ennemideta
...de passage nous sommes...
Qui est Al-Khidr ?
Al-Khidr, c’est un surnom donné à l’homme à cause de la robe verte qu’il portait et personne ne connaît son nom. Il y a des gens qui le pensent en vie depuis l’époque d’Adam jusqu’à présent. Mais cela ne peut pas être vrai parce que le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) dit une fois : “Voyez-vous cette nuit ?” Ils répondirent : “Oui, ô Messager d’Allah.” Il dit : “Dans cent ans à partir d’elle, il n’y aura pas un seul de ceux qui se trouvent sur Terre qui sera encore vivant.” D’autres gens ont dit que Al-Khidr avait rencontré le Messager et ce n’est pas vrai non plus. S’il vivait au temps du Messager il l’aurait suivi et aurait pris part aux batailles. Est-il un Ange ou un prophète ? Ce n’est qu’un humble serviteur d’Allah.
Moussa accompagna Al-khidr
Moussa dit : “ Puis-je te suivre, à la condition que tu m’apprennes de ce qu’on t’a appris”. Il lui fut dit : “Vraiment, tu ne pourras jamais être patient avec moi.” Allah l’exerçait à la patience parce qu’il allait en avoir souvent besoin avec les Bani-Isrâ’îl (les fils d’Israël). Il répondit : “ Si Allah veut, tu me trouveras patient; et je ne désobéirai à aucun de tes ordres. ” Pouvez-vous être aussi humble ?
La première histoire
D’après le récit d’Al-Bokhari, ils se sont tenus au bord de la mer. Al-Khidr qui était connu fit signe à un bateau qui s’arrêta pour eux. Une fois dessus, il y fit un dégât parce qu’ils passaient près d’un roi injuste qui prenait tous les bateaux en bon état. Les propriétaires du bateau s’étaient fâchés du dégât fait par Al-Khidr. Le but, dans la première histoire, est qu’Allah Taala montre que si, en apparence, vous êtes touché par un malheur, n’ayez crainte car, en réalité, il apporte du bien.
La deuxième histoire
Allah Taala dit : « …quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua… » (Sourate 18:75) ; l’histoire où un jeune garçon a été tué, nous démontre la connaissance de l’avenir par Allah parce que l’enfant allait devenir incroyant.
La troisième histoire
C’est une histoire de deux jeunes enfants dans une cité par où Moussa et Al-Khidr passent et dont les habitants avares ont refusé de leur offrir asile. Le père des deux enfants leur avait laissé un trésor caché sous un mur sur le point de s’effondrer et de révéler son contenu. Al-Khidr se mit à réparer le mur pour le garder intact jusqu’à l’arrivée des enfants à l’âge adulte et empêcher les gens de prendre le trésor.
La moralité a tiré de ces trois histoires
Les trois histoires ont réuni les plus grands malheurs qui puissent arriver : les biens, l’oppression et la mort qui, en réalité, étaient des grâces. Allah veut nous apprendre la patience. Il ne nous veut que du bien et nous devions être satisfaits de tout ce qui nous arrive.
Pour nous faire savoir qui est le maître de l’univers Allah nous dit: “Allah! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même «Al-Qayyūm». Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son Trône «Kursiy», déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.” (Sourate 2:256).
Allah Taala dit: Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux. Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux- mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience". (Sourate 18:79-82).
En lisons ces verset, nous constatons que Al-Khidr parle d’Allah avec politesse. Il rapporte le bien à Dieu et le mal à lui-même. Moussa a appris de Al-Khidr les quatre points principaux : la valeur de la science, que notre science par rapport à celle d’Allah est comme une goutte d’eau dans l’océan, l’acceptation de la sagesse d’Allah et la patience.
Al-Khidr, c’est un surnom donné à l’homme à cause de la robe verte qu’il portait et personne ne connaît son nom. Il y a des gens qui le pensent en vie depuis l’époque d’Adam jusqu’à présent. Mais cela ne peut pas être vrai parce que le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) dit une fois : “Voyez-vous cette nuit ?” Ils répondirent : “Oui, ô Messager d’Allah.” Il dit : “Dans cent ans à partir d’elle, il n’y aura pas un seul de ceux qui se trouvent sur Terre qui sera encore vivant.” D’autres gens ont dit que Al-Khidr avait rencontré le Messager et ce n’est pas vrai non plus. S’il vivait au temps du Messager il l’aurait suivi et aurait pris part aux batailles. Est-il un Ange ou un prophète ? Ce n’est qu’un humble serviteur d’Allah.
