Vaccin dt-polio : un scandale d'etat en france

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Ça reste un dilemme nous en avons conscience! Vacciner et risquer de grosses séquelles qu'elles soient immédiates ou qu'elles apparaissent 20 ans plus tard, ou ne pas vacciner et risquer de choper un jour ces maladie.
Ceci dit je comprends des parents qui arrêtent de vacciner leurs enfants après l'handicap de l'un d'eux suite à une injection, je pense qu'on peut tous le comprendre

La DT polio concerne quelque pays où les habitants consomment de l'eau insalubre.

Après le vaccin contre la grippe, la rougeole etcc Perso entre une grippe par an ou risquer de chopper la sclérose en plaque Allah yester meme 0,001% de chance mon choix est vite fait :eek:
 
A la limite le seul vaccin pour moi qui mérite réflexion mais qui présente d'énormes risque ( vacciné au collège, dans notre bahut un élève a fini en chaise roulante): c'est le vaccin contre l'hépatite B (très très contagieux, juste si tu bois dans un verre au restau qui a été mal lavé après une personne atteinte d'hépatite B tu peux le choper), et cette hépatite B peut devenir chronique et là généralement ça va jusqu'à la scyrose du foie Allah yester.
 
Je sais pas ils veulent aller où avec ces vaccination de masse, le fantasme d'une Terre aseptisée de toute maladie, mais la réalité c'est que les virus et bactéries font partie intégrante de notre environnement. L'éradication d'une souche de virus, ouvre la porte à l'apparition de nouvelles souches de virus et parfois même à des mutations de souches qui deviennent résistantes au vaccin et là il faut encore augmenter les doses, et cette nouvelle souche, notre système immunitaire ne pourrait peut etre rien contre. Vous imaginez la mutation de virus de la grippe ou bien de la rougeole se sont des maladies bénignes à la base ( sauf cas mortels de personnes déjà très affaiblis).


EDIT: a ben tenez : le H1N1 est une mutation du virus de la grippe. Merci la vaccination !

Pourquoi ne pas vacciner que les personnes faible et à risque si elles contractent la grippe, ils ont voulu faire une vaccination de masse -> mutation du virus -> H1N1 -> Roseline Cachalot commande pour plus d'1 milliard de vaccins H1N1 ...
 

Après les révélations de l’économiste Charles Sannat sur les opérations financières du leader des vaccins Sanofi (proche de Macron), d’autre révélations explosives :
Des nanoparticules toxiques dans les vaccins
Une étude publiée dans l’International Journal of Vaccines et portant sur 44 types de vaccins commercialisés en France et en Italie montre la « présence de contaminants particulaires à ce jour inexpliquée.»

Ce sont des particules qui ne sont ni biodégradables ni biocompatibles : tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain, baryum, vanadium, magnésium, souffre, silicium, calcium, sodium, manganèse…

On sait que ces métaux sont dangereux :

L’injection intramusculaire de microparticule de tungstène, cobalt et nickel chez des rats de laboratoires a rapidement causé l’apparition de cancers avec tumeurs métastatiques agressives. Les autres métaux ont une longue liste d’effets inquiétants.

Or on trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK).

« La présence de ces nanoparticules dans les vaccins permet d’étudier sous un angle nouveau les causes de certains effets secondaires.

Elle permet également une nouvelle approche quant aux accidents post-vaccinaux et certaines maladies qui en découlent, autisme, sclérose en plaque, désordres immunitaires, maladies neuro-dégénératives, voire mort subite du nourrisson… », explique F. Morin sur le site de la newsletter Morpheus.



Les vrais enjeux financiers autour des vaccins
Le journal Le Monde a marqué les esprits, et déclenché l’hilarité générale, en expliquant que la multiplication des vaccins obligatoires n’était « pas si juteuse que cela ». « Quelques millions de bénéfices seulement » pour l’industrie pharmaceutique, avançait le journaliste.

Un article du Dr Michel de Lorgeril, sur son site, révèle l’ampleur de la manipulation.

En réalité, les vaccins sont la pierre d’angle des profits de la future industrie pharmaceutique du 21e siècle. Ce ne sont pas des millions, ni même des milliards dont il est question mais des centaines de milliards.

