Shalya, la Britney Spears marocaine

Dites moi les zamis cette chanteur là elle s'est produite ds quel pays!!!


Car g jamais vu ça ici !!! en mm tps je suis pas h24 sur mon Poste tv...

trop bo goss les Blacks :rouge:
 
Aslya veut dire "originalité" en Arabe. En inversant le S pour l'initiale de son prénom et en y ajoutant un H pour la "chaleur", on obtient Shalya. Voila comment l'artiste a trouvé son pseudo.

C'est un 20 janvier à Aubervilliers que Sabrina (son vrai prénom) voit le jour. Famille originaire d'un village de la petite Kabylie Willaya de bejaïa en Algérie et issue d'une famille nombreuse, elle grandit en Seine Saint Denis dans la cité des Francs Moisins.

Très tôt elle se passionne pour l'écriture, la danse et la musique. Bien que douée pour les études elle préfère sécher les cours pour se consacrer à l'écriture de poèmes.

Pour vivre, elle multiplie les petit jobs. Le mannequinat pour des stylistes en prêt à porter de luxe et modèle pour divers photographes, elle travaille également pour Ciernes Overseas Corporation, compagnie de jets privés où elle accueille les clients prestigieux. C'est ainsi qu'elle sera l'hôtesse particulière de Sharon Stone et de bien d'autres célébrités.

Parallèllement, elle suit une formation d'animatrice télé chez Accès Studio et s'initie à l'écriture de pilotes d'émissions télé, élaboration de concepts et se familiarise avec la réalisation et le journalisme. Passionnée par les arts, elle suit aussi des cours de théâtre. Puis, elle se lance dans le coaching intensif ce qui lui vaut le 14 mai 2003, un article dans un grand quotidien, le journal France Soir.
Malgré ses activités multiples, Shälya n'oublie pas que sa véritable passion reste la musique. Aujourd'hui elle décide de s'y consacrer pleinement et c'est ainsi que nous l'avons découverte sur MySpace en visitant les pages des artistes auxquels les grands médias ne s'intéressent pas encore.

Auteur, compositeur, interprète, son album est un mélange de Pop, Soul et de R'n'b. Elle puise son inspiration dans la vie quotidienne, dans les joies et les peines et dans la souffrance humaine.

Quand on l'interroge sur ses influences, elle répond : Francis Cabrel, Aretha Franklin, Stevie Wonder et toutes les grandes voix blacks américaines de la soul musique. Eclectique Shälya... Et quand on lui demande comme elle définit son style musical, elle répond qu'elle fait tout simplement ce qu'elle aime, de la musique.

Shälya met deux ans à écrire son album. Et c’est après avoir composé son premier titre "Les Versets Inversés" qu'elle décide de prendre contact avec Philippe Bruguière, au studio du Petit Mas à Martigues où elle fait ses premiers pas
Puis, elle fait la rencontre de Sonny Black Productions qui réalise son nouvel album dont trois titres sont co- réalisés par D. DY. Les projets s'enchainent et elle part enregistrer un feat à l'Ile Maurice...
Shälya est une personne généreuse, très enthousiaste et positive, qui s’enivre du bonheur des uns et des autres... Pour elle, chacun d'entre nous a son rôle à jouer dans ce monde. Son univers bien à elle, est la spiritualité, l’amour d’autrui, l’amour de la vie…

Complètement connectée à son époque, lucide sur le monde dans lequel elle vit, elle rêve de créer des associations dans les banlieues, avec pour but de s'occuper des plus jeunes et des délaissés, pour éviter qu’ils sombrent dans la délinquance.

Mais Shälya, veut aussi lutter contre la faim dans le monde et rêve de réduire toutes les autres formes de souffrance qui en découlent. Energique, volontaire et talentueuse, Shälya dirige sa vie en fixant des objectifs ambitieux et se donne les moyens pour les atteindre.

Comme d'autres artistes issues de l'immigration, Shälya est un magnifique mélange de cultures. Elle participe à cette vague déferlante musicale dans laquelle sont nées les Nadiya, Vitaa, Amel Bent, Zaho et beaucoup d'autres. Indéniablement, elle apporte un son bien à elle dans le paysage actuel et nous parions que Shälya sera bientôt en haut de l'affiche comme ses illustres consoeurs artistes. Elle réunit en tout cas tous les talents pour ça.
Il est évident que la personnalité attachante de Shälya est indissociable de son talent. Et si la musique est souvent le reflet de l'âme, alors nous dirons de Shälya, qu'elle est une belle âme car la générosité est toujours une jolie forme de noblesse humaine.
Nous vous invitons à visiter sa page MySpace pour découvrir d'autres belles chansons de cette magnifique artiste.
 
