Syrie : histoire d'un complot.

Les relations entre l’Allemagne et la Syrie, jadis excellentes sous l’empereur Guillaume II, sont aujourd’hui exécrables. C’est que Berlin est devenu, depuis la Guerre froide, l’arrière cour des Frères musulmans pour renverser la République arabe syrienne. Depuis 2012, le ministère des Affaires étrangères et le think tank fédéral SWP travaillent directement pour le compte de l’État profond US à la destruction du pays.

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En janvier 2015, une marche de la tolérance rassemblait à Berlin des responsables politiques allemands et des leaders musulmans en réaction à l’attentat contre Charlie Hebdo à Paris. Madame Merkel défilait bras dessus, bras dessous avec Aiman Mazyek, secrétaire général du Conseil central des musulmans. Bien qu’il prétende avoir rompu avec les Frères musulmans et tienne un discours ouvert, M. Mazyek protège au sein de son organisation la Milli Gorus (l’organisation suprémaciste de Recep Tayyip Erdoğan) et les Frères musulmans (la matrice des organisations jihadistes, alors présidée mondialement par Mahmoud Ezzat, ex-bras droit de Sayyid Qutb).
En janvier 2015, une marche de la tolérance rassemblait à Berlin des responsables politiques allemands et des leaders musulmans en réaction à l’attentat contre Charlie Hebdo à Paris. Madame Merkel défilait bras dessus, bras dessous avec Aiman Mazyek, secrétaire général du Conseil central des musulmans. Bien qu’il prétende avoir rompu avec les Frères musulmans et tienne un discours ouvert, M. Mazyek protège au sein de son organisation la Milli Gorus (l’organisation suprémaciste de Recep Tayyip Erdoğan) et les Frères musulmans (la matrice des organisations jihadistes, alors présidée mondialement par Mahmoud Ezzat, ex-bras droit de Sayyid Qutb).
 
Historiquement l’Allemagne avait d’excellentes relations avec l’Empire ottoman au début du XXème siècle. Le Kaiser Guillaume II, qui était fasciné par l’islam, poursuivit des fouilles archéologiques, notamment à Baalbeck, et participa à la construction des premiers chemins de fer, dont le Damas-Médine. Le Reich et la Sublime Porte affrontèrent ensemble les Britanniques lorsqu’ils organisèrent la « Grande révolte arabe » de 1915, puis ils perdirent la Première Guerre Mondiale et, par voie de conséquence, furent exclus de la région (accords Sykes-Picot-Sazonov).

En 1953, le président Eisenhower reçoit une délégation des Frères musulmans conduite par Saïd Ramadan. Les États-Unis soutiennent désormais l’islam politique à l’étranger. En 1953, le président Eisenhower reçoit une délégation des Frères musulmans conduite par Saïd Ramadan. Les États-Unis soutiennent désormais l’islam politique à l’étranger.
Alois Brunner, considéré comme responsable de la déportation de 130 000 juifs, fut installé par la CIA à Damas, en 1954, pour éviter que le régime du président Choukri al-Kouatli ne fasse alliance avec les Soviétiques. Alois Brunner, considéré comme responsable de la déportation de 130 000 juifs, fut installé par la CIA à Damas, en 1954, pour éviter que le régime du président Choukri al-Kouatli ne fasse alliance avec les Soviétiques.
Durant la Guerre froide, la CIA récupéra quelques uns des meilleurs officiers nazis pour poursuivre sa lutte contre l’URSS. Parmi eux, Gerhard von Mende qui avait recruté des musulmans soviétiques contre Moscou [1]. Ce haut-fonctionnaire installa à Munich, en 1953, le chef des Frères musulmans hors d’Égypte, Saïd Ramadan [2].
 
Dans la même période, la CIA envoie —sous couverture— des officiers nazis un peu partout dans le monde pour lutter contre les pro-Soviétiques. Par exemple, Otto Skorzeny en Égypte, Fazlollah Zahedi en Iran et Alois Brunner [3] en Syrie. Tous organisent les services secrets locaux sur le modèle de la Gestapo. Brunner ne sera évincé que longtemps plus tard, en 2000, par le président Bachar el-Assad.

Dans la période qui va de la révolution khomeiniste de 1979 aux attentats du 11-Septembre 2001, l’Allemagne de l’Ouest se montre prudente avec la Confrérie. Cependant, à la demande de la CIA et alors que la Syrie reconnaît l’Allemagne de l’Est, elle accepte d’offrir l’asile politique aux putschistes qui tentèrent le coup d’État de 1982 contre le président Hafez el-Assad, dont l’ancien Guide suprême Issam al-Attar (frère de la vice-présidente syrienne Najah el-Attar). Dans les années 90, la Confrérie se réorganise en Allemagne avec l’aide de deux hommes d’affaires, le Syrien Ali Ghaleb Himmat et l’Égyptien Youssef Nada, qui seront ultérieurement accusés par Washington de financer Oussma Ben Laden.

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Durant de longues années, l’universitaire allemand Volker Perthes a participé aux côtés de la CIA à la préparation de la guerre contre la Syrie. Il dirige le plus puissant think tank européen, la Stiftung Wissenschaft und Politik (SWP) et assiste au nom de l’Onu aux négociations de Genève.
Durant de longues années, l’universitaire allemand Volker Perthes a participé aux côtés de la CIA à la préparation de la guerre contre la Syrie. Il dirige le plus puissant think tank européen, la Stiftung Wissenschaft und Politik (SWP) et assiste au nom de l’Onu aux négociations de Genève.
 
