Froisser le chef de l'Etat n'est vraiment pas une bonne idée en ce moment. Rachida Dati en aurait fait les frais récemment, Nicolas Sarkozy la privant du véhicule que lui fournit le ministère de l'Intérieur (une Peugeot 607), ainsi que son chauffeur et ses quatre officiers de sécurité, rapporte ce mercredi le Canard Enchaîné.
Motif? Le président de la République aurait été irrité par les propos de l'ex-garde des Sceaux qui, au soir du premier tour des élections régionales, prônait à la télévision un «retour aux fondamentaux» après les mauvais résultats de l'UMP. Sauf qu'elle n'était même pas candidate. «Mais qu'est-ce qu'elle fait là, celle-là? On ne l'a pas vue pendant la campagne, et la voilà devant les caméras», aurait déclamé Nicolas Sarkozy.
Plus de 607, mais il lui reste une Prius
Ce dernier a ainsi décidé de lui retirer sur le champ ses petits avantages qu'elle ne perd pas complètement puisqu'il lui reste une autre voiture de fonction (une Toyota Prius) grâce à son statut de maire du 7e arrondissement de Paris.
Libération ajoute que Rachida Dati serait «très en colère», persuadée que le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, est derrière tout cela. «Il l'a appelée pour s'excuser. Dati lui a raccroché au nez», rapporte le quotidien.
Motif? Le président de la République aurait été irrité par les propos de l'ex-garde des Sceaux qui, au soir du premier tour des élections régionales, prônait à la télévision un «retour aux fondamentaux» après les mauvais résultats de l'UMP. Sauf qu'elle n'était même pas candidate. «Mais qu'est-ce qu'elle fait là, celle-là? On ne l'a pas vue pendant la campagne, et la voilà devant les caméras», aurait déclamé Nicolas Sarkozy.
Plus de 607, mais il lui reste une Prius
Ce dernier a ainsi décidé de lui retirer sur le champ ses petits avantages qu'elle ne perd pas complètement puisqu'il lui reste une autre voiture de fonction (une Toyota Prius) grâce à son statut de maire du 7e arrondissement de Paris.
Libération ajoute que Rachida Dati serait «très en colère», persuadée que le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, est derrière tout cela. «Il l'a appelée pour s'excuser. Dati lui a raccroché au nez», rapporte le quotidien.