Moussa accompagna Al-khidr
Moussa dit : “ Puis-je te suivre, à la condition que tu m’apprennes de ce qu’on t’a appris”. Il lui fut dit : “Vraiment, tu ne pourras jamais être patient avec moi.” Allah l’exerçait à la patience parce qu’il allait en avoir souvent besoin avec les Bani-Isrâ’îl (les fils d’Israël). Il répondit : “ Si Allah veut, tu me trouveras patient; et je ne désobéirai à aucun de tes ordres. ” Pouvez-vous être aussi humble ?
La première histoire
D’après le récit d’Al-Bokhari, ils se sont tenus au bord de la mer. Al-Khidr qui était connu fit signe à un bateau qui s’arrêta pour eux. Une fois dessus, il y fit un dégât parce qu’ils passaient près d’un roi injuste qui prenait tous les bateaux en bon état. Les propriétaires du bateau s’étaient fâchés du dégât fait par Al-Khidr. Le but, dans la première histoire, est qu’Allah Taala montre que si, en apparence, vous êtes touché par un malheur, n’ayez crainte car, en réalité, il apporte du bien.
La deuxième histoire
Allah Taala dit : « …quand ils eurent rencontré un enfant, [l'homme] le tua… » (Sourate 18:75) ; l’histoire où un jeune garçon a été tué, nous démontre la connaissance de l’avenir par Allah parce que l’enfant allait devenir incroyant.
La troisième histoire
C’est une histoire de deux jeunes enfants dans une cité par où Moussa et Al-Khidr passent et dont les habitants avares ont refusé de leur offrir asile. Le père des deux enfants leur avait laissé un trésor caché sous un mur sur le point de s’effondrer et de révéler son contenu. Al-Khidr se mit à réparer le mur pour le garder intact jusqu’à l’arrivée des enfants à l’âge adulte et empêcher les gens de prendre le trésor.
La moralité a tiré de ces trois histoires
Les trois histoires ont réuni les plus grands malheurs qui puissent arriver : les biens, l’oppression et la mort qui, en réalité, étaient des grâces. Allah veut nous apprendre la patience. Il ne nous veut que du bien et nous devions être satisfaits de tout ce qui nous arrive.
Pour nous faire savoir qui est le maître de l’univers Allah nous dit: “Allah! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même «Al-Qayyūm». Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son Trône «Kursiy», déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.” (Sourate 2:256).
Allah Taala dit: Pour ce qui est du bateau, il appartenait à des pauvres gens qui travaillaient en mer. Je voulais donc le rendre défectueux, car il y avait derrière eux un roi qui saisissait de force tout bateau. Quant au garçon, ses père et mère étaient des croyants; nous avons craint qu'il ne leur imposât la rébellion et la mécréance. Nous avons donc voulu que leur Seigneur leur accordât en échange un autre plus pur et plus affectueux. Et quant au mur, il appartenait à deux garçons orphelins de la ville, et il y avait dessous un trésor à eux; et leur père était un homme vertueux. Ton Seigneur a donc voulu que tous deux atteignent leur maturité et qu'ils extraient, [eux- mêmes] leur trésor, par une miséricorde de ton Seigneur. Je ne l'ai d'ailleurs pas fait de mon propre chef. Voilà l'interprétation de ce que tu n'as pas pu endurer avec patience". (Sourate 18:79-82).
En lisons ces verset, nous constatons que Al-Khidr parle d’Allah avec politesse. Il rapporte le bien à Dieu et le mal à lui-même. Moussa a appris de Al-Khidr les quatre points principaux : la valeur de la science, que notre science par rapport à celle d’Allah est comme une goutte d’eau dans l’océan, l’acceptation de la sagesse d’Allah et la patience.