Souvenirs d’enfance

[Sharm]

Najak rebbi
Sinon l3gaz c'est pas incurable ?

Si si, il existe un bon remède : un bon coup de pied au ku...

Hahaha démasqué!
Les amourettes d'enfance !
Ach dart Siham ?

Aucune idée de ce qu’est devenue Siham (Allah ydkorha b khir). La dernière fois que je l’ai croisée, c’était au collège. J’espère que la vie lui a été aussi souriante que son visage… et aussi douce que sa tresse.

Ce serait quelque chose, de recroiser ses anciens crushs. Je suis persuadé que le cœur, même mûri, ne serait pas tout à fait à l’abri d’un petit bzz bzz nostalgique.

Et tu écrivais bien à cette époque ?

A 8 ans, j’écrivais pas encore des poèmes… mais le fait d’avoir aligné : "بسم الله الرحمن الرحيم، حبيبتي سهام" c’est déjà toute une déclaration. La lettre était austère, 2-3 lignes à peine… je ne me souviens pas exactement du contenu, mais je crois que c’était un truc d’enfant, simple… mais sincère.

Je me rappelle qu'à cet âge j'avais reçu un genre de porte clé en forme de coeur d'un camarade de classe

Les lettres c'était surtout à partir de 11 ans que j'en recevais.

Ça me rappelle qu'une fois au collège, un camarade m'a demandé de lui emprunter mon livre de science (peut être) il me l'a rendu. Alors que moi toute innocente j'avais rien compris. Après, mon oncle qui nous visitait souvent voulait consulter mon bouquin ou réviser avec moi (je ne me rappelle plus) lmohim, il a trouvé une lettre d'amour adressé à moi après un mois ou deux que j'ai récupéré le livre ana comme j'étais un ange, aucune réaction, c'est pas mon problème mais la lettre a fini par atterrir dans les mains de la grand mère du gars qui lui faisait lire la lettre et le relire d'après mon amie qui avait des liens de parenté avec le gars ( je m'intéressais pas trop, mon amie m'en avait parlé mais je retiens pas trop les détails)
Lmohim après x temps, ce même gars avait même demandé la main de mon amie (qui a bien sûr refusé)
les deux aujourd'hui mariés avec des enfants

Un mois ou deux sans rien remarquer... On sent que le bouquin était juste un figurant, là pour caler les autres livres dans le cartable !

Mais le coup du livre emprunté, ça me parle aussi… En Terminale, une fille d’une autre classe m’a demandé un livre de maths. J'avais une feuille de brouillon dedans que les matheux du bled connaissent (wra9 zebda). Quand elle m'a rendu le livre, plus tard je découvre la trace d'un bisou sur cette feuille de brouillon. Elle a pris le soin de ne pas tâcher le livre avec son rouge à lèvres... ça impose le respect

L'amorce de ta lettre m'a extermineR

En vrai, c'était de l'amour pur… celui qui commence par honorer le nom de Dieu. Et on enchaîne direct sur le cœur du sujet : "Habibati...". Ce n'est pas une lettre d'amour, c'est une déclaration prophétique

Pas de "je voudrais te dire un truc mais je sais pas comment", ni de "Ecoute Joséphine, depuis que je t’ai vue… je mange plus, je me sens bizarre...".

Non non. Ici c'est : "Bismillah, Habibati... Quand je passerai voir ton père ?"

 

[SpiceKhoubz]

Si si, il existe un bon remède : un bon coup de pied au ku...




Aucune idée de ce qu’est devenue Siham (Allah ydkorha b khir). La dernière fois que je l’ai croisée, c’était au collège. J’espère que la vie lui a été aussi souriante que son visage… et aussi douce que sa tresse.

Ce serait quelque chose, de recroiser ses anciens crushs. Je suis persuadé que le cœur, même mûri, ne serait pas tout à fait à l’abri d’un petit bzz bzz nostalgique.




A 8 ans, j’écrivais pas encore des poèmes… mais le fait d’avoir aligné : "بسم الله الرحمن الرحيم، حبيبتي سهام" c’est déjà toute une déclaration. La lettre était austère, 2-3 lignes à peine… je ne me souviens pas exactement du contenu, mais je crois que c’était un truc d’enfant, simple… mais sincère.



