Un journaliste du JDD a visité, avec le député LR Thierry Solère, l'étage où est incarcéré depuis deux mois le seul survivant du commando des attentats de Paris du 13 novembre, à Fleury-Mérogis.
Un détenu bien logé. Salah Abdeslam bénéficierait de conditions de détention exceptionnelles à Fleury-Mérogis, où il est incarcéré depuis le 27 avril. Mercredi dernier, un journaliste du JDD a accompagné le député LR des Hauts-de-Seine Thierry Solère pour une visite dans le quartier haute-sécurité où est isolé l'un des auteurs desattentats du 13 novembre, qui ont fait 130 morts et 413 blessés.
L'accusé est installé dans une double cellule fraîchement repeinte et décorée par ses soins. L'une a été transformée en salle de sport, et mini-terrasse sur le toit, rapporte l'hebdomadaire. Comme les autres prisonniers, Abdeslam dispose d'un coin cuisine (frigo et réchaud) et de la télévision (l'accusé regarde des émissions de téléréalité, précise le Journal du dimanche). Il a eu droit à ce jour à cinq parloirs avec sa famille. Mais, s'il a été au début un prisonnier "modèle", "il ne parle plus", ont encore confié des surveillants au JDD.
Un détenu bien logé. Salah Abdeslam bénéficierait de conditions de détention exceptionnelles à Fleury-Mérogis, où il est incarcéré depuis le 27 avril. Mercredi dernier, un journaliste du JDD a accompagné le député LR des Hauts-de-Seine Thierry Solère pour une visite dans le quartier haute-sécurité où est isolé l'un des auteurs desattentats du 13 novembre, qui ont fait 130 morts et 413 blessés.
L'accusé est installé dans une double cellule fraîchement repeinte et décorée par ses soins. L'une a été transformée en salle de sport, et mini-terrasse sur le toit, rapporte l'hebdomadaire. Comme les autres prisonniers, Abdeslam dispose d'un coin cuisine (frigo et réchaud) et de la télévision (l'accusé regarde des émissions de téléréalité, précise le Journal du dimanche). Il a eu droit à ce jour à cinq parloirs avec sa famille. Mais, s'il a été au début un prisonnier "modèle", "il ne parle plus", ont encore confié des surveillants au JDD.