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  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion AncienMembre
  • Date de début Date de début
Un jour penché à ta fenêtre
Il te dira qu'il veut renaître
Au monde que ta tendresse lui cache
Et sortant de son portefeuille
Un vieil horaire de train, il dit:
Je t'avais prévenue je suis étranger
Je t'avais prévenue je suis étranger
(...)

Tu lui dis d'entrer et de s'asseoir
Et en te retournant tu vois
Que la porte de ta chambre reste ouverte
Et quand tu prends sa main, il dit
N'aie pas peur ma tendre amie
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger
Ce n'est plus moi, oh mon amour, l'étranger
(...)

Puis ramassant les cartes
qui sont restées là sur la table
Tu sais qu'il t'a laissé très peu pas même son rire
Comme tous les joueurs il cherchait
La carte qui est si délirante
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre
Qu'il n'aura plus jamais besoin d'une autre

 
Il (mon coeur) n'a aucune chance avec elle
Je l'ai prévenu
Mais il veut essayer quand même
Il est têtu
Il ne veut pas de mes conseils
Me sourit d'un air entendu
Puis s'en va recevoir sa peine
Le cœur léger, la joue tendue

Il ne m'écoute jamais
Il fait ce qu'il lui plait
Car encore ne connait
Ni remords, ni regrets

 
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