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Detlev Mehlis a accusé au nom de l’Onu les présidents libanais et syrien, Émile Lahoud et Bachar el-Assad, d’avoir fait assassiner Rafic Hariri. Son travail était basé sur de faux témoignages dont la révélation l’a contraint à la démission.
Lorsque les États-Unis ouvrent la « guerre sans fin » au « Moyen-Orient élargi », la CIA encourage l’Allemagne réunifiée à lancer un « Dialogue avec le monde musulman ». À Berlin, le ministère des Affaires étrangères s’appuie principalement pour cela sur le nouveau chef local de la Confrérie, Ibrahim el-Zayat, et sur un expert, Volker Perthes. Ce dernier deviendra le directeur du principal think tank fédéral, la Fondation pour la Science et la Politique (SWP).

En 2005, l’Allemagne participe à l’assassinat de Rafic Hariri en fournissant l’arme qui sera utilisée pour le tuer (il ne s’agit évidemment pas d’un explosif classique contrairement à la propagande du « Tribunal » spécial) [4]. Par la suite, l’Allemagne fournit le chef de la Mission d’enquête de l’Onu, l’ancien procureur Detlev Mehlis [5], et son adjoint, l’ancien commissaire de police Gerhard Lehmann qui se trouva impliqué dans l’affaire des prisons secrètes de la CIA.

En 2008, alors que la CIA prépare la « guerre civile » syrienne, Volker Perthes est invité par l’Otan à la réunion annuelle du Groupe de Bilderberg. Il y participe avec une fonctionnaire syrienne de la CIA, Bassma Kodmani. Ils expliquent ensemble aux participants tout l’intérêt pour l’Occident de renverser la République arabe syrienne et de placer les Frères musulmans au pouvoir. Ayant adopté le double langage de la Confrérie, il écrit en 2011 une tribune dans le New York Times pour se moquer du président Assad qui croit discerner un « complot » contre son pays [6]. En octobre de la même année, il participe à une réunion du patronat turc organisée par l’agence privée de renseignement US, Stratfor. Il présente à ses interlocuteurs les ressources pétrolières et gazières qu’ils pourront voler en Syrie [7].
 
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Clemens von Goetze (directeur du 3e département du ministère allemand des Affaires étrangères) et Anwar Mohammad Gargash (ministre émirati des Affaires étrangères), lors de la réunion du Groupe de travail sur le dépeçage de l’économie syrienne à Abou Dhabi.
Élargissant ce travail, l’Allemagne organisa à Abou Dhabi une réunion des Amis de la Syrie sous la présidence d’un de ses diplomates, Clemens von Goetze. Celui-ci répartit entre les présents les futures concessions d’exploitation qui seraient attribuées aux vainqueurs lorsque l’Otan aurait renversé la République arabe syrienne [8].

À la mi-2012, Volker Perthes est chargé par le département US de la Défense de préparer « Le Jour d’après » (c’est-à-dire le gouvernement qui sera imposé à la Syrie). Il organise des réunions au ministère des Affaires étrangères avec la participation de 45 personnalités syriennes, dont son amie Bassma Kodmani et le Frère Radwan Ziadeh, venu spécialement de Washington [9]. En définitive, Perthes devient un des conseiller de Jeffrey Feltman aux Nations unies. Il participe à ce titre à toutes les négociations de Genève.

Les positions du ministère allemand des Affaires étrangères sont reprises mot pour mot par le Service européen pour l’action extérieure (SEAE) de Federica Mogherini. Cette administration, dirigée par un haut-fonctionnaire français, rédige des notes confidentielles sur la Syrie pour les chefs d’État et de gouvernement de l’Union.

En 2015, la chancelière Angela Merkel et le président turc, Recep Tayyip Erdoğan, devenu protecteur mondial des Frères musulmans, organisent le transfert de plus d’un million de personnes vers l’Allemagne [10], conformément à la demande du patronat industriel allemand. Nombre de ces migrants sont des Syriens dont l’AKP ne veut plus chez elle et dont l’Allemagne souhaite éviter le retour dans leur pays.
 
[1] La CIA d’Alan Dulles plaça d’anciens responsables nazis comme superviseurs de presque tous les services secrets des États alliés, sur les cinq continents. Ce système fut démantelé dans les années 70, après les révélations des commissions du Congrès Church et Pike. Tous les responsables nazis furent chassés par le président Carter et l’amiral Stanfield Turner, à la fin des années 70. Les Européens croient à tort que la CIA recourut à des nazis exclusivement en Amérique latine (par exemple Klaus Barbie en Bolivie). Mais ce système était généralisé, y compris en Europe (opération Gladio). Selon toute vraisemblance, le placement de ces « experts » nazis était coordonné depuis l’Allemagne par Reinhard Gehlen, que la CIA nomma premier chef du Bundesnachrichtendienst (BND).
[2] A Mosque in Munich, Ian Johnson, Houghton Mifflin Harcourt, 2011.
[3] Alois Brunner est considéré comme responsable de la déportation et de l’assassinat de 130 000 personnes, en Autriche, en Grèce, en France, en Allemagne et en Slovaquie. Il a été condamné par contumace à la réclusion à perpétuité, en France en 2001, pour sa responsabilité dans la mort des enfants d’Izieu.
[8] « Les « Amis de la Syrie » se partagent l’économie syrienne avant de l’avoir conquise », par German Foreign Policy, Horizons et débats (Suisse) , Réseau Voltaire, 14 juin 2012.
[9] The Day After Project, August 2012. The Day After. Supporting a Democratic Transition in Syria, United States Institute of Peace & Stiftung Wissenschaft und Politik, August 2012.
[10] La Turquie a pris la succession de l’Arabie Saoudite après que celle-ci ait laissé tomber la Confrérie, suite au discours de Donald Trump à Riyad, le 21 mai 2017.
source:http://www.voltairenet.org/article201540.html
 
Victoire de la Syrie face aux longues tentatives occidentales de déstabilisation de ce pays.