Un mois ou deux sans rien remarquer... On sent que le bouquin était juste un figurant, là pour caler les autres livres dans le cartable !

Mais le coup du livre emprunté, ça me parle aussi… En Terminale, une fille d’une autre classe m’a demandé un livre de maths. J'avais une feuille de brouillon dedans que les matheux du bled connaissent (wra9 zebda). Quand elle m'a rendu le livre, plus tard je découvre la trace d'un bisou sur cette feuille de brouillon. Elle a pris le soin de ne pas tâcher le livre avec son rouge à lèvres... ça impose le respect



En vrai, c'était de l'amour pur… celui qui commence par honorer le nom de Dieu. Et on enchaîne direct sur le cœur du sujet : "Habibati...". Ce n'est pas une lettre d'amour, c'est une déclaration prophétique

Pas de "je voudrais te dire un truc mais je sais pas comment", ni de "Ecoute Joséphine, depuis que je t’ai vue… je mange plus, je me sens bizarre...".

Non non. Ici c'est : "Bismillah, Habibati... Quand je passerai voir ton père ?"

La bismillah à 8 ans sans déconner. C'est bon, j'arrête tout je rachète mes trimestres.

 

[Auroraa]

Si si, il existe un bon remède : un bon coup de pied au ku...

KO

Aucune idée de ce qu’est devenue Siham (Allah ydkorha b khir). La dernière fois que je l’ai croisée, c’était au collège. J’espère que la vie lui a été aussi souriante que son visage… et aussi douce que sa tresse.

Ce serait quelque chose, de recroiser ses anciens crushs. Je suis persuadé que le cœur, même mûri, ne serait pas tout à fait à l’abri d’un petit bzz bzz nostalgique.

surtout de la curiosité

A 8 ans, j’écrivais pas encore des poèmes… mais le fait d’avoir aligné : "بسم الله الرحمن الرحيم، حبيبتي سهام" c’est déjà toute une déclaration. La lettre était austère, 2-3 lignes à peine… je ne me souviens pas exactement du contenu, mais je crois que c’était un truc d’enfant, simple… mais sincère.

L'innocence !

Un mois ou deux sans rien remarquer... On sent que le bouquin était juste un figurant, là pour caler les autres livres dans le cartable !

Le feuille était juste minuscule, aucun soin je l'avais pas décelé

Mais le coup du livre emprunté, ça me parle aussi… En Terminale, une fille d’une autre classe m’a demandé un livre de maths. J'avais une feuille de brouillon dedans que les matheux du bled connaissent (wra9 zebda). Quand elle m'a rendu le livre, plus tard je découvre la trace d'un bisou sur cette feuille de brouillon. Elle a pris le soin de ne pas tâcher le livre avec son rouge à lèvres... ça impose le respect

Pas mal et t'était un nerd ? ou t'as essayé un truc ?

 

[Auroraa]

Je me rappelle quand j'avais 6 ans , on avait élevé un canard domestique à la maison, il était tout petit puis je l'ai vu grandir. Je jouais avec chaque jour, on courrait ensemble ou je courrais après bon, je l'aimais bcp et j'étais très contente de sa présence. Puis, un jour, je ne sais pas pourquoi, mes parents ont décidé de l'égorger. Je me rappelle que j'ai pleuré pendant deux jours ou plus, j'ai pleuré toute mes larmes sa perte. Je ne comprenais pas pourquoi il fallait l'égorger et j'ai fait 7alla , j'ai refusé de le manger et j'ai boudé tout le monde pendant un temps et depuis, jamais ils ont élevé un autre canard. Par contre, je n'avais aucun problème à manger des poules

Mon pauvre petit canard ! il était à moi

 

[Sorayaline]

Quel beau sujet!

Merci pour les fous rires

Dis donc Rachid

 

[Sorayaline]

Je devais avoir 12/13 ans.

Ma mère me demande d'aller faire une course. J'arrive à l'épicerie et là, je vois le fils des voisins beau gosse, pas très bavard (15 ans) qui me regarde de haut en bas puis qui s'approche et me demande si je veux qu'il m'achète un truc.