En effet :

« Les vaccinologues modernes s’intéressent à toutes les pathologies : les cancers, les maladies cardiovasculaires et même… (certains en parlent) un vaccin anti-gluten… », explique le Dr Michel de Lorgeril.

« Certains labos travaillent, je ne plaisante pas, sur un vaccin anticholestérol ; qui serait en fait « dirigé » contre des molécules participant au métabolisme du cholestérol, et pas contre le cholestérol lui-même ; avec l’idée absurde de diminuer le cholestérol circulant aux plus bas niveaux possibles…

Des centaines de vaccins sont aujourd’hui en préparation ou en phase d’essai dans le monde !

Dans la vaccinologie moderne, le business est roi !

L’industrie du vaccin n’est donc qu’à ses balbutiements ; (…) Dans ce contexte, chacun peut comprendre que les vaccins anti-polio ou anti-coqueluche (efficacité supposée et toxicité niée) sont une sorte de petit caillou dans la chaussure de l’investisseur… Il s’en fout l’investisseur de la polio et du tétanos.

Mais il ne se fout pas du tout du principe vaccinal ; ça il faut le défendre ; car en défendant le vaccin, on défend aussi les anticorps monoclonaux ; et aussi la vision moderne de la médecine dite personnalisée. »

C’est la raison pour laquelle les enjeux de ce débat sont énormes.

Faire passer l’obligation des onze vaccins est capital pour l’industrie pharmaceutique.


En écrasant la résistance, en remportant définitivement la victoire légale et médiatique en faveur des vaccins, elle s’ouvre la voie vers le marché le plus juteux du millénaire !



Mensonges sur l’épidémie de rougeole
On dit qu’une image vaut mille mots.

Chacun a entendu le Premier ministre parler, avec des trémolos dans la voix, d’une épouvantable épidémie de rougeole qui sévirait actuellement en France, remplirait les cimetières et… justifierait de rendre obligatoire dare-dare le vaccin.

Or voici les chiffres des cas de rougeole relevés par l’Institut de Veille Sanitaire :
https://d3ejtx1n3mt032.cloudfront.net/external/img/cas-de-rougeole-graphique.png

Le pic date du début de l’année 2011. C’était il y a plus de six ans.

Depuis la courbe est plate, au plancher, même en plissant les yeux…

Parler d’une épidémie au présent de l’indicatif est un peu, comment dire… abusif, pour rester poli. Et pas très sérieux pour un Premier ministre qui vient d’arriver en poste.

JM Dupuis

mam
 
Obligation vaccinale : quand une illégalité chasse l’autre…

13 JUIL. 2017 PAR DELPHINE PROVENCE BLOG : LE BLOG DE DELPHINE PROVENCE

Le 8 février 2017, le Conseil d’Etat a jugé qu’il était illégal de contraindre des familles à accepter des vaccins obligatoires combinés avec d’autres vaccins non obligatoires. Il a donné six mois au Ministre de la santé pour assurer la disponibilité du vaccin DT-Polio - seul exigé par la loi - sans que celui-ci ne soit associé à des vaccins supplémentaires.

Alors que le délai imparti par les juges du Palais Royal expirera le mois prochain, force est de constater que le vaccin DT-Polio n’a toujours pas fait son retour dans les pharmacies. D’évidence, il ne réapparaîtra pas. Le Gouvernement vient d’annoncer qu’il rendrait dès janvier 2018 onze vaccins obligatoires pour les nourrissons. Le pouvoir adopte donc la stratégie du contournement et l’empressement à légiférer ne saurait être sans lien avec la menace d’astreinte financière qui pèse sur lui du fait de la non exécution de la décision de février. Au-delà des intentions louables, cette décision constitue un véritable pied de nez à l’injonction du Conseil d’Etat.

Le projet de loi actuellement en cours de préparation prévoit d’imposer un nouveau calendrier vaccinal pour tous les enfants de moins de deux ans qui inclurait, outre les trois vaccins déjà obligatoires, huit autres vaccins qui sont aujourd’hui simplement « recommandés » (haemophilus influenzae B, coqueluche, hépatite B, rougeole, oreillons, rubéole, méningocoque C et pneumocoque). Avec les rappels, cela représenterait pas moins de dix injections.