Décidément, la censure sur youtube bas son plein !
Ceci dit, de retour de Syrie: je partage ici une lettre témoignage de DD à ses amis (17 mai 2023) :

Je me suis rendu en Syrie du 27 avril au 4 mai dernier avec un petit groupe militant contre l’embargo imposé par les USA à ce pays, embargo qui frappe principalement les populations civiles depuis douze ans. Rappelons qu’une partie de ces populations a été durement touchée par un tremblement de terre dans un passé très récent et rappelons aussi que ces sanctions US unilatérales et anti-syriennes viennent tout juste d’être prolongées pour un an par l’administration Biden.

Ayant une confiance très limitée dans nos médias mainstream pour traiter objectivement d’un sujet concernant le Proche Orient, l’État d’Israël et les États-Unis, je tenais à me rendre compte par moi-même des dommages causées par cette stratégie des sanctions. Celle ci est utilisée sans modération par les USA et leurs vassaux européens, agissant souvent en «proxies» d’Israël, contre tous les États refusant de se soumettre aux volontés et à l’hégémonie de l’occident global.

Ce type de stratégie consiste en une véritable prise en otage des populations civiles auxquelles on applique la sanction collective dite «de l’embargo» qui va les faire souffrir autant qu’il est possible, pour les punir de s’être choisi un dirigeant qui refuse de servir les intérêts occidentaux, c’est à dire du «camp du bien» auto-proclamé.

Ces sanctions, de nature économique, peuvent être redoutablement efficaces et provoquer indirectement la mort de dizaines, voire de centaines de milliers de civils dans une relative discrétion. Elles peuvent parfois s’avérer plus meurtrières, sur la durée, qu’une guerre ouverte de haute intensité… (souvenons nous des deux croisades «anti-Saddam Hussein» conduites par les USA en Irak, sous des prétextes mensongers).

S’agissant de la Syrie, ces sanctions ont été adoptées à la suite d’une tentative de révolution colorée ratée, organisée en mars 2011 par une « coalition occidentale » (US-UK-FR + UE-OTAN) au profit et à l’instigation d’Israël, avec sa participation active, dans le but de renverser Bachar el Assad, de faire cesser le soutien syrien à la cause palestinienne, de démembrer le pays, à l’image de l’ex-Yougoslavie, de remodeler les frontières de la Syrie, d’en annexer une partie, de créer un Kurdistan allié d’Israël, pour faire obstacle à l’émergence d’un «croissant chiite» perçu, à tort ou à raison, comme une menace existentielle, et de mettre des dirigeants plus complaisants que Bachar el Assad aux frontières de l’État Hébreu. Rappelons nous les propos sans ambiguïté de Roland Dumas, dix ans ministre des affaires étrangères de François Mitterrand:


 
La première bonne nouvelle pour la Syrie de Bachar el Assad a été le soutien militaire apporté par la Russie de Poutine en Septembre 2015, à la demande du seul gouvernement légal reconnu par l’ONU. Par ce soutien, la Russie a mis en échec les actions malfaisantes inspirées par Israël à ses proxies anglo-saxons et français, et a fait reculer les terroristes islamistes instrumentalisés, soutenus et armés par les occidentaux.

Jusqu’au-boutiste dans ses objectifs, Israël poursuit aujourd’hui, en mai 2023, les bombardements réguliers sur le territoire de son voisin syrien, alors que cet État ne l’agresse pas. Ces bombardements se font dans l’indifférence totale de l’ONU, des médias et des gouvernements occidentaux qui construisent sans cesse des narratifs visant à noircir l’image de Bachar el Assad.

Certains de ces narratifs vont jusqu’à qualifier Bachar el Assad de « Boucher de Damas » alors même qu’il dispose du soutien de l’écrasante majorité de son peuple, sans lequel il aurait perdu le pouvoir depuis longtemps.

J’ai pu constater, lors de mon séjour en Syrie, l’extraordinaire résilience du peuple syrien qui s’oppose depuis 12 ans, avec succès, aux visées géopolitiques et machiavéliques de l’État hébreu et de ses proxies anglo-saxons et terroristes islamistes.

J’ai pu aussi constater la folie jusqu’au-boutiste israélienne qui va jusqu’à bombarder l’aéroport d’Alep quelques jours après le tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie, alors même que l’aide humanitaire russe et celle des pays arabes y sont acheminées, au profit des populations civiles les plus touchées.

La vérité, c’est que, s’agissant du Proche et Moyen Orient les bouchers se trouvent à Tel Aviv, à Washington et à Londres.
Ce sont bien ces pays qui ont semé le chaos et provoqué, directement ou indirectement, la mort de millions d’êtres humains au Proche et Moyen Orient depuis l’effondrement de l’Union soviétique en se justifiant toujours par des narratifs et des prétextes mensongers. (armes de destruction massive qui n’existaient pas ou lutte contre un terrorisme qu’on instrumentalise en sous main).

Les bonnes nouvelles de 2022-2023, pour la Syrie découlent des conséquences de l’opération militaire spéciale russe en Ukraine.

Incontestablement, les russes ont changé la donne de la géopolitique mondiale en refusant l’extension à l’Est de l’OTAN et l’arrivée à leurs frontières de bases militaires hostiles, comme l’avait fait Kennedy, pour son pays, lors de la crise des missiles de Cuba en 1962.

Avec habileté, la Russie s’est posée en championne de la multipolarité et en opposition à l’hégémonie occidentale jugée tyrannique par de très nombreux pays.

