je n'axais pas mon discours sur le paradoxe
je parlais de condition favorables a ne pas gâcher si on est pour une solution négociée
Je te l'ai déjà dit, tu la sous-estimes bien souvent.
La seule possibilité selon moi serait une rupture entre cisjordanie et gazah.
Seule possibilité pour sauver au moins les cisjordaniens...
Arafat avait compris mais trop tard la seule possibilité qui restait (par résignation). En s'y prenant plus tôt, le hamas n'aurait peut-être pas eu la force populaire nécessaire pour lui faire opposition.
Peut-être qu'Ariel Sharon aussi, aussi par résignation (face à la démographie galopante impossible à enrayer sans provoquer un isolement complet voire des réactions armées - l'envie étant là, mais comme un simple ancien rêve, et rien d'autres), il fonde le parti kadima, préférant alors un statut quo territoriale plutôt qu'autre chose...
Deux ennemis qui se calment à cause de la résignation, tous deux remplacés par leur propre aile dur (hamas et likoud).
Des accords infructueux parce qu'anciens ennemis, mais aussi parce qu'impossible à mener à terme sans que leurs camps les trahissent directement)
Leurs disparitions privent les deux populations de leaders à suivre, et permet à d'autres visages, plus durs (mais surtout moins francs) encore que les premiers, de venir à l'avant-plan, ce qui fait s'enliser grandement la situation...