Confrontée à l’épreuve des droits et libertés fondamentaux, l’extension de l’obligation vaccinale pourrait bien, à son tour, être jugée illégale. L’obligation vaccinale constitue en effet une atteinte rare et exceptionnelle à la liberté fondamentale du consentement libre et éclairé, corollaire nécessaire du principe constitutionnel d’inviolabilité du corps humain. Le droit de toute personne de consentir ou de refuser un acte médical est à rattacher à un principe universaliste, celui de sauvegarde de la dignité humaine.

La Cour européenne des droits de l’homme a jugé en 2002 qu’une vaccination obligatoire constituait « une ingérence injustifiée dans le droit à l’intégrité physique et morale d’une personne »...................

https://blogs.mediapart.fr/delphine...vaccinale-quand-une-illegalite-chasse-l-autre
 
<Depuis les déclarations d’Agnès Buzyn, Didier Lambert, le président d’E3M, association qui lutte pour la reconnaissance des maladies induites par l’aluminium contenu dans les vaccins, se tient à distance des polémiques en ligne et préfère «bâtir un avis sérieux» en finançant la recherche sur la vaccination.

Pour autant, il dénonce les méthodes du gouvernement. Selon lui, ce projet d’extension est «une mauvaise réponse à une bonne question», celle de savoir pourquoi les Français perdent confiance dans la vaccination.

«Faire passer 11 vaccins de force, c’est stupide, ça va engendrer encore plus de réactions sur Internet», explique-t-il. Et d’ajouter : «On ne bâtit pas une politique de santé publique sur la peur. La démagogie appelle la démagogie.»>

http://www.liberation.fr/france/201...pologie-des-anti-vaccins-sur-internet_1583218

mam
 
[…]


EDIT: a ben tenez : le H1N1 est une mutation du virus de la grippe. Merci la vaccination !

Pourquoi ne pas vacciner que les personnes faible et à risque si elles contractent la grippe, ils ont voulu faire une vaccination de masse -> mutation du virus -> H1N1 -> Roseline Cachalot commande pour plus d'1 milliard de vaccins H1N1 ...
Les virus mutent tout seul, avec ou sans vaccin. On a pas de vaccin pour le VIH, et pourtant il mute. Les virus mutent fréquemment et sont même la cause de mutations chez les formes de vies hôtes, même si ça c’est beaucoup plus rare.
 
Même les fourmis pratiquent la vaccination. Chez les fourmis pot‑de‑miel (c’est leur nom), quand une fourmi infectée par un champignon (un de leurs ennemis sont les infections fongiques) revient à la fourmilière, elles sont plusieurs à l’entourer et à la toiletter pour prendre chacune une petite dose des spores de champignon sur la fourmi infectée. Ainsi leur système immunitaire apprend à reconnaitre l’infection à partir d’une dose trop faible pour être dangereux, et si elles sont un jour réellement infectées, la réaction immunitaire sera plus immédiate.

Chez d’autres espèces de fourmi, c’est autre chose, les fourmis infectées sont expulsées loin de la fourmilière.
 
Hibou je ne pense pas qu ici quelqu'un remette totalement en cause les vaccins...

Mais plutôt la manière dont ils sont fabriqués, avec quels métaux lourds sur des tous petits nourrissons, et la manière dont ou nous les impose...
 
autre sujet

Convaincues d'un lien entre vaccination et autisme, des familles vont poursuivre quatre laboratoires pharmaceutiques

La nouvelle tombe mal pour le gouvernement, qui souhaite que le nombre de vaccins obligatoires pour la petite enfance passe de 3 à 11 en 2018.

Une action de groupe contre quatre laboratoires pharmaceutique doit être menée en septembre par une centaine de familles convaincues de l'existence d'un lien entre vaccination et autisme, rapporte Le Parisien dans son édition datée du lundi 24 juillet.

Introduite par l'association Autisme Vaccinations devant le tribunal de grande instance de Paris, cette action de groupe visera les laboratoires Sanofi, Pfizer, Eli Lilly et GlaxoSmithKline.

