Cette histoire s'est passé un été alors que je revenais du bled pendant que se profilait devant moi le train train quotidiens metro-boulot-dodo
On était en Espagne et il faisait encore très chaud pour une journée de fin d'août...
On était 3 dans la voiture ,pas un mot...L'un se tordait pour essayer de trouver la position idéale pour dormir (c'est une légende ,cette position n'existe pas lol ), et le conducteur qui semblait réunir tous les efforts du monde pour garder les yeux ouverts ,qui se fermaient parfois un laps de temps faisant légèrement basculer la tête vers l'avant,avant de se reprendre. Il enclencha le clignotant droit .Devant nous un panneaux nous informait d'une air de repos à quelques centaines de mètres de la.
Une fois sur l'air de repos, on sortis de la voiture comme des morts vivants,avant de s'étirer. Le soleil tapait toujours .
On sortis du coffre le congelo et nous installèrent à une table en pierre. Je tournais la tête autour de moi en cherchant les WC pour la toilette...
-"o nan ******..." Je les avaient trouvés...Au loin labas ,ils se profilaient à moitié caché derrière un arbre géant et bizarrement personne si se n'est quelques corbeaux qui venaient becqueter dans une poubelle pleine à ras bords, avant de s'envoler.
-"****** c des toilettes turques obligé! " je connaissais la galère des toilettes turques (d'ailleurs vous la connaissez tous, pas besoin d approfondir la dessus).
De l'extérieur sa avait l'air tout crade :des murs en brique rouge (l'yajor surment) marié à des poutres en bois brut. Le toit était ,lui presque totalement masquée par le feuillage envahissant du grand arbre devant...
J'imaginais déjà le décor : des portes en bois à mis hauteur comme si j'allais rentrer dans un saloon,sauf que la les rôles étaient inversés...
Je continuais à avancer avec un air perplexe. Je jetais un oeil derrière et je constatais que l'un était retourner dormir dans la voiture tendis que l'autre s'étais littéralement effondré sur la table en pierre. Faut dire qu'on avait taper la route depuis le bateau non stop pendant presque 500km...
L'entrée principale des WC était béante de toute sa largeur et l obscurité qui y régnait était si profonde que je ne distinguais rien à l'intérieur,surment à cause du contraste de lumière avec l'extérieur...
Une grosse plaque en bois avec le singlet homme/femme n'était plus rattaché que par un coin,à l'entrée, au dessus de ma tête. La plaque pendouillait, menaçant de tomber à chaque instant...
"on s'est arrêté dans une air déserté quoi?" m'étais-je demandé...
Je mis le premier pied à l'intérieur des WC puis je continuai deux trois pas à tâtons .Mes yeux commençaient à s'habituer à l'obscurité.
Je remarquais alors un interrupteur que j'enclenchais et une lumière blanche envahis un espace immense devant moi! Tout brillait ,du carrelage au plafond en passant par les robinets d'or et d'argent soigneusement disposés sur les cotés aux centres de lavabo en marbres travaillé. C'était incroyable ! De l'extérieur sa paraissait si petit...
Encore plus incroyable, au fond un seul compartiment WC avec une porte en bois verni portant un double sigle "homme/femme" parfaitement sculptée. Cette air de repos était certainement en rénovation.Mais pas une poussière... Quelqu'un passerait-il faire régulièrement le ménage, du travail de maniaque!
je continuais jusqu'au fond et poussa la porte en bois qui émis un grincement sourd! Jentrais, et d'un clic je verrouillais la porte. Ici aussi tout était impeccable! C'était évidemment pas des toilettes turques. Un carrelage, imitation bois, recouvrait les murs avec, sa et la, des petits rond imitant les cicatrices des arbres après la coupe d une branche. La porte était nickel, pas un graffiti ou autre"Malek Avignon en force" .
...[/QUOmoi je conait kelkun de la famille éloigné a chak il se fait embété par des jins,il lui tire la couverture,il enten leau coulé kan il dort!il devné fou