réalisant une infiltration par le gazoduc international transitant par Sudzha, înactif depuis janvier (photo). D'autres assauts russes, en libérant Zamostié, ont atteint les périphéries Est de Sudzha et les combats progressent maintenant vers le centre ville.
Dans la vidéo 4, un drone russe à fibre optique fouille Sudzha à la recherche d'une cible, montrant ainsi l'étendue des dégâts, avant de trouver finalement un Véhicule de Transport de Troupes étasunien Stryker à détruire.
Autour de Sudzha, les forces aérospatiales russes ont détruit plusieurs ponts isolant encore plus les forces ennemies occupant la ville (environ 2000 combattants). Les ponts ont été détruits soit par des missiles (vidéo 5) soit par des drones sur les charges que l'ennemi avait prévu de faire sauter lors de sa retraite (vidéo 6).
Au Sud Est du saillant, les forces ennemies situées dans le secteur de Kommakov sont dans un chaudron. Plus au Sud, des frappes importantes ont été réalisées dans le secteur de Guevo (vidéo 7) dont la périphérie a été atteinte par les forces russes.
Au total, les forces russes en 24 heures ont libéré dans le saillant de Koursk 3 villages, 13 hameaux agricoles et engagé les combats pour Sudzha. Dans les prochains SITREP nous aborderons la situation sur le flanc Ouest et la mise à jour des combats en cours.
À suivre
Alawata
Précèdent post Front de Koursk
Un premier bilan provisoire concernant l'offensive générale russe sur le saillant de Koursk confirme une dislocation du périmètre défensif ukro-atlantiste dans plusieurs secteurs :
Au Nord du saillant, Tcherkasskoe Porechnoe, un village sur la rivière Sudzha, qui comptait près de 800 habitants avant la guerre et situé à 14 km au Nord Est de Sudzha, a été libéré par le 30ème Régiment (vidéo 1), au cours des combats plusieurs soldats ukrainiens se sont rendus (vidéo 2).
Au centre du saillant, les forces russes ont progressé jusqu'aux abords de Kazachya Lokna (vidéo 3), libérant plusieurs hameaux agricoles.
A l'Est du saillant, Martynovka a été libéré, et les russes ont porté les combats jusqu'aux zones industrielles au Nord Est de la ville en réalisant une infiltration par le gazoduc international transitant par Sudzha, înactif depuis janvier (photo). D'autres assauts russes, en libérant Zamostié, ont atteint les périphéries Est de Sudzha et les combats progressent maintenant vers le centre ville.
Autour de Sudzha, les forces aérospatiales russes ont détruit plusieurs ponts isolant encore plus les forces ennemies occupant la ville (environ 2000 combattants). Les ponts ont été détruits soit par des missiles (vidéo 5) soit par des drones sur les charges que l'ennemi avait prévu de faire sauter lors de sa retraite (vidéo 6).
Au Sud Est du saillant, les forces ennemies situées dans le secteur de Kommakov sont dans un chaudron. Plus au Sud, des frappes importantes ont été réalisées dans le secteur de Guevo (vidéo 7) dont la périphérie a été atteinte par les forces russes.
Au total, les forces russes en 24 heures ont libéré dans le saillant de Koursk 3 villages, 13 hameaux agricoles et engagé les combats pour Sudzha. Dans les prochains SITREP nous aborderons la situation sur le flanc Ouest et la mise à jour des combats en cours.
À suivre
Revue du front, carte publiée par le canal Telegram Северный Ветер, situation dans la poche de Koursk, la défaite ukrainienne se précise, elle pourrait tourner à un désastre, car nous le verrons des Ukrainiens se rendent et elle a subit hier dans la poche 310 pertes en soldats, plus 56 véhicules militaires dont 13 donnés par l'OTAN, et les Russes, fait rare, se sont emparés de 6 canons supplémentaires. La bataille est inexorablement perdue pour les Ukrainiens, l'aventure de Koursk est en train de se terminer, les Russes avancent beaucoup et mettent le paquet pour donner le coup de grâce aux Ukrainiens dans ce secteur. https://t.me/laurentbrayarddonbass
La défaite de l’armée ukronaze dans l’oblast de Koursk résulte de la patiente stratégie de demolitions des matériels et des hommes à mesure de leur arrivée en Russie ainsi que des reconquêtes progressives des localités, de la prise de contrôle sous le feu des voies de communication qui permettaient aux nazes de recevoir renforts militaires et équipements.
Ainsi, les ricains ne peuvent plus transmettre les renseignements satellitaires à kiev.