Les familles à l'origine de cette démarche entendent leur "demander réparation des dommages causés par la vaccination pédiatrique", qu'elles tiennent responsable de l'augmentation des cas d'autisme chez les jeunes enfants. Ce que cinq études américaines indépendantes menées depuis près de vingt ans n'ont pas permis de prouver, rappelle toutefois le quotidien.


Une militante EELV à la tête de la contestation
A la tête de cette action se trouve Martine Ferguson-André, que le quotidien décrit comme une "militante acharnée". Membre de la commission santé d'Europe Ecologie-Les Verts, elle affirme que son fils est devenu autiste après avoir été vacciné à cinq reprises lorsqu'il était âgé de dix mois. Elle met en cause le thiomersal, conservateur contenant du mercure, qui a été retiré par précaution des vaccins en 2000 par les autorités de santé.

http://www.francetvinfo.fr/sante/va...res-pharmaceutiques_2297667.html#xtor=CS1-746

mam
 
Les bienfaits du vaccin Gardasil: des vies dynamitées!
MACRON PHILIPPE ET BUZYN veulent faire administrer 11 vaccins pour tous les enfants de moins de 2 ans
ON FAIT QUOI ??????
Terera Robinson alertait dès le 14 juin dernier via le réseau Facebook au sujet des effets du vaccin Gardasil sur sa fille Hannah... et bien entendu, comme elle le déplorait personne n'est responsable de cela, c'est juste "la faute à pas de chance"!!

Partagez de toute urgence et largement si vous tenez à votre santé, à celle de vos filles, amies et proches, il n'y a plus une seule seconde à perdre, et ce d'autant plus qu'il existe des moyens sûrs et efficaces pour se prémunir des papillomavirus, le vaccin ne vous apportera que des ennuis!!!
https://www.facebook.com/search/top/?q=touche pas à mon gosse

mam
 
Manifestation pour la liberté vaccinale :

Le 9 septembre 2017 a lieu devant le Ministère de la santé (14 rue Duquesnes Paris) à 14 heures
un grand rassemblement pour la liberté vaccinale.

Sont conviés tous ceux qui souhaitent que le gouvernement réponde aux multiples interrogations que l’on peut se poser par rapport à la politique vaccinale de la Ministre de la Santé.

mam
 
Je sens qu ils vont être intransigeant....

Je dois faire la dernière injection d infanrix quinta à ma fille qui va sur ses 18 mois ..je dois lui faire en septembre...

Je vais demander à la toubib ce qu elle en pense ...

Ça me dégoute la manière dont ils imposent
 
[Vidéo choc] Aluminium dans les vaccins : attention DANGER

Avec les 11 vaccins obligatoires annoncés par le gouvernement, on s'apprête à injecter dans l'organisme de nos bébés des doses impressionnantes d'aluminium, un poison neurotoxique.

Je vous renvoie ci-dessous une lettre détaillée sur ce sujet dramatique, qui montre comment la vérité est étouffée par les lobbys. Je compte sur vous pour la (re)lire et la transférer à tout votre entourage.


Ce n'est pas tout. Le Pr Gherardi, grand spécialiste de l'aluminium vaccinal, a récemment été interviewé à la télé par Michel Cymes.

La vidéo de l'interview est époustouflante : elle dure 6 minutes et devrait être vue par TOUS les parents et grands-parents de France et d'ailleurs.

Regardez-bien cette vidéo et s'il vous plaît, transférer ce message à tout votre entourage, il est urgent de faire connaître la vérité !







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Vaccins : comment la vérité est étouffée


C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.

Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.

Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.).

Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.

Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.

Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».

Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.

En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.

Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.

Une découverte mondialement acclamée, jusqu’à ce que…
Lorsqu’en 1997, il découvre une nouvelle maladie, qu’il baptisera « myofasciite à macrophage », le Professeur Gherardi est acclamé dans le monde entier.

La « signature » de cette maladie est troublante : de « grandes nappes de cellules bleues », dites « macrophages », apparaissent dans le muscle deltoïde du bras… à un endroit où l’on n’avait encore jamais observé ce type de lésion !

La souffrance des patients, elle aussi, déroute les médecins : douleurs invalidantes des muscles et des articulations, épuisement permanent, troubles cognitifs inquiétants… Voilà des symptômes bien étranges !