Le public masculin est friand de ça, à mon grand regret...

il y a des limites...perso j'ai horreur des pseudo suiveuses sans personnalité qui misent sur un concept marketing re-re-maché, à savoir un déhanchement de fessier sur une musique très moyenne sans créativité.

Quel modèle pour les dernières générations!! affligeant!!! beurkk
 
http://www.telquel-online.com/393/mage_culture_393.shtml

Portrait. Shalya, La Shakira marocaine

Depuis quelques mois, cette jeune chanteuse casablancaise cartonne en France. Une blonde explosive qui n’a certainement pas fini de faire parler d’elle.

Difficile, à première vue, de deviner que Shalya est marocaine. Avec ses longs cheveux blonds platine et ses tenues provocantes, cette jeune chanteuse ressemble aux bimbos françaises ou américaines omniprésentes sur les chaînes musicales satellitaires. Ses textes ne comportent aucun mot d’arabe ou sonorité orientale. Seul signe qui pourrait, peut-être, indiquer ses origines arabes : sa façon de se déhancher, qui lui a d’ailleurs valu à plusieurs reprises d’être comparée à la bombe latine Shakira. Ce qui n’est pas pour déplaire à Shalya, fan de l’artiste colombienne. “J’admire Shakira, il est normal que notre danse soit la même, puisqu’elle a également des origines arabes”, explique la chanteuse, de son vrai nom Sofia Bouanani. Mais en France, en Belgique, en encore en Suisse, très rares sont ceux qui savent que Shalya est née à Casablanca au début des années 1980, et qu’elle a vécu au Maroc jusqu’à ses 18 ans.

Les années Lyautey
“J’ai su très vite que je voulais devenir chanteuse. Dès l’école primaire, je n’arrêtais pas de chanter et danser. Pendant mon adolescence, j’ai fait partie de plusieurs chorales et groupes”, se rappelle l’intéressée. A l’époque, elle se produira au cinéma Rialto, au complexe Sidi Belyout ou encore à la foire de Casablanca. En 1993, la jeune fille rencontre Yassine Bouzidi, un pianiste-compositeur avec lequel elle monte, quelques années plus tard, le groupe Caravane, qui va devenir sa première grande aventure musicale. En parallèle, cette admiratrice de Whitney Houston et Ella Fitzgerald monte le groupe Desagree (composé uniquement de filles), qui lui vaudra son premier passage télévisé dans l’émission Entracte, animée par Nadia Larguet. Fin 1999, elle enregistre avec le groupe Caravane un album intitulé Oriental Tears, qui sera quelques mois plus tard vendu en France. Durant ces années lycée, son chemin croise celui de Sofia Essaïdi, Oum, Khanssa Batma ou encore Gad Elmaleh, tous encore inconnus. Lors d’un spectacle de fin d’année à Lyautey, elle partagera la même scène que l’humoriste, sans s’imaginer qu’il deviendra célèbre un jour.
Mais tout cela ne l’éloigne pas de ses études, qui restent sa priorité. “Mon père avait insisté pour que je décroche mon bac. Après, il m’avait promis qu’il me soutiendrait quelles que soient les études que je voudrais faire”, explique Sofia. Son bac en poche, la jeune fille pose ses valises à Toulouse, pour étudier la danse à l’école professionnelle “Art Dance International”. Parallèlement, elle essaye d’entrer en contact avec des producteurs qui pourraient l’aider. Mais le coup de pouce viendra du Maroc, et plus précisément de son père. “Un jour en 2005, il m’a appelé me disant qu’il venait de rencontrer un rappeur français, qu’il lui avait parlé de moi et qu’il lui avait donné mon numéro de téléphone”, se rappelle la chanteuse. Il s’agit de Stomy Bugsy, rappeur en vogue à cette période, qui l’appelle dès son retour en France. Après avoir écouté ses maquettes, il lui présente plusieurs producteurs et lui propose de faire du r’n’b, avec des paroles en arabe et en français qui pourraient plaire aux Maghrébins de l’Hexagone. “Le problème c’est que je n’ai jamais vécu dans une cité, je n’avais pas du tout le même vécu que le public qu’il voulait que j’atteigne. J’ai très vite réalisé que ça ne menait à rien”, analyse Sofia. Leur collaboration s’arrête là. Et la jeune Casablancaise décide alors d’entrer en contact avec Jean-Michel Tadilla, un ancien producteur à Universal et BMG dont elle avait beaucoup entendu parler.
[...]
© 2009 TelQuel Magazine. Maroc. Tous droits résérvés
 
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Portrait. Shalya, La Shakira marocaine

Depuis quelques mois, cette jeune chanteuse
casablancaise cartonne en France. Une blonde explosive qui n’a certainement pas fini de faire parler d’elle.

