Vers un re confinement à la fin octobre ?

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Vers un re confinement généralisé ?


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Il lui fait un test PCR, ils tombent amoureux​

C’est l’histoire d’un coup de foudre ayant frappé au milieu de matériel stérile et d’écouvillons, dans l’intimité d’un centre de tests Covid à Belfort. Julie, la patiente, et Mickaël, le préleveur, s’y sont rencontrés par hasard. Depuis ce jour de novembre 2020, ils ne sont plus jamais quittés.

Si on posait sur le papier le scénario d’un film, on débuterait par cette scène hollywoodienne que rapportent nos confrères de L’Est Républicain.
Julie et Mickaël, enfermés dans le box exigu d’un centre de dépistage Covid de Belfort. Elle, la patiente « cas contact » un peu stressée. Lui, le rassurant préleveur, engoncé dans le costume le moins sexy que l’on puisse imaginer : masque, lunettes de protection, charlotte sur la tête, et blouse d’un bleu « sac-poubelle » en guise de vêtement.
Les deux personnages principaux, âgés de 21 ans, souhaitent que cette désagréable situation passe au plus vite, mais leurs regards se croisent… et dès lors, tout s’arrête.

« Depuis, on ne s’est plus quittés »​

« Je peux vous dire qu’on a parlé pendant une heure avant que Mickaël ne fasse enfin le prélèvement. Sa collègue, ne le voyant pas sortir du box, est même venue vérifier ce qui se passait », en riait ce lundi Julie Bongiovanni.
La première « vraie » rencontre, une semaine plus tard, ne faisait que confirmer la belle histoire. « On n’avait jamais pu se voir sans masque, je n’avais même pas capté qu’il avait une barbe », en rit la jeune femme. « En tout cas, depuis, on ne s’est plus quittés. Pas un seul jour, pas une seule nuit l’un sans l’autre ».
Une « happy end » pour ce film d’amour comptant au casting une actrice inattendue : cette pandémie de Covid-19 « sans laquelle, finalement, on ne se serait probablement jamais rencontrés ».

 
Peut être qu'un certain nombre de personnes avaient présenté des faux tests à l'embarquement ?

Je ne vais pas préjuger en ce sens.

Etant donné tous les sujets sur les tests et leur fiabilité, je pars plutôt du principe que le problème sont les tests.

Ils servent surtout aux chiffres permettant à ceux qui nous gouvernent de paralyser nos vies et nous inciter à la vaccination!
 
:defonce:
Covid-19 : la France n’est pas à l’abri d’une quatrième vague cet été


Des modélisations de l’Institut Pasteur montrent qu’une levée trop rapide des restrictions entraînerait un rebond épidémique dès juin, dont l’ampleur serait déterminée par le rythme de vaccination et la contagiosité des variants.

Plus on s’en rapproche, plus la perspective d’un déconfinement mi-mai semble s’éloigner. Avec toujours près de 6 000 patients hospitalisés en réanimation, et 30 000 nouveaux cas de Covid-19 par jour, la France est dans une situation nettement moins favorable qu’au 11 mai 2020, lors du premier déconfinement (plus de 2 600 patients se trouvaient alors en soins critiques et avec 1 000 à 2