En France et dans le monde, c’est le branle-bas de combat. L’Institut de Veille sanitaire (InVS) prend l’affaire très au sérieux et lance une étude de terrain approfondie.

En 1998, la plus prestigieuse revue médicale au monde, The Lancet, publie l’article du Professeur Gherardi et de ses collègues détaillant leur découverte. [1] Immédiatement, il est invité à s’exprimer dans les plus grands médias, dont la BBC en Angleterre.

Tout allait bien… jusqu’à ce qu’il découvre la cause de l’apparition de ces mystérieux macrophages bleus.

En octobre 1998, premier coup de tonnerre : le Pr Gherardi apprend que ces cellules bleues contiennent… de l’aluminium !

Et il n’a pas besoin de chercher bien loin pour comprendre comment ce métal s’est retrouvé là.

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L’aluminium, ce métal toxique utilisé dans les vaccins
Car les organismes vivants ne contiennent normalement pas le moindre atome d’aluminium. Du fer, oui, en quantité. Mais de l’aluminium, jamais, c’est un métal trop toxique pour nos cellules.

Malheureusement, depuis que l’industrie a commencé à extraire ce métal de la croûte terrestre, on en trouve un peu partout autour de nous. Jusque dans nos déodorants, dentifrices, crèmes solaires et additifs alimentaires !

Et on en trouve aussi dans… la plupart des vaccins.

Des vaccins que l’on injecte dans le muscle deltoïde du bras, celui-là même où l’on a observé les grandes nappes bleues. Pas de doute possible : l’aluminium de la myofasciite à macrophage provient des vaccins !

Rapidement, le Professeur Gherardi confirme que 100 % de ses malades avaient bien subi une injection de vaccins contenant de l’aluminium dans les deux ou trois ans précédant l’apparition de leur maladie.

Le Pr Gherardi a même injecté le vaccin contre l’hépatite B dans le muscle d’un rat… et il a observé quelques semaines plus tard, au microscope, toutes les caractéristiques de la maladie !

Restait encore une énigme : pourquoi cette maladie est-elle apparue au milieu des années 1990, alors que les adjuvants d’aluminium dans les vaccins étaient utilisés depuis plus longtemps ?

La réponse est d’une simplicité lumineuse : parce qu’il a été décidé mondialement, au début des années 1990, de vacciner dans le muscle et non plus sous la peau !

Et comme la France a décidé de lancer une campagne massive de vaccination de l’hépatite B entre 1994 et 1997, il n’est pas étonnant que ce soit le pays où des centaines de cas ont subitement émergé !

Tout ceci, le Pr Gherardi en fait la démonstration implacable devant l’Organisation mondiale de la Santé en 1999. Les plus grands experts sont venus du monde entier pour l’écouter. Dans la foulée, il publie un article de synthèse lumineux dans une grande revue médicale. [2]

Bien sûr, il reste quelques éléments à éclaircir, mais les preuves sont alors largement suffisantes pour agir sans tarder.

L’urgence est d’autant plus grande que l’on vaccine tous les jours des milliers de patients avec des vaccins contenant de l’aluminium ! Certes, la myofasciite à macrophage est très rare, fort heureusement, mais elle ruine l’existence des malheureux qui sont frappés.

Le bon sens voudrait donc qu’on lance au plus vite de vastes études scientifiques complémentaires… et que l’on force les laboratoires à remplacer l’aluminium des vaccins par des adjuvants moins toxiques (et il en existe !).

Mais à la grande surprise du Pr Gherardi, ce n’est pas ce qui se produisit. Bien au contraire.


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On l’empêche de chercher la vérité !!!
À partir du moment où il a eu le malheur de mettre en cause les adjuvants dans les vaccins, tout a été mis en œuvre pour l’empêcher de dévoiler la vérité.

Il est impossible de retracer ici les innombrables coups bas et embûches subis par le Pr Gherardi depuis 1999 – et je vous conseille vraiment de lire son livre passionnant, Toxic Story : deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins.

Il y raconte par exemple ce qu’a osé lui dire, les yeux dans les yeux un grand Professeur de médecine, le Pr M-F Kahn :

« Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! »

Pourquoi ? Non pas parce que ce médecin était « vendu » aux laboratoires. Mais, raconte le Professeur Gherardi, parce que la myofasciite à macrophage a le malheur d’être ce que l’on appelle une maladie « iatrogène ». C’est à dire provoquée par un acte médical… et donc par des médecins !