Elle a aussi fait apparaître la faiblesse militaire des pays membres de l’OTAN qui refusent de s’engager militairement contre la Russie (et peut être la Chine) faute de disposer de moyens suffisants pour le faire et pour gagner, et faute de pouvoir rassembler et unir les populations et opinions occidentales sur un objectif russophobe (et sinophobe) qui est loin de faire l’unanimité.

Elle a également fait apparaître grâce aux sanctions boomerang prises par les pays membres de l’OTAN eux mêmes, les vulnérabilités économiques et financières d’un occident accroc à la dette et à la consommation d’une énergie jusqu’alors bon marché.
 
Dans ce nouveau contexte créé par l’opération russe, de nombreux pays changent de camp. Depuis plus d’un an, la diplomatie occidentale enregistre échec sur échec face aux diplomaties russe et chinoise.

Le nombre de demandes d’adhésion aux BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) et à l’OCS (Organisation de Coopération de Shangaï) explose, ce qui est le signe d’un soutien croissant au camp de la multipolarité et d’un refus de l’hégémonisme des USA et de l’OTAN.

L’Afrique rejette toujours plus l’occident, ses diktats, ses valeurs et ses modes d’action jugés néocoloniaux, et, en particulier, ceux de la France. Elle bascule dans les camps russe et chinois.

Au grand dam des USA (et d’Israël), et sous l’égide de la Chine, l’Iran et l’Arabie Saoudite se sont réconciliés en mars dernier, sept ans après la rupture des relations diplomatiques.

Le président iranien Ebrahim Raïssi s’est rendu en visite officielle le 3 mai dernier à Damas pour y signer d’importants accords économiques et politiques.

La Ligue Arabe (22 états) a voté à l’unanimité la réintégration de la Syrie, exclue en 2011 sous la pression US-Israël. C’est un succès pour la diplomatie russe et une victoire éclatante de Bachar El Assad, qui reviendra donc auréolé de sa résistance à l’occident. Pas un seul État arabe, sur 22, ne s’est soumis aux pressions US-Israël et a voté contre la réintégration. Les ambassades arabes ré-ouvrent les unes après les autres à Damas.

L’unité du monde arabe, cauchemar d’Israël et des USA est en cours de reconstruction avec l’appui de la Russie et de la Chine.

La Turquie, la Syrie et l’Iran se parlent désormais régulièrement, sous l’égide de la Russie, pour mettre un terme à la crise syrienne et à leurs différents.

En Turquie, le candidat d’alternance à Erdogan, Kemal Kiliçdaroglu, soutenu financièrement et politiquement, en coulisse, par l’occident, ne paraît pas en situation d’emporter l’élection présidentielle au second tour du 28 mai prochain. D’autant que le parti d’Erdogan dispose d’ores et déjà de la majorité absolue au parlement turc, suite aux élection du 14 mai. Les médias occidentaux hurleront à la fraude électorale le 28 mai prochain, comme ils le font à chaque fois que les résultats ne correspondent pas à leurs attentes (Syrie, Iran, Russie, Vénézuela…), mais le président Erdogan saura se souvenir de cet épisode, et de l’ingérence occidentale dans cette élection de 2023, comme de la tentative de coup d’État de 2016 concoctée par son bon allié US. Il rapprochera toujours plus son pays, comme il le fait déjà, de la Russie et de la Chine, des BRICS et de l’OCS : en clair, du camp de la multipolarité.

Toutes ces bonnes nouvelles pour la Syrie, sont autant de mauvaises nouvelles pour Israël et ses proxies anglo-saxons toujours plongés dans des difficultés économiques, financières et sociales qui ne sont pas prêtes de s’arranger.

S’agissant d’Israël, la très controversée loi sur la Justice affaiblit la cohésion du pays. Les déclarations insensées d’un ministre israélien suprémaciste en charge des finances et des territoires occupés clamant, en France, et à qui veut l’entendre, que le peuple palestinien n’existe pas, et développant son propos devant une carte du «grand Israël», ne vont pas arranger les affaires de la Région. Il est clair que ce type de provocations haineuses ne peut qu’engendrer, en retour, de la colère, de la haine et de la violence, pouvant aller jusqu’au terrorisme, chez les personnes offensées, humiliées et/ou soumises par la contrainte « armée » depuis 1947.
 
A ceux qui s’interrogent sur les motivations du gendarme tunisien, auteur de l’attaque contre la synagogue de la Ghriba à Djerba le 11 mai dernier, il y a peut être une piste à creuser … Le comportement des dirigeants de l’état hébreu que ce soit lorsqu’ils bombardent ALEP quelques jours après le tremblement de terre ou lorsqu’ils envoient un ministre en charge des territoires occupés, à Paris, pour cracher sa haine des palestiniens, ne peut laisser les masses arabes indifférentes. On peut regretter, bien sûr, que la LICRA et SOS Racisme, mais aussi le gouvernement français dans son ensemble, soient restés étonnamment discrets sur ce triste épisode de haine raciale du ministre israélien, clairement exposé à la face du monde le 19 mars 2023.


Ma conclusion sera optimiste pour la Syrie.

Grâce à la résilience et à la cohésion de sa population, pourtant multiconfessionnelle, grâce à la détermination de son Président qui a su rester laïc dans sa gouvernance, et ferme face aux agresseurs israéliens, us-otaniens et terroristes islamistes; grâce à l’appui de la Russie qui est intervenue à la demande des autorités légales de l’État, la Syrie a pu résister pendant douze ans aux assauts coordonnés et prémédités de l’OTAN, d’Israël et des terroristes islamistes, instrumentalisés par l’occident pour créer le chaos et remodeler un nouveau Proche Orient conforme aux intérêts et aux souhaits de l’état hébreu.

