Ce ne sont pas des rebelles, ce sont des gens qui préservent leur langue natale. Ce n’est pas de la rébellion ça, c’est une pratique privée.
Le Tamazigh, il sert chez les Imazighen, autant que le Japonais sert au Japon.
Évidemment, il n’y a pas de raisons de lui donner une place importante dans l’enseignement scolaire, autre que en option non‑obligatoire pour les gens qui en feraient la demande, mais ça n’est pas une raison pour le ridiculiser ou le prendre de haut.
Quand je parle de rebelles c'était juste pour qualifier ces gens qui le revendique en expliquant entre autre qu'ils ont été victimes de la langue arabe. Ils n'ont à se "victimiser", car ainsi ils se ridiculisent eux-mêmes parce qu'ils ont pas su le défendre.
Le mettre en option serait une bonne initiative.