Difficile, à première vue, de deviner que Shalya est marocaine. Avec ses longs cheveux blonds platine et ses tenues provocantes, cette jeune chanteuse ressemble aux bimbos françaises ou américaines omniprésentes sur les chaînes musicales satellitaires. Ses textes ne comportent aucun mot d’arabe ou sonorité orientale. Seul signe qui pourrait, peut-être, indiquer ses origines arabes : sa façon de se déhancher, qui lui a d’ailleurs valu à plusieurs reprises d’être comparée à la bombe latine Shakira. Ce qui n’est pas pour déplaire à Shalya, fan de l’artiste colombienne. “J’admire Shakira, il est normal que notre danse soit la même, puisqu’elle a également des origines arabes”, explique la chanteuse, de son vrai nom Sofia Bouanani. Mais en France, en Belgique, en encore en Suisse, très rares sont ceux qui savent que Shalya est née à Casablanca au début des années 1980, et qu’elle a vécu au Maroc jusqu’à ses 18 ans.

Les années Lyautey
“J’ai su très vite que je voulais devenir chanteuse. Dès l’école primaire, je n’arrêtais pas de chanter et danser. Pendant mon adolescence, j’ai fait partie de plusieurs chorales et groupes”, se rappelle l’intéressée. A l’époque, elle se produira au cinéma Rialto, au complexe Sidi Belyout ou encore à la foire de Casablanca. En 1993, la jeune fille rencontre Yassine Bouzidi, un pianiste-compositeur avec lequel elle monte, quelques années plus tard, le groupe Caravane, qui va devenir sa première grande aventure musicale. En parallèle, cette admiratrice de Whitney Houston et Ella Fitzgerald monte le groupe Desagree (composé uniquement de filles), qui lui vaudra son premier passage télévisé dans l’émission Entracte, animée par Nadia Larguet. Fin 1999, elle enregistre avec le groupe Caravane un album intitulé Oriental Tears, qui sera quelques mois plus tard vendu en France. Durant ces années lycée, son chemin croise celui de Sofia Essaïdi, Oum, Khanssa Batma ou encore Gad Elmaleh, tous encore inconnus. Lors d’un spectacle de fin d’année à Lyautey, elle partagera la même scène que l’humoriste, sans s’imaginer qu’il deviendra célèbre un jour.
Mais tout cela ne l’éloigne pas de ses études, qui restent sa priorité. “Mon père avait insisté pour que je décroche mon bac. Après, il m’avait promis qu’il me soutiendrait quelles que soient les études que je voudrais faire”, explique Sofia. Son bac en poche, la jeune fille pose ses valises à Toulouse, pour étudier la danse à l’école professionnelle “Art Dance International”. Parallèlement, elle essaye d’entrer en contact avec des producteurs qui pourraient l’aider. Mais le coup de pouce viendra du Maroc, et plus précisément de son père. “Un jour en 2005, il m’a appelé me disant qu’il venait de rencontrer un rappeur français, qu’il lui avait parlé de moi et qu’il lui avait donné mon numéro de téléphone”, se rappelle la chanteuse. Il s’agit de Stomy Bugsy, rappeur en vogue à cette période, qui l’appelle dès son retour en France. Après avoir écouté ses maquettes, il lui présente plusieurs producteurs et lui propose de faire du r’n’b, avec des paroles en arabe et en français qui pourraient plaire aux Maghrébins de l’Hexagone. “Le problème c’est que je n’ai jamais vécu dans une cité, je n’avais pas du tout le même vécu que le public qu’il voulait que j’atteigne. J’ai très vite réalisé que ça ne menait à rien”, analyse Sofia. Leur collaboration s’arrête là. Et la jeune Casablancaise décide alors d’entrer en contact avec Jean-Michel Tadilla, un ancien producteur à Universal et BMG dont elle avait beaucoup entendu parler.
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beaucoup de bruit pour rien non?
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
elle fait un carton en france, ah bon???
elle passait en 2008 de temps en temps sur m6 music, depuis perdue de vue

elle cartonne peut etre en boite de nuit ou dans les cabarets j'en sais rien moi mais pas sur les ondes en tout cas :eek:
 
vous appelez ce truc, une chanteuse ? lol


je crois même en tant qu'une stripteaseuse, ils ne pourront jamais l'accepter, même dans les bars a 5 euros l'entrée.
 

Soraya404

........................
elle est franchement pas terrible, a un déhanché bidon et sait pas chanter...

désolée c est mon avis

pourtant j aime pas critiquer mais impossible de faire autrement la
 
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