La préméditation de l’agression anglo-saxonne a été clairement établie par la divulgation des «Wikileaks files», c’est à dire les fuites sur les correspondances diplomatiques entre les représentants US en Syrie et le département d’État états-unien depuis le début des années 2000 .

La collusion entre Israël et les USA a été, elle aussi, établie par une déclaration sans ambiguïté de Biden lui même, le 13 juillet 2022 à Tel Aviv:

Cette collusion a été clairement confirmée par les plus connus des géopoliticiens US, Mearsheimer et Walt, dans l’excellente analyse publiée sous le titre: Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine.

Cette collusion apparaît clairement dans le simple constat que les personnes en charge de la politique étrangère et de la politique des sanctions économiques US ont figuré sur la liste des nominés au palmarès mondial de l’influence du Jerusalem Post (Blinken, Sherman, Janet Yellen …)

La bonne nouvelle pour la Syrie, c’est l’émergence en cours d’un monde multipolaire qui remet en cause l’hégémonie sans partage US-OTAN des trois dernières décennies et l’influence des néoconservateurs mondialistes (et sionistes). La Syrie pourra désormais compter sur l’aide de la Russie, des pays du Golfe (dont l’Iran) et de la Chine pour sa reconstruction et sa défense.

Israël assiste aujourd’hui, impuissant, au déclin de son principal allié et de ses soutiens néoconservateurs et mondialistes US, et à la recomposition des équilibres géopolitiques et géo-économiques mondiaux qui ne se fera pas en sa faveur. N’en déplaise à l’État d’Israël qui a raté son coup en Syrie, grâce ou à cause de la Russie, le vrai «Printemps syrien» va pouvoir commencer, sous la gouvernance de… Bachar el Assad !

 

ElviraPacino

Free🇵🇸🇲🇦, Vive🇮🇷 & GoPoutine 🇷🇺
VIB
Bladinaute averti
Le héros syrien Basard Al Assad à Djeddah, les euro terroristes en peline rage et plein de haine
Ce sion perfide ne cache même pas sa haine


Bashar victorieux mais j'espère qu'il restera sur ses gardes, les euro terroristes sionistes sont déjà en train de réfléchir à d'autres plans pour détruire les pays non alignés


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mielle

Tamaghrabit ô bekhire 3liya
VIB
Salam

Comment les pro Poutine vont ils analyser l'invitation faites par MBS à Zelensky lors du sommet Arabe... Hates de lire vos réponses :D

Lien AFP

 
Salam

Comment les pro Poutine vont ils analyser l'invitation faites par MBS à Zelensky lors du sommet Arabe... Hates de lire vos réponses :D

Lien AFP

Face à la fureur des occidentaux quant au retour d’ASSAD, ils prirent la décision d’y inviter un contrepoids.
C’est ainsi que les médias arabes l’ont rapporté. L’opinion publique est dans sa majorité pro russe. La séquence Zelensky est comprise comme un “gentil” interlude qui ne prête pas à conséquence.
 
Le héros syrien Basard Al Assad à Djeddah, les euro terroristes en peline rage et plein de haine
Ce sion perfide ne cache même pas sa haine


Bashar victorieux mais j'espère qu'il restera sur ses gardes, les euro terroristes sionistes sont déjà en train de réfléchir à d'autres plans pour détruire les pays non alignés


Regarde la pièce jointe 356801
Regarde la pièce jointe 356802
Bachar al-Assad mérite toute notre admiration pour avoir suvécu aux années de persécution infligées à la Syrie et n’avoir pas plié devant “l’ennemi”. Lui qui n’était même pas prévu pour gouverner son pays et avait choisi la médecine a su faire face avec dignitö à son destin. Vive la Syrie et vive Bachar al-Assad!!!!!
Mais pourquoi tu nous a infligé ce reportage de vomis de haine d'Israel de France 24 ?
 

Par où une personne peut-elle commencer son discours alors que les dangers ne sont plus imminents mais se sont concrétisés ? Elle commence par l’espoir qui pousse à accomplir et à agir. Et quand les maux s’accumulent, le médecin peut les traiter individuellement, à condition qu’il traite la maladie essentielle sous-jacente.

Nous devons donc examiner les grandes raisons qui menacent notre avenir et engendrent nos crises, afin de ne pas nous noyer et noyer les générations futures en traitant les effets et non les causes.

Or, les menaces comportent aussi bien des risques que des opportunités. Et aujourd’hui, nous nous trouvons devant l’opportunité d’un changement de la situation internationale qui se manifeste par un monde multipolaire, en réaction à l’hégémonie de l’Occident dépourvu de principes, de morale, d’amis et de partenaires.

C’est une opportunité historique pour réorganiser nos affaires avec une moindre ingérence étrangère. Ce qui exige notre repositionnement dans ce monde en cours de formation, afin d’en prendre une part active en investissant dans les circonstances positives nées des réconciliations ayant précédé ce sommet jusqu’à aujourd’hui.

C’est aussi une opportunité pour consolider notre culture face au délitement à venir avec le libéralisme moderne qui cible les affiliations instinctives de l’être humain et le dépouille de sa morale et de son identité, et aussi de définir notre identité arabe dans sa dimension civilisationnelle alors qu’elle est faussement accusée de discriminations et de chauvinisme dans le but de la mettre en conflit avec les composantes naturelles, nationales, ethniques et religieuses, afin qu’elle meurt et que meurent avec elle nos sociétés dans leur lutte contre elles-mêmes et non contre autrui.

Les raisons sont nombreuses, les mots ne peuvent les cerner et les sommets ne peuvent y suffire. Elles ne commencent ni par les crimes de l’entité sioniste, rejetée par les Arabes, contre le peuple palestinien résistant, ni ne se terminent par le danger de la pensée expansionniste ottomane imprégnée de la saveur d’une « fraternité » déviante, et sont indissociables du défi posé par le développement qui est une priorité absolue pour nos sociétés.