Je lui dis non et il me dit qu'il va me porter le sac. Sur le bout de chemin, il me posait des questions et je me disais que le soleil lui avait tapé sur la tête.

Arrivés devant la porte de chez moi, il me tend un billet de 20 dirhams et me dit de m'acheter ce que je veux.

J'ai pris mon sac, les 20 dirhams et je lui ai fermé la porte à la figure!

Je rentre et je raconte à ma mère qui a un fou rire monumental

J'ai appris qu'en fait, pour rire sa mère (en présence de la mienne) lui avait dit d'être polie avec sa future belle famille (nous).

L'histoire a fait le tour et voilà qu'à un diner, en notre présence, son père dit que son fils a approuvé l'union et avait déjà payé la dot

Le fils des voisins et moi, on s'est plus jamais regardé dans les yeux

@Barlamane un des plans foireux dont je parlais

 

[Petite_Mina]

Je devais avoir 12/13 ans.

Ma mère me demande d'aller faire une course. J'arrive à l'épicerie et là, je vois le fils des voisins beau gosse, pas très bavard (15 ans) qui me regarde de haut en bas puis qui s'approche et me demande si je veux qu'il m'achète un truc.

Je lui dis non et il me dit qu'il va me porter le sac. Sur le bout de chemin, il me posait des questions et je me disais que le soleil lui avait tapé sur la tête.

Arrivés devant la porte de chez moi, il me tend un billet de 20 dirhams et me dit de m'acheter ce que je veux.

J'ai pris mon sac, les 20 dirhams et je lui ai fermé la porte à la figure!

Je rentre et je raconte à ma mère qui a un fou rire monumental

J'ai appris qu'en fait, pour rire sa mère (en présence de la mienne) lui avait dit d'être polie avec sa future belle famille (nous).

L'histoire a fait le tour et voilà qu'à un diner, en notre présence, son père dit que son fils a approuvé l'union et avait déjà payé la dot

Le fils des voisins et moi, on s'est plus jamais regardé dans les yeux

@Barlamane un des plans foireux dont je parlais

là tu réveilles des souvenirs mdr... quand j'étais petite il y avait un cousin qui était adorable avec moi, gentil, me racontait des histoires.. et un jour je devais avoir 6 ans je lui ai dit quand je serai grande je me marierai avec toi mdrrr. le gars il a pas oublié, des années plus tard, ma tante Allah y rahma me dit maintenant tu es assez grande pour te marier, tu te souviens de ce que tu avais dit à mon fils.. bah moi j'avais oublié.. elle me le rappelle, et je lui réponds mais c'est interdit d'épouser son cousin en France et j'ai dit le reste.. ange mais grande gueule mdr.. ça a jeté un froid dans la famille, ce qui n'a pas empeché d'autres téméraires de tenter et de tous être éconduits mdr

 

[Petite_Mina]

Je me rappelle quand j'avais 6 ans , on avait élevé un canard domestique à la maison, il était tout petit puis je l'ai vu grandir. Je jouais avec chaque jour, on courrait ensemble ou je courrais après bon, je l'aimais bcp et j'étais très contente de sa présence. Puis, un jour, je ne sais pas pourquoi, mes parents ont décidé de l'égorger. Je me rappelle que j'ai pleuré pendant deux jours ou plus, j'ai pleuré toute mes larmes sa perte. Je ne comprenais pas pourquoi il fallait l'égorger et j'ai fait 7alla , j'ai refusé de le manger et j'ai boudé tout le monde pendant un temps et depuis, jamais ils ont élevé un autre canard. Par contre, je n'avais aucun problème à manger des poules

Mon pauvre petit canard ! il était à moi

Regarde la pièce jointe 411127

Dans le même style, mes parents ont eu une année une idée folle celle de fêter Noel à la française. Ce fut un Noel royal, des cadeaux, un sapin, la buche et mes parents ont décidé d'elever une dinde pour le repas.. Mon père a acheté une dinde et a rien trouvé de mieux que de la mettre dans le grenier immense, c'etait un étage complet de la maison.. on était chargés à tour de role d'aller nourrir la Bete.. elle nous a tous traumatisés, elle se cachait et nous attaquait.. Un des gosses montait, et les autres restaient en bas et des que le condamné hurlait on fermait la porte et l'autre tambourinait comme un éploré j'en pleure de rire en écrivant.. le jour du 24 décembre est arrivé.. mon père a égorgé la dinde et on a tous pleuré, ma mère aussi.. l'air de rien on s'attache même aux mauvaises bêtes.. ma mère l'a cuisiné.. et seul mon père l'a mangée, nous on n'a pas pu.. pour mon père c'est son plus beau réveillon de Noel de toute sa vie