Il n’est jamais évident de remettre en cause sa propre profession et c’est même contraire à la déontologie des médecins. [3] Et c’est encore pire lorsque l’on touche à la vaccination, LE grand tabou de la médecine moderne ! [4]

Rapidement, le Pr Gherardi est « lâché » par la plupart de ses collègues :

« Alors qu’en 1998 tout le monde se battait pour figurer sur la photo de famille de la myofasciite à macrophages, dès que le fatidique mot « vaccin » a été prononcé, chacun s’est retiré sur la pointe des pieds, fuyant un débat où il n’y avait que des coups à prendre. »

Et des coups, le Pr Gherardi ne manquera pas d’en recevoir.

Le mystérieux syndrome de la guerre du Golfe
Ce qui se passe en 2001 est digne des grands films d’espionnage. L’événement se produit au moment où le Pr Gherardi s’apprêtait à vérifier si le « syndrome de la guerre du Golfe » était, oui ou non, causé par les vaccins.

Petit rappel : de nombreux soldats britanniques et américains envoyés en Irak en 1991 ont souffert de symptômes inexpliqués : douleurs musculaires et articulaires, fatigue persistante, troubles de la mémoire, etc.

C’est un vrai mystère médical. Toutes les hypothèses ont été envisagées… sauf la plus probable [5], à savoir le programme de vaccination intensif subi par les soldats juste avant les opérations, notamment contre l’hépatite A et B.

En 2001, une association de vétérans britanniques veut en avoir le cœur net. Elle contacte donc le Pr Gherardi pour lui demander d’examiner 12 soldats souffrant de ce fameux « syndrome de la guerre du Golfe », et de vérifier si le muscle de leur avant-bras ne contiendrait pas les fameux macrophages bleus.

Le Pr Gherardi accepte immédiatement, trop heureux de vérifier cette hypothèse. Tout est planifié, et son service est sur le pied de guerre pour accueillir dignement ces vétérans malades.

Mais croyez-le ou non, la veille de la venue de ces vétérans, un mystérieux correspondant appelle le Pr Gherardi pour l’informer que la venue des soldats britanniques est « annulée ».

Comme cela, du jour au lendemain, sans la moindre explication !

Mais le pire reste à venir.

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L’Agence française de sécurité sanitaire essaie de l’éliminer (socialement)
En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de stopper toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages.

Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies !

Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !

Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.

Écoutons le Pr Gherardi :

« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique (…). Financée à 80 % par l’industrie, c’est prioritairement un outil à son service. »


En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.

Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.

Seul contre tous, il apporte la preuve définitive
La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie.

Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium.

Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?

C’est la toute dernière clé du mystère… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour.

Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine. [6]

Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines.

Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50 % des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate… puis s’accumulent dans le cerveau !

Et ce qu’a montré le Pr Gherardi, c’est que ce parcours catastrophique de l’aluminium vers le cerveau a lieu dans un cas et un cas uniquement : lorsqu’on injecte le vaccin dans le muscle. Car cela déclenche l’apparition de cellules immunitaires (macrophages) qui viennent « gober » l’aluminium et empêcher sa dissolution dans le sang !

Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau !

Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !

Une maladie qui ne frappe pas au hasard
Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés.

Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique.

Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.

D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure [7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs.

S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal.

Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » !

C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.


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Quelques exemples des graves effets secondaires des vaccins
Voici quelques exemples des drames les plus criants causés par certains vaccins :

Le vaccin contre les rotavirus (injectés aux nourrissons contre la gastroentérite) peut entraîner la mort des nourrissons. On le sait grâce au système de pharmacovigilance français, qui a recensé 2 décès et 201 effets indésirables graves chez les bébés vaccinés ; [8]

Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix a causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable. C’est une étude publiée dans le très respecté British Medical Journal en 2013 qui l’a révélé ; [9]

Le vaccin contre l’hépatite B a été incriminé dans plusieurs études solides pour avoir déclenché de nombreux cas de sclérose en plaque ; [10] [11] [12]

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a provoqué en France plusieurs dizaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique grave. C’est l’Agence du médicament elle-même qui l’a reconnu en 2015. [13]

Et bien sûr, tous les vaccins peuvent provoquer de graves réactions allergiques.