D’où le rôle de la Ligue des États arabes en tant que plate-forme naturelle pour discuter des diverses questions et les traiter, à condition d’améliorer son travail via la révision de la Charte et du règlement intérieur et de faire évoluer ses organismes pour suivre le rythme de ce siècle.

Le travail arabe commun a besoin de visions, de stratégies et d’objectifs communs que nous transformerons ultérieurement en plans opérationnels, tout comme il a besoin d’une politique unifiée, de principes fermes, de mécanismes et de contrôles transparents. Dès lors nous passerons de la réaction aux événements à leur anticipation et la Ligue sera le respirateur en cas de siège et non son partenaire, le refuge contre l’agression et non sa plate-forme.

Quant à ce qui nous préoccupe quotidiennement, de la Libye à la Syrie en passant par le Yémen et le Soudan, plus nombre d’autres problèmes dans différentes régions, nous ne pouvons traiter les maladies en traitant les symptômes. Tous ces problèmes sont la conséquence de raisons supérieures non traitées auparavant. Parler de certains d’entre eux nécessite le traitement des fissures, qui se sont produites sur la scène arabe au cours de la dernière décennie, et la restauration du rôle de la Ligue en tant que baume sur les plaies et non en tant que facteur aggravant.

Le plus important est de laisser les problèmes internes à leur peuple, car ils sont capables de gérer leurs affaires, et nous n’avons qu’à empêcher les ingérences extérieures dans leurs pays et les aider exclusivement sur demande.

Concernant la Syrie, son arabité est son passé, son présent et son avenir. Mais c’est une arabité de l’appartenance, non l’arabité des girons. Les girons sont éphémères, mais l’appartenance est permanente. Une personne peut passer d’un giron à un autre pour une raison quelconque, mais elle ne change pas d’appartenance. Celui qui change (son appartenance) en est fondamentalement dépourvu. Celui qui loge dans le cœur ne se confine pas dans un giron. Et la Syrie est le cœur de l’arabité et en son cœur.

Pendant que nous tenons ce sommet dans un monde agité, l’espoir renaît à l’ombre du rapprochement arabo-arabe, arabo-régional et international ; lequel espoir est consacré par ce sommet. J’espère qu’il marquera le début d’une nouvelle étape du travail arabe pour la solidarité entre nous, la paix dans notre région, le développement et la prospérité au lieu de la guerre et de la destruction.



Dr. Bachar al-Assad
 
🇸🇾 Les États-Unis ont envoyé d'importantes forces militaires sur le champ pétrolifère de Conico

Les États-Unis ont pris des mesures militaires offensives pour occuper les territoires des villages voisins devant les champs pétrolifères syriens.
 

Pièces jointes

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Ce livre a été réalisé sous la direction de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France dans 3 pays africains pour une durée cumulée de plus de dix ans. Michel Raimbaud a également été directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) Depuis 2006, il a été conférencier et enseigne également au Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques (CEDS).


«S’il y a un Sujet de nature à se prêter à un ouvrage collectif, c’est bien la guerre de Syrie : une guerre globale d’agression, qui s’inscrit dans le plan mis en œuvre par l’Empire américain depuis 1991 pour asseoir sa domination sur le monde, alors qu’elle est en général présentée, en Occident, comme un combat spontané pour la démocratie ou une guerre civile. C’est depuis plus de douze ans une guerre de l’image et de la communication, un épisode qui aura été décisif dans l’affrontement géopolitique en cours entre l’Occident et l’Eurasie».


Cet ouvrage regroupe les contributions de : Souraya Assi, Gérard Bapt, Ahmed Bensaada, Jacques Cheminade et Odile Mojon-Cheminade, Alain Corvez, Général Elias Farhat, Bruno Guigue, Fayçal Jalloul, Sonia Khanji-Cachecho, Nadia Khost, Akil Said Mahfoud, René Naba, Majed Nehmé, Michel Raimbaud, Leslie Varenne, Roula Zein.


2. Adnan Azzam, président du mouvement International pour la Souveraineté des peuples, organise un voyage d’une semaine en Syrie, son pays d’origine : départ le 30 Septembre prochain.


Ce même voyage a été organisé plusieurs dizaines de fois. Il est donc bien rôdé. C’est un voyage de découverte du pays mais aussi de rencontre, de soutien et d’amitié avec le peuple syrien qui souffre toujours des embargos imposés par les gouvernances des pays du «camp du bien». J’ai effectué ce voyage en Avril-Mai dernier. Je n’en ai pas été déçu.




 

Chriski

Faite l’humour , pas la guerre.
VIB
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Ce livre a été réalisé sous la direction de Michel Raimbaud, ancien ambassadeur de France dans 3 pays africains pour une durée cumulée de plus de dix ans. Michel Raimbaud a également été directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) Depuis 2006, il a été conférencier et enseigne également au Centre d’Études Diplomatiques et Stratégiques (CEDS).


«S’il y a un Sujet de nature à se prêter à un ouvrage collectif, c’est bien la guerre de Syrie : une guerre globale d’agression, qui s’inscrit dans le plan mis en œuvre par l’Empire américain depuis 1991 pour asseoir sa domination sur le monde, alors qu’elle est en général présentée, en Occident, comme un combat spontané pour la démocratie ou une guerre civile. C’est depuis plus de douze ans une guerre de l’image et de la communication, un épisode qui aura été décisif dans l’affrontement géopolitique en cours entre l’Occident et l’Eurasie».