 

[Sharm]

Souvenir d’enfance : Wakil, le magnifique​

Wakil, zgegologue à 6 ans


Je venais d’emménager dans notre nouvelle maison, en bordure de ville. A l’arrière, ce n’était pas la nature, c’était le néant. Ou plutôt : des canaux d’eaux viciées échappés des égouts, un tas de ferraille, un kouri abandonné, une rivière (Oued Isly, cf fameuse bataille d'Isly), des chiens errants, des plantes épineuses, des herbes hautes, où se réfugiaient "les amoureux" fuyant les regards indiscrets.

Avant de m’habituer à cette faune sauvage, j’avais grandi dans un autre monde, un peu plus "propre", plus civilisé, si l’on peut dire. J’avais 7 ans. Et un jour, à peine installé, un môme du coin, 6 ans à tout casser, débarque chez moi et toque à la porte.

__ Tu veux être mon ami ?
__ Ouais.

Une amitié de voisinnage forcée, sans cérémonie. Une amitié de circonstance. Quelques jours plus tard, il me propose d’aller "explorer" ce qui, pour moi, était encore un décor de cauchemar. Je décline.

__ J’suis pas chaud
__ T’as un zgeg ou pas ? (Je paraphrase en zgeg. En arabe, ça n'a pas 36 noms...)

Je réfléchis à ce mot bizarre que viens d'entendre. Z.... et lui demande :

__ C’est quoi un zgeg ?

Et c’est ce jour-là, 7 ans, au seuil d’un territoire inconnu, que j’ai appris ce qu’était un zgeg. J’étais devenu un homme.



Wakil, sexologue à 8 ans


Wakil ne s’est pas arrêté à m'apprendre le véritable nom de ce machin à l'entrejambe, devenu dans mon subconscient symbole de virilité.

Wakil avait grandi dans une famille aux mœurs discutables. Il a essuyé quelques insultes à cause de ça, mais moi, ça ne me posait pas de problème. Il m’a expliqué comment naissent les enfants. Pas avec douceur, ni poésie. Mais avec cette franchise crue que seuls les enfants des terrains vagues peuvent manier.

Moi, dans ma tête, y avait encore une cigogne. Une grande, blanche, généreuse, qui passait par les nuages pour déposer des bébés bien emmaillotés. Je venais de me manger une claque existentielle. Un petit monde venait de s’effondrer dans ma tête. Je rentre chez moi et dis à ma mère, avec tout le sérieux et la gravité de l'instant :

__ Quand papa reviendra de France… je veux dormir avec vous.

Elle me regarde, sans comprendre. Puis elle me répond doucement :

__ D’accord.



Wakil, fatwalogue, aka mufti, à 11 ans


J’avais 12 ans, Wakil, 11 ans. On était en plein dans notre phase khwanji. Pas par conviction profonde - pas encore - mais parce que c’était dans l’air. Une mode de rue. Un grand frère très pieux, un outsider venu de loin, avait contaminé un gars de la rue. Le gars contaminé influence le petit frère. Le petit frère influence les gars de son âge. Et ainsi de suite. Epidémie de piété dans tout le voisinnage.

Un soir, Wakil, moi, et quelques gamins plus jeunes que nous, entre 6 et 8 ans, on traine au coin de la rue. Wakil parlait comme un sage. Comme un ancien. Wakil jouait le rôle du grand frère, du prédicateur miniature. Puis, en s'adressant aux 6-8 ans, lâche :

__ Vous ne devez pas prier tout de suite… attendez de grandir un peu, le temps que vous… pétiez moins.

Silence. Je m’attendais à un verset. Une hikma. Un hadith. Mais non. Une histoire de pets. Il sent lui même qu'il vient d'improviser une sagesse. Alors il se tourne vers moi, les yeux brillants, avec un grand sourire :

— N’est-ce pas, Sharm ?