Faire toute la vérité sur les vaccins
Au total, il est clair que certains vaccins et certains de leurs adjuvants (aluminium, squalène) posent de graves problèmes de santé à une petite minorité d’entre nous.

Il est important de le reconnaître publiquement, plutôt que de faire de la vaccination un tabou (« la vaccination, ça ne se discute pas », a osé dire la Ministre de la Santé en 2015 !).

Il n’est pas question d’être « anti-vaccin » par principe… mais il n’est pas question non plus d’être « pro-vaccin » aveugle.

Il faut simplement reconnaître que, comme tout acte médical, il peut avoir de graves conséquences. Et il faut donc examiner au cas par cas si ses bienfaits l’emportent sur ses dangers.

Tout dépend de la maladie que l’on cherche à éviter, de la nature des vaccins, de leurs adjuvants… et de la vulnérabilité personnelle de chacun d’entre nous !

Ce doit donc être une décision médicale et individuelle, et non pas administrative et collective, comme les labos le réclament, pour sécuriser leurs profits !

La prudence vis-à-vis des vaccins est d’autant plus légitime que la recherche scientifique est manipulée par de puissants intérêts.

C’est même encore pire pour les vaccins que pour les autres médicaments !

Pourquoi ? Parce qu’on se refuse à faire pour les vaccins ce qu’on fait pour tous les médicaments : des études en double aveugle, contre placebo. C’est à dire prendre un groupe de patients, le séparer en deux groupes, vacciner un groupe mais pas l’autre (sans que personne ne sache qui a été vacciné et qui ne l’a pas été), puis observer les résultats, au bout de quelques années.

Résultat : la science des vaccins est tout sauf solide… et l’industrie pharmaceutique s’en donne à cœur joie pour lui faire dire ce qui l’arrange.

Avec la complicité, hélas, de certains médecins sincères, dont la priorité absolue est d’éviter que l’opinion publique ne perde confiance dans la vaccination.

Pour eux, la population est un « petit enfant, dont il faut redouter les réactions inconsidérées, quitte à taire les dangers qui le menacent pour ne pas risquer de l’effrayer ». [14]

Comme si vous et moi n’étions pas capables d’entendre la vérité et de faire des choix raisonnés pour notre avenir et celui de nos enfants !

Que faire ?
Je laisse le dernier mot au Pr Gherardi :

« J’en appelle donc aux personnalités politiques de tous bords. Pour que perdure et vive le vaccin (…), il ne faut pas seulement reconnaître l’intolérance aux adjuvants et financer les recherches sur cette pathologie.

Il faut aussi imposer aux industriels de remettre sur le marché les vaccins sans aluminium qui ont longtemps vacciné sans danger – tel le DTP ; de travailler sur de nouveaux adjuvants non toxiques – tels le phosphate de calcium. (…)

Il faut surtout, de toute urgence, mettre en place un système d’expertise et de régulation vraiment indépendant des grands industriels du médicament ».

Comptez-sur moi, chers lecteurs, pour me battre en ce sens, à mon petit niveau.

Xavier Bazin



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Sources :

[1] Macrophagic myofasciitis: an emerging entity. RK Gherardi et all. The Lancet, August 1998.

[2] Macrophagic myofasciitis lesions assess long-term persistence of vaccine-derived aluminium hydroxide in muscle. Rk Gherardi et all. Brain, 2001.

[3] Article 31 du Code de déontologie du Conseil National de l’Ordre des Médecins.

[4] Comme le dit si bien le Pr Gherardi, page 83 : « Dans le monde médical, le vaccin représente un véritable totem que l’on est prié de révérer en bloc, mettant en berne tout esprit critique. Le traiter en objet d’étude scientifique comme les autres, considérer qu’il puisse présenter quelques défauts malgré ses énormes qualités ? Voilà qui relève de la transgression, déchaînant immédiatement des foudres théologiques ».