Cet ouvrage regroupe les contributions de : Souraya Assi, Gérard Bapt, Ahmed Bensaada, Jacques Cheminade et Odile Mojon-Cheminade, Alain Corvez, Général Elias Farhat, Bruno Guigue, Fayçal Jalloul, Sonia Khanji-Cachecho, Nadia Khost, Akil Said Mahfoud, René Naba, Majed Nehmé, Michel Raimbaud, Leslie Varenne, Roula Zein.


2. Adnan Azzam, président du mouvement International pour la Souveraineté des peuples, organise un voyage d’une semaine en Syrie, son pays d’origine : départ le 30 Septembre prochain.


Ce même voyage a été organisé plusieurs dizaines de fois. Il est donc bien rôdé. C’est un voyage de découverte du pays mais aussi de rencontre, de soutien et d’amitié avec le peuple syrien qui souffre toujours des embargos imposés par les gouvernances des pays du «camp du bien». J’ai effectué ce voyage en Avril-Mai dernier. Je n’en ai pas été déçu.




 
Le va t-en guerre du monde américano-sioniste n’est pas à démontrer ! Cette agressivité envers les peuples du monde entier est institutionnelle , elle s’inscrit sans aucun doute dans la rhétorique du Nazisme , “Peuple élu” , “Satanisme” etc … des philosophies sélectives au profit du fameux “Milliard d’or”




 
Que font les américains en Syrie ?



Toujours aussi incompréhensible, les US prétendent être là pour lutter contre Daesh. ..mais ça ne tient pas debout !

Depuis le temps qu’ils occupent ces territoires illégalement, si Daesh était en capacité de nuisance, ils ne seraient toujours pas capable de les détruire?

SI Daesh n’y est plus ou même absent, leur justification ne tient pas non plus.


Comment se fait il qu’on les laisse piller un pays comme ça?


Moi qui ne suis pas pour l’option radicale russe en Ukraine compte tenu des risques, je ne vois pas pourquoi ils ne mettent pas dehors ces pillards, car les us n’ont pas de moyens réel de riposte…y a t il un deal Russie /US à ce sujet…si vous intervenez trop directement en Ukraine on vous balaye en Syrie ?
 
Les démons yankees ne s’arrêteront jamais. Mais en face, aujourd’hui ils trouveront une Russie et un Iran plus forts et ne l’oublions pas, la Chine. A l’inverse du printemps arabe, organisé par les yankees, la situation au Moyen Orient est en train de basculer contre eux et contre les Israéliens.
Alors, peut être devraient-ils y réfléchir à deux fois !

 
En 2007 ou 2008, je lis le Monde Diplomatique. Je ne sais comment ce journal arrive à analyser des évènements des années avant que les medias commencent seulement à en parler brièvement et d'une manière artficielle, et bien sûr le part pris qui va avec.
Toujours est il que je prenais mon café et que failli avaler de travers quand j'arrive aux deux tiers de l'article.
Le Monde Diplo nous annonce rien de moins que suite à la défaite de l'etat d'apartheid israelien par le Hezbollah, les stratèges israeliens, avec la complicite de la France et des Anglosaxons, allait sous traiter le combat contre le Hezbollah qui a chassé l'occupant en 2006, via les terroristes de Al Qaeda pour laver l'humiliation de la défaite israelienne.
Malgré que je savais le sérieux du travail d'investigation du Monde Diplo, j'ai encore relu lentement chaque phrase tellement ces faits étaient choquants. Avec le recul on constate en effet que la Syrie a été renvoyer un siècle en arrière avec les destructions de Daesh, et de l'Otan réunis. Et qu'Israel qui tire sur les secouristes, infirmièr(es), médecins, ambulances en Palestine..se met à soigner les terroristes de Al Nosra...branche de Daesh en Israel à la grande colère des Druzes qui ont lynché des blessés de Al Nosra qui arrivaient en Israel.
Donc le travail de sous traitance de la ruine de la Syrie est accompli.
Après avoir désigné aux Américains la cible de l'Irak qui a connu son génocide par les USA , Israel a ciblé la Syrie pour les agressions via Daesh et l'Otan, et ensuite a désigné la Lybie, pays riche désormaus ruiné, balkanisé, rayé de la carte, comme l'Irak, la Syrie, où des générations sont sacrifiées. Rien que l'embargo imposé par les USA a tué des centaines de milliers d'enfants en Irak en plus des bombes US et de l'arrivée de Daesh qui a profité du chaos.

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La livraison d'armes aux djihadistes par les gouvernements occidentaux, qu'est ce que cela t'inspire?
L'ingérence des gouvernements occidentaux, qu'est ce que cela t'inspire?
Les sanctions économiques occidentales sur la Syrie qui ont entrainé une baisse forte de valeur de la monnaie syrienne, qu'est ce
que cela t'inspire?
Les civils qui n'ont plus accès à certains aliments faute de moyens, qu'est ce que cela t'inspire?

On attend la réponse de "l'expert" biberonné aux chaines de propagande en continu.
Voilà. Le même scénario génocidaire qui a été appliqué à l'Irak.
Pour les intérêts israéliens. Car la destruction des pays arabes a son origine d'un plan des néo conservateurs US et d'Israel.
En bref il s'agit d'oublier toute négociation de paix contre les territoires occupés de Palestine, du Liban, du Golan syrien et qui vise à démanteler et balkaniser les pays arabes.
Il s'agit du projet CLEAN BREAK.
Qui consiste à réaliser une rupture totale avec le moindre plan de paix mais d'amener la ruine chez les voisins pour qu'ils ne s'occupent plus que du chaos installé et voulu par ces néo **** US au service de l'occupant adepte de l'appartheid.
Et les plans ont marché encore mieux qu'espéré puisque même la Lybie est ruinée et balkanisée.
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ElviraPacino

Free🇵🇸🇲🇦, Vive🇮🇷 & GoPoutine 🇷🇺
VIB
Bladinaute averti
L'iran et la Turquie ont contribués à la chute de la Syrie... Les arabes ont toujours été leurs ennemis communs...
L'Iran allié de la Syrie ont fait tombé la Syrie ?.?