Je hoche la tête. Un hochement qui ne dit ni oui, ni non. Juste un hochement pour ne pas l’enfoncer. Pour ne pas briser l’aura qu’il s’était construite devant les petits.


C’est ce jour-là que j’ai su : Wakil, le magnifique, il avait perdu son statut d'érudit mystique... du haut de ses 11 ans.

 

[Barlamane]

Je devais avoir 12/13 ans.

Ma mère me demande d'aller faire une course. J'arrive à l'épicerie et là, je vois le fils des voisins beau gosse, pas très bavard (15 ans) qui me regarde de haut en bas puis qui s'approche et me demande si je veux qu'il m'achète un truc.

Je lui dis non et il me dit qu'il va me porter le sac. Sur le bout de chemin, il me posait des questions et je me disais que le soleil lui avait tapé sur la tête.

Arrivés devant la porte de chez moi, il me tend un billet de 20 dirhams et me dit de m'acheter ce que je veux.

J'ai pris mon sac, les 20 dirhams et je lui ai fermé la porte à la figure!

Je rentre et je raconte à ma mère qui a un fou rire monumental

J'ai appris qu'en fait, pour rire sa mère (en présence de la mienne) lui avait dit d'être polie avec sa future belle famille (nous).

L'histoire a fait le tour et voilà qu'à un diner, en notre présence, son père dit que son fils a approuvé l'union et avait déjà payé la dot

Le fils des voisins et moi, on s'est plus jamais regardé dans les yeux

@Barlamane un des plans foireux dont je parlais

c'est trop mignonnnnnn et très marrant en même temps

 

[Lilawarda]

L enfance ....

Mes meilleurs souvenirs : jouer dans la rue

On était une bande de 12/15 enfants du quartier ( plusieurs fratries filles et garçons)
Des heures et des heures a jouer :
foot
balle au prisonnier
basket avec le panneau sens interdit en guise de panier
danser avec nos tourne disque
fausse camera cachée avec les passants
déranger la mamie qui avait peur pour ses tuiles avec le ballon elle nous jetait des seaux d'eau
faire de la gym
les patins à roulettes qui roulent pas
les Barbies , petits poneys
faire la quête pour les chats errants
visiter la maison abandonnée du coin de la rue, se lancer des défis
raconter des histoires qui font peur
Les pétards du 14 juillet
chercher les articles perdus des commerçants une fois la braderie terminée , etc etc ....

Il y avait des parents pâtissiers qui nous donnaient defois des glaces , des gâteaux ou des pieces montées loupées, il y avait les cuisines du restaurant de la rue ( parents aussi d une des filles qui jouait) , on allait a leur fenêtre discuter avec les commis de cuisine

Le must c'était qd mon père travaillait de nuit , ma mère nous laissait ressortir après dîner jusqu a 22h30 voire 23h l été... La folie !!!


Ça a duré de 6/7 ans jusqu'à 13 ans environ .... Qd je repasse ds cette rue où il n y a plus d enfants qui jouent .... Gros coup de nostalgie tellement nous on y a vécu des aventures


Et mon enfance c est aussi qd j allais ds la maison de mes grands parents, le jardinage ,les soirées a aller marauder les fruits d été, regarder les étoiles filantes , chercher les vers luisants ds l herbe ....

Vraiment j ai eu une bonne enfance , hamdoullillah

 

[Auroraa]

L enfance ....

Mes meilleurs souvenirs : jouer dans la rue

On était une bande de 12/15 enfants du quartier ( plusieurs fratries filles et garçons)
Des heures et des heures a jouer :
foot
balle au prisonnier
basket avec le panneau sens interdit en guise de panier
danser avec nos tourne disque
fausse camera cachée avec les passants
déranger la mamie qui avait peur pour ses tuiles avec le ballon elle nous jetait des seaux d'eau
faire de la gym
les patins à roulettes qui roulent pas
les Barbies , petits poneys
faire la quête pour les chats errants
visiter la maison abandonnée du coin de la rue, se lancer des défis
raconter des histoires qui font peur
Les pétards du 14 juillet
chercher les articles perdus des commerçants une fois la braderie terminée , etc etc ....