[5] « Si on me demandait de sélectionner quelques facteurs de risque, je retiendrais non pas l’uranium appauvri ni la pyridostigmine mais la vaccination », a par exemple déclaré à ce sujet le Pr Roger Salamon devant une mission d’information parlementaire.

[6] Slow CCL2-dependent translocation of biopersistent particles from muscle to brain. Zakir Khan et all. BMC Medecine 2013

[7] Modification of neurobehavioral effects of mercury by genetic polymorphisms of metallothionein in children. James S Woods et all. Neurotoxicol Teratol 2013 Sept-Oct.

[8] Avis relatif à la vaccination des nourrissons vis-à-vis des gastroentérites à rotavirus. Haut Conseil de la Santé publique. Avril 2015

[9] Risk of narcolepsy in children and young people receiving AS03 adjuvanted pandemic A/H1N1 2009 influenza vaccine: retrospective analysis. Elizabeth Miller et all. BMJ 2013.

[10] Recombinant hepatitis B vaccine and the risk of multiple sclerosis. A prospective study. CME 2004

[11] Hepatitis B vaccine and first episodes of central nervous system demyelinating disorders: a comparison between reported and expected number of cases. Annie Fourrier et all. BrJ Clin Pharmacol. 2001

[12] Hepatitis B vaccine and the risk of CNS inflammatory demyelination in childhood. Yann Mikaeloff, Guillaume Caridade, Samy Suissa et marc Tardieu. Neurology 2010.

[13] Vaccination contre les infections à HPV et risque de maladies auto-immunes : une étude Cnamts/ANSM rassurante - Point d’information. 2015
 
à partir de 3 14 c'est très clair et à 4 08
à 5.22 c'est honteux de dire que ça était largement évalué

6.38.......... impliqués dans les labos
donc conflit d'intérêts

et 8.43 l"obligation vaccinale a été levée dans les pays cités

et que les victimes de la rougeole ou des oreillons étaient toutes vaccinées

mam

tout ce que l'on sait déjà

mais où est la solution ?????????
 
en Afrique, et plus précisément en Guinée Bissau, il existe des zones où les enfants ne sont pas vaccinés, faute de moyens pour mener à bien les campagnes.

Les scientifiques ont comparé différents groupes d’enfants :
  • Le premier groupe était constitué d’enfants bien nourris et vaccinés ;
  • Le deuxième groupe était constitué d’enfants mal nourris et non vaccinés.
La dernière étude porte sur des enfants entre 6 et 35 mois.
Elle confirme les données des études précédentes qui portaient sur des enfants de 3 à 5 mois (2).

Ils ont comparé le taux de mortalité.

Il était deux fois plus élevé chez le groupe des enfants vaccinés !

Cela veut dire qu’il y avait 100% d’enfants morts en plus dans le groupe des enfants vaccinés.

Pourquoi étudier le taux de mortalité ?
Michel de Lorgeril rappelle dans son livre l’importance de ce « détail ».

Les scientifiques préfèrent comparer les taux de mortalité plutôt que « l’état de santé » des individus comparés. C’est un facteur plus sûr et plus stable.

Compte tenu du résultat, on comprend mieux le titre de l’étude (titre traduit) : Preuves sur l’augmentation de la mortalité après l’introduction du vaccin DTP chez une population de bébés entre 6 et 35 mois en Guinée Bissau : un temps pour la réflexion ?

Les scientifiques réclament un “temps de réflexion”.

En langage courant, ça veut dire :

“PAUSE, on a fait une grosse boulette !”

Il serait peut-être temps, en effet, de cesser d’imposer des dogmes et d’avancer avec prudence lorsque l’on touche à l’immunité des tout-petits.

Que pensent les familles concernées par ce désastre ?

Comment les scientifiques qui ont mené cette étude vont-ils regarder les prochains bébés qu’ils vont vacciner ?

Tiens, voilà l’éthique qui réapparaît.

Car le débat sur les vaccinations ne peut évidemment pas être réservé aux scientifiques.

Il est d’abord éthique, sociétal et juridique.

Il sous-tend une opposition sur la manière de voir et de comprendre le monde. Ce débat ne peut être tranché par des industriels dans leur coin ou par des technocrates.

C’est aux citoyens de s’emparer de ce débat !

IPSN - Alertes Santé

mam
 
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