Mais quel abruti

C'est plutot tes monarchies de traitres wahabites qui ont aidé à formé daesh qui ont détruit la Syrie comme il l'ont fait pour la Lybie

Sion en action tfou
 
Cela devrait te parler la Syrie ravagée par les larbins islamistes...doit on te rappeler la guerre civile à cause de ces terroristes en Algérie ?


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les memes oeuvrent en Lybie , le GSPC Groupe salafiste pour la predication et le salut qui a fait la decennie noire en Algerie est le meme qui a attaqué Khadaffi avec l' aide de l' Otan de la france de l' angleterre et des Usa et sous les moqueries d' Israel , le meme qui a attaqué le Mali le Burkina faso , le Niger en s' appuyant au Mali sur les pauvres touaregs qui meritent leur independance
 

ElviraPacino

Free🇵🇸🇲🇦, Vive🇮🇷 & GoPoutine 🇷🇺
VIB
Bladinaute averti
En 2007 ou 2008, je lis le Monde Diplomatique. Je ne sais comment ce journal arrive à analyser des évènements des années avant que les medias commencent seulement à en parler brièvement et d'une manière artficielle, et bien sûr le part pris qui va avec.
Toujours est il que je prenais mon café et que failli avaler de travers quand j'arrive aux deux tiers de l'article.
Le Monde Diplo nous annonce rien de moins que suite à la défaite de l'etat d'apartheid israelien par le Hezbollah, les stratèges israeliens, avec la complicite de la France et des Anglosaxons, allait sous traiter le combat contre le Hezbollah qui a chassé l'occupant en 2006, via les terroristes de Al Qaeda pour laver l'humiliation de la défaite israelienne.
Malgré que je savais le sérieux du travail d'investigation du Monde Diplo, j'ai encore relu lentement chaque phrase tellement ces faits étaient choquants. Avec le recul on constate en effet que la Syrie a été renvoyer un siècle en arrière avec les destructions de Daesh, et de l'Otan réunis. Et qu'Israel qui tire sur les secouristes, infirmièr(es), médecins, ambulances en Palestine..se met à soigner les terroristes de Al Nosra...branche de Daesh en Israel à la grande colère des Druzes qui ont lynché des blessés de Al Nosra qui arrivaient en Israel.
Donc le travail de sous traitance de la ruine de la Syrie est accompli.
Après avoir désigné aux Américains la cible de l'Irak qui a connu son génocide par les USA , Israel a ciblé la Syrie pour les agressions via Daesh et l'Otan, et ensuite a désigné la Lybie, pays riche désormaus ruiné, balkanisé, rayé de la carte, comme l'Irak, la Syrie, où des générations sont sacrifiées. Rien que l'embargo imposé par les USA a tué des centaines de milliers d'enfants en Irak en plus des bombes US et de l'arrivée de Daesh qui a profité du chaos.

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Tu oublis souvent dans l'équation la complicité des monarchies arabes, qui ne veulent pas voir émerger au moyen orient des pays arabes avec un autre modèle que le wahabisme comme base.

En Irak, en Syrie et en Libye les femmes étudiaient et faisaient des études brillantes, c'étaient des pays laïcs avec une population éduqué et insttruite. Pour les monarchies du golf c'était un risque trop gros de laisser ces pays se développer et que leur propre peuple sous dicature voient qu il y a d'aures modèles arabes performants et qui accordent plus de liberté individuelle à la population. d'autant plus que ces pays avaient une composante chrétienne, assyrienne ou druze.
Dans ces monarchies ne voyaient les femmes que comme des pondeuse sous burka, la mentalité n'a rien à voir avec les syriens, irakiens ou libanais qui les dépasse intellectuellement.

L'occident terroriste est ce qu'il est, c'est une civilisation prédatrice fouteuse de mer.de mais les arabes qui ont participé au massacre de millions de musulmans et de chrétiens pour garder leur trone et le pouvoir sont les pires ordures dans cette histoire. Les monarchies arabo maghrébine qui se soumettent sont les pires.

Il sera très compliqué de résoudre les problèmes des pays arabo maghrébin tant que ces monarchies se maintiendront au pouvoir.
 
Dernière édition:
Tu oublis souvent dans l'équation la complicité des monarchies arabes, qui ne veulent pas voir émerger au moyen orient des pays arabes avec un autre modèle que le wahabisme comme base.

En Irak, en Syrie et en Libye les femmes étudiaient et faisaient des études brillantes, c'étaient des pays laïcs avec une population éduqué et insttruite. Pour les monarchies du golf c'était un risque trop gros de laisser ces pays se développer et que leur propre peuple sous dicature voient qu il y a d'aures modèles arabes performants et qui accordent plus de liberté individuelle à la population. d'autant plus que ces pays avaient une composante chrétienne, assyrienne ou druze.

L'occident terroriste est ce qu'il est, c'est une civilisation prédatrice fouteuse de mer.de mais les arabes qui ont participé au massacre de millions de musulmans et de chrétiens pour garder leur trone et le pouvoir sont les pires ordures dans cette histoire. Les monarchies arabo maghrébine qui se soumettent sont mes pires.

Il sera très compliqué de résoudre les problèmes des pays arabo maghrébin tant que ces monarchies se maintiendront au pouvoir.


En Iran 51% des universitaires sont des femmes quoi qu'en disent les puissances diaboliques comme les USA a la botte d'Israel qui voudraient transformer en ruines l'Iran aussi.


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