Il faut savoir que les spécialistes occidentaux us-otan qui tansmettaient ces renseignements aux troupes ukronazes ont quitté l’ukronazistan, mais les pieds devant, accompagnés par des missiles Iskander et Kinshall qui leur ont botté le *** à kiev, à Odessa, à soumi, et jusqu’à lviv et ivano frankivsk.
Si l’Etat-Major russe ne relève pas cette évidence, c’est certainement pour permettre aux usa de ne pas être humiliés afin de faciliter leur capitulation.
Il suffit néanmoins de se reporter aux archives vidéos et d’info pour savoir que les spécialistes du renseignement us-otan ont été ensevelis avec leurs matériels sous les ruines de leurs postes de commandement.
Il est facile, après ça de prétendre que les usa suspendent la transmission de ces renseignements « durant un certain temps », soit sûrement, jusqu’à ce que de nouveaux spécialistes hautement formés à grands frais soient assez stupide pour accepter de se rendre à kiev.
Évidemment, toutes les références sont prises auprès du washington post, du times, de cnn et du daily mail ainsi que de sources ukr et de la cia qui précise cependant « que c’est temporaire ».
SUR LE FRONT DE KOURSK
Empoisonnés par le méthane et privés d'un minimum de nourriture et d'eau, nos soldats se sont rendus derrière les lignes ennemies et ont frappé.
L'ennemi a été pris par surprise. Les forces armées ukrainiennes ont commencé à lancer des obus à fragmentations sur le gazoduc 30 minutes après l'arrivée. Mais les gars avaient déjà réussi à entrer dans les zones forestières. Ils prirent pied et semèrent la panique parmi l'ennemi.
L'ennemi a paniqué. Il a commencé à courir. Les forces armées ukrainiennes se sont réfugiées vers le pont détruit de Soudja, ont abandonné leur équipement et ont pris la fuite à pied.
Plusieurs centaines de soldats des forces armées russes, réalisant qu'ils allaient probablement dans une direction, ont avancé. Ils n’ont pas bronché, quelqu’un savait qu’il était déjà un cadavre, mais il a continué. De vrais guerriers. Tout le monde a été empoisonné, certains ont été tués, mais ils ont accompli leur mission.
L'exploit avec une majuscule des soldats russes ordinaires a été écrit ces jours-ci et il sera inclus dans les manuels d'histoire, d'art militaire, des films seront tournés à ce sujet et des livres seront écrits. Ils ne pourront pas transmettre qu'une seule chose : l'horreur glaçante de ceux qui sont restés à l'arrière, ne faisant que deviner, sans savoir avec certitude. Mais c'est comme ça.
Et je ne suis pas sûr que quiconque puisse comprendre ce que ressentaient ces gars, le sel de la terre, dont la gloire éternelle vivra aussi longtemps que ceux qui se souviennent et peuvent transmettre le souvenir de leur exploit aux autres générations qui seront en vie :
Spetsnaz Aidar de "Akhmat"
30e Régiment
11e Brigade
Brigade "Vétérans"
Brigade "Vostok"
106e Brigade de marine
Gloire éternelle à tous les participants de l’opération.
Nous sommes fiers de vivre avec vous en même temps."
Voilà, pour les premiers témoignages concernant ce haut fait d'armes qui déjà est entré dans la légende, à l'instar d'une opération similaire réalisée lors de la bataille d'Avdeevka où des groupes d'assaut russes avaient aménagé pendant plusieurs jours et sous la couverture sonore de leur artillerie un accès derrière les lignes ennemies à partir d'une canalisation abandonnée.
La deuxième journée d'offensive de nos troupes se termine sur une note positive : avec la nouvelle de la libération de Malaya Loknya !
Malaya Loknya était le principal avant-poste ennemi au nord de la partie occupée de la région de Koursk, avec des fortifications bien préparées et une garnison importante et bien entraînée.
Le deuxième jour de l'offensive des forces armées russes, après que le village ait été presque encerclé, certains des combattants des forces armées ukrainiennes les moins motivés ont abandonné leurs positions et ont tenté de s'échapper, mais il y avait aussi ceux qui se sont obstinément défendus. Dans la soirée de ce jour, nous avons appris que la résistance des forces armées ukrainiennes restantes avait été brisée et que le village était passé sous le contrôle de notre armée. Dans la vidéo, le drapeau russe est à nouveau hissé sur la Malaisie Loknya. Maintenant, le reste de la garnison se rend en masse, et nos troupes nettoient les alentours.