Il y avait des parents pâtissiers qui nous donnaient defois des glaces , des gâteaux ou des pieces montées loupées, il y avait les cuisines du restaurant de la rue ( parents aussi d une des filles qui jouait) , on allait a leur fenêtre discuter avec les commis de cuisine

Le must c'était qd mon père travaillait de nuit , ma mère nous laissait ressortir après dîner jusqu a 22h30 voire 23h l été... La folie !!!


Ça a duré de 6/7 ans jusqu'à 13 ans environ .... Qd je repasse ds cette rue où il n y a plus d enfants qui jouent .... Gros coup de nostalgie tellement nous on y a vécu des aventures


Et mon enfance c est aussi qd j allais ds la maison de mes grands parents, le jardinage ,les soirées a aller marauder les fruits d été, regarder les étoiles filantes , chercher les vers luisants ds l herbe ....

Vraiment j ai eu une bonne enfance , hamdoullillah

Elhamdolilah ! heureusement qu'il n'y avait pas d'internet et jeux vidéos comme aujourd'hui ! là même si tu incites les gamins à sortir, ils n'en veulent plus mais je ne sais pas si c'est aussi question de sécurité! j'ai l'impression que nos parents ne s'inquiétaient pas comme les parents d'aujourd'hui.

C'est un peu pareil chez nous, tous les enfants du quartier sortaient l'aprem (après l3assr) pour jouer, du foot, du basket de rue, du tennis de rue entre ping pong et tennis lol, du volley ball sans filet, du lastique et aussi j'aimais beaucoup la bicyclette (sans équipement protecteur), je passais pas mal de temps à découvrir les entourages avec une amie ou ma soeur, je mettais une casquette et Hop .
Bien sûr, ça va de soi que je me suis fais blesser pas mal de fois aux genoux, aux bras, partout

Qui n'a pas essayé les mains en air ?

 

[Lilawarda]

Elhamdolilah ! heureusement qu'il n'y avait pas d'internet et jeux vidéos comme aujourd'hui ! là même si tu incites les gamins à sortir, ils n'en veulent plus mais je ne sais pas si c'est aussi question de sécurité! j'ai l'impression que nos parents ne s'inquiétaient pas comme les parents d'aujourd'hui.

C'est un peu pareil chez nous, tous les enfants du quartier sortaient l'aprem (après l3assr) pour jouer, du foot, du basket de rue, du tennis de rue entre ping pong et tennis lol, du volley ball sans filet, du lastique et aussi j'aimais beaucoup la bicyclette (sans équipement protecteur), je passais pas mal de temps à découvrir les entourages avec une amie ou ma soeur, je mettais une casquette et Hop .
Bien sûr, ça va de soi que je me suis fais blesser pas mal de fois aux genoux, aux bras, partout

Qui n'a pas essayé les mains en air ?

Oui maintenant les enfants ont bcp moins de créativité ds les jeux .. les écrans font bcp de mal
De rien on jouait
La fausse camera cachée c est venu du fait que le coiffeur ( père de 2 enfants) avait jeté de gros cartons sur la rue
Il nous a pas fallu longtemps pour en faire une cabane , fabriquer une fausse camera et c'était parti !
2 enfants se mettaient de chaque côté de la ruelle et faisaient semblant de tirer un fil transparent en travers de la ruelle
Certains passants jouaient le jeu et levaient les pieds pour passer et la on était tout content celui qui tenait la fausse camera sortait de sa cachette ds le carton ( mdr qd j'y repense ), d'autres comprenaient qu on était que des gamins qui jouaient lol

Tout nous occupait !

L'élastique, on montait jusqu a " cou" loool
La corde a sauter
Saute mouton avec une borne de stationnement interdit ( qd j'y repense c'était haut plus haut que nos tailles et juste un " pic arrondi ) , très dangereux ! )
On faisait des roues sur 2 mains, sur une main , du côté gauche

On était qd même intrépides , c'était sur le bitume

Oui l époque faisait qu on était bcp moins sur nos gardes a tous niveaux