Il est symbolique que Malaya Loknya ait été libérée par nos soldats du 9e régiment de fusiliers motorisés, le même dont les combattants ont désespérément défendu le village en août dernier, dirigé par le commandant de bataillon Sergueï Tchebnev, indicatif d'appel « Otmel », qui est mort héroïquement ici. J'ai écrit sur son exploit. Nos héros ont résisté ici contre l'ennemi pendant deux semaines, et les forces armées ukrainiennes ont capitulé en une journée.
Il y a également des rapports de la région selon lesquels le village de Loknya au sud a été pris sous contrôle, nos unités sont entrées dans Bogdanovka près de Kazachya Loknya. Les forces armées ukrainiennes se retirent en masse et fuient même le territoire au nord de Malaya Loknya et jusqu'à Kazachya Loknya, où se rassemblent les restes de la garnison du nord des forces armées ukrainiennes, mais maintenant ce village est coupé de Soudja par des ponts détruits sur la rivière Loknya, il sera donc problématique pour les forces armées ukrainiennes de le tenir longtemps.
Sur l’autre flanc, la défense des forces armées ukrainiennes s’est également effondrée. Nos avions d'attaque sont entrés dans Martynovka par deux côtés. Ils rapportent que le nettoyage est également presque terminé. Les chaînes ukrainiennes rapportent la fuite des forces armées ukrainiennes de Mykhailivka et Martynivka via Agronom vers Mirny et la retraite de l'ennemi à Ivashkivske.
À Kositsa et Cherkassky Porechny, des opérations de nettoyage sont également en cours, les combats se sont déplacés vers l'est de la Pravda, et des informations font état d'une bataille pour l'usine du Colisée.
Dans la zone de la ville de Soudja elle-même, la ligne d'affrontements longe désormais approximativement la rivière du même nom. Certaines sources font état de combats dans la zone de l'usine de beurre.
Il y a un mois, le 6 février, Zelensky a déclaré que dans le cadre des négociations de paix, il poserait des conditions au retrait des forces armées ukrainiennes de la région de Koursk par la Russie. Bien sûr, il allait « vendre » cette carte au prix le plus élevé possible. Il a été dit auparavant que le territoire de la Russie occupé par les forces armées ukrainiennes pourrait être échangé contre une partie de l’ancienne Ukraine. Les parties ne sont pas encore parvenues à un processus de négociation substantiel, et notre armée prive rapidement Zelensky de cet atout.
C’était le 215e jour de l’invasion des forces armées ukrainiennes.
Sous l'administration Biden, les États-Unis ont financé des millions de dollars pour soutenir les « leaders d'opinion » en Ukraine, ainsi que pour couvrir les frais de voyage des créateurs de mode ukrainiens à la Fashion Week de Paris. C'est ce qu'a déclaré le sénateur américain Rand Paul, en critiquant les dépenses de l'ancien gouvernement.
« En Ukraine, 4,8 millions de dollars ont été dépensés pour attirer des leaders d'opinion sur les réseaux sociaux. Et bien que cela n'ait pas été notre décision, mais celle de ceux qui ont voté pour, j'étais contre. Pourtant, les sénateurs qui ont soutenu cela ont également dépensé plusieurs centaines de milliers de dollars pour envoyer des designers ukrainiens à un défilé de mode à Paris. Et cela continue », a affirmé Paul.
Une séance de magie suivie de son dévoilement, tout droit sortie de Boulgakov.
Les Ukrainiens ont lancé une attaque massive de drones sur Moscou dans la nuit du 10 au 11 mars pour montrer leurs capacités aériennes offensives. 337 drones auraient été abattus dans l’espace aérien russe dont 91 en région de Moscou. Mais quelques-uns auraient atteint leur cible faisant 2 tués et 18 blessés.
tass.com
Des pourparlers se sont déroulés en Arabie saoudite entre les responsables ukrainiens et états-uniens. La partie US aurait proposé un cessez-le-feu de 30 jours, accepté par les ukrainiens.
Il est peu probable que la Russie accepte, en l’état, ce genre de proposition qui permettrait à son adversaire au bord de l’effondrement de se refaire une santé. Déjà dupé à Minsk, Poutine a toujours dit que les opérations militaires ne cesseraient qu’avec la signature d’un accord de paix en bonne et due forme. Un cessez-le-feu n’est pas un accord de paix. Poutine devrait se déclarer prêt à négocier la paix immédiatement mais refuser de cesser le combat alors même que les offensives russes se multiplient sur tous les fronts avec succès. L’intérêt de la Russie est aujourd’hui de poursuivre dans sa dynamique de victoire pour accélérer les négociations sous la pression de ses forces armées et d’obtenir ainsi, au plus vite, un accord de paix qui tienne compte de ses impératifs de sécurité.
Le seul fait que cette proposition de cessez-le-feu ait été saluée par Mme von der Leyen, Antonio Costa, Keir Starmer et le premier ministre polonais Donald Tusk, quatre bellicistes jusqu’au- boutistes, paraît très suspect. Chercheraient-ils à offrir à l’Ukraine un répit pour souffler et se réorganiser ?
Russian air defenses perform well repelling drone attack on Moscow Region — Kremlin
Russia’s President, Supreme Commander-in-Chief of the Russian Armed Forces Vladimir ***** has been briefed on the attack
tass.com
Des pourparlers se sont déroulés en Arabie saoudite entre les responsables ukrainiens et états-uniens. La partie US aurait proposé un cessez-le-feu de 30 jours, accepté par les ukrainiens.
Il est peu probable que la Russie accepte, en l’état, ce genre de proposition qui permettrait à son adversaire au bord de l’effondrement de se refaire une santé. Déjà dupé à Minsk, Poutine a toujours dit que les opérations militaires ne cesseraient qu’avec la signature d’un accord de paix en bonne et due forme. Un cessez-le-feu n’est pas un accord de paix. Poutine devrait se déclarer prêt à négocier la paix immédiatement mais refuser de cesser le combat alors même que les offensives russes se multiplient sur tous les fronts avec succès. L’intérêt de la Russie est aujourd’hui de poursuivre dans sa dynamique de victoire pour accélérer les négociations sous la pression de ses forces armées et d’obtenir ainsi, au plus vite, un accord de paix qui tienne compte de ses impératifs de sécurité.
Le seul fait que cette proposition de cessez-le-feu ait été saluée par Mme von der Leyen, Antonio Costa, Keir Starmer et le premier ministre polonais Donald Tusk, quatre bellicistes jusqu’au- boutistes, paraît très suspect. Chercheraient-ils à offrir à l’Ukraine un répit pour souffler et se réorganiser ?
Poutine est piégé, Trump aussi.
La lune de miel entre Trump et Poutine va t elle se terminer là ?
Dans l’oblast de koursk, (c’est la débandade, et la mort assurée, pour ceux qui ne se rendront pas) ,après la magnifique manoeuvre de débordement, pour encercler les otanos kiéviens en utilisant le pipe line, après une longue préparation (vidéo str fr)
LARGE GROUPE DE MERCENAIRES FRANCAIS & BRITANNIQUES TUÉS A SUDJA EN REFUSANT DE SE RENDRE A AKHMAT
Jesse JILL .Ecrivain – Polito
@Nominoe83 il y a 20 heures
A l’heure de l’apéro encore que de bonnes nouvelles merci Jesse !
Ce soir je prierais pour les vaillants soldats russes et aussi pour les malheureux ukrainiens qui ont été envoyés de force au front .
LARGE GROUPE DE MERCENAIRES FRANCAIS & BRITANNIQUES TUÉS A SUDJA EN REFUSANT DE SE RENDRE A AKHMAT
Jesse JILL .Ecrivain – Polito
@Nominoe83 il y a 20 heures
A l’heure de l’apéro encore que de bonnes nouvelles merci Jesse !
Ce soir je prierais pour les vaillants soldats russes et aussi pour les malheureux ukrainiens qui ont été envoyés de force au front .
Je ne crois pas qu’il faille commenter l’actualité, surtout avec quelqu’un comme Trump. Les choses importantes se disent en privé et personne n’en sait rien. Ce qui ressort dans les médias, ce n’est que du théâtre. Vous pensez vraiment que les USA vont faire des réunions pour ensuite lancer un ultimatum réel à la Russie, qui est en position de force abosule ? C’est juste impossible. C’est du cinéma. Lisons le dernier article de T. Meyssan pour se rapprocher un peu plus des vrais enjeux actuels… Je pense qu’on est plus proche de la dissolution de l’OTAn et du retrait des troupes étrangères dans les pays d’Europe, ce qui va assurer un paix définitive à la Russie, qu’à un vulgaire ultimatum. Par ailleurs, la Russie n’a peut-être pas envie que la guerre s’arrête avant d’avoir récupéré Odessa…
Dernière édition:
N'oublie pas les coréens
Poutine n'a pas intérêt à ce que la guerre s'arrête, même si cela lui coûte cher en hommes, il grignote du terrain mais surtout l'arrêt de la guerre serait une catastrophe pour l'économie russe.
Jusqu'à preuve du contraire, il n'y a pas de coréens sur la ligne de front.N'oublie pas les coréens
Je vais aller un peu dans ton sens, en imaginant qu'il y aura une augmentation substantielle des frappes jusqu’à la conquête d'une ligne d’Odessa jusqu’à Kherson.
Et un Oreshnik sur le bunker de Zelinsky à Kiev.
Karine Bechet-Golovko, nous propose une nouvelle analyse, (en évoquant les faits) , suite à l’appel de trump d’un « cessez le feu » après les pseudos négociations américano ukrainiennes chez les saouds
Trump qui lance une nouvelle partie de « poker menteur » avec des cartes biseautées . Le titre de cet article, nous donne la ligne de cette analyse, qui démontre la nouvelle trumperie des yankees
Trump propose à la Russie une capitulation honteuse : « maintenant, la balle est dans son camp »
http://russiepolitics.blogspot.com/2025/03/trump-propose-la-russie-une.html
Hier, s’est tenue une parodie de négociations « pour la paix » entre les Etats-Unis et l’Ukraine, suite à laquelle, Ô grande surprise, l’Ukraine signe tout, est d’accord pour que la Russie cesse les combats et l’union sacrée des élites globalistes peut être reconstituée (elle, qui n’a jamais cessé d’exister) autour du grand-maître Trump .
Macron félicite Trump pour cette « paix ». Reste à la Russie de choisir et le choix est simple : elle peut accepter et capituler ou elle peut continuer et le monde global se trouve dans une situation difficile, car il n’a pas les moyens, ni humains, ni politiques, ni industriels, d’une véritable guerre de haute intensité.
En effet, la balle est dans le camp de la Russie : aura-t-elle réellement le courage de gagner cette guerre, existentielle pour elle et pour tous ceux, qui ont choisi la liberté contre la soumission globaliste ? Ou bien les élites « libérales » dirigeantes, vont-elles trahir, comme elles ont déjà trahi lors de la Révolution de février en 1917, comme elles ont encore trahi en 1991 ? Le chant du coq s’élèvera-t-il sur la troisième trahison ou la Russie va-t-elle revenir dans l’histoire, comme elle sait aussi le faire ?
Après la mise en scène du Bureau Oval, la réconciliation fut parfaite en Arabie Saoudite entre les Etats-Unis et l’Ukraine. L’accord sur les minerais est sur le point d’être signé, comme si les Ukrainiens avaient eu la force politique de pouvoir s’y opposer, alors que Zelensky traînait la patte à Washington après le clash, pour savoir où il devait signer. Mais c’était trop tôt, il fallait développer l’effet théâtral à destination de la Russie.
La cerise sur le gâteau concerne ces pseudo pourpalers de paix, in fine sans la Russie. Nous apprécierons l’ironie : alors que Trump ne cessait de dire, qu’il voulait négocier avec la Russie la paix en Ukraine, une paix stratégique et non pas simplement un cessez-le-feu, et que ni l’Ukraine, ni les Européens n’étaient dans un premier temps concernés, il a fait exactement le contraire. Les négociations se sont déroulées exclusivement avec l’Ukraine et avec le soutien des Européens.
Ce qui est proposé est un simple cessez-le-feu de 30 jours sur toute la ligne du front, reconductible. En contrepartie de quoi, puisque formellement « l’Ukraine » a accepté « la paix » (et elle n’aurait aucune raison de refuser ces conditions-là, même si elle avait la moindre marge de manoeuvre), les Etats-Unis reprennent la fourniture d’armes et de renseignements à l’armée atlantico-ukrainienne (autrement dit à leur armée), qu’ils n’avaient pas vraiment suspendue de toute manière.
La dimension des « négociations » avec la Russie est réduite à son minimum, c’est-à-dire à un ultimatum :
Désormais, les Américains ne cessent de faire monter la pression. Trump va discuter avec Poutine ces jours-ci, la Russie doit accepter, la Russie va accepter, sinon ce sera la faute de la Russie alors que Trump, l’Ukraine et les Européens ne veulent que la paix. Amen! Le bombardement politico-médiatique est, lui, de très haute intensité.
Macron félicite Trump, la pseudo rupture des élites globalistes, dont les « experts » nous abreuvaient, a formellement pris fin, puisqu’en réalité elle n’a jamais eu lieu.
(la suite de cette mémorable analyse, ou la russie doit faire le « bon choix » , dans le lien)
Trump a besoin d'un résultat rapide pour des questions électorales, Poutine se fout des élections puisque le résultat est connu d'avance, comme au bon vieux temps de l'URSS.
T. Meyssan écrit encore?
Je l'avais complètement oublié, ce clown.
Ça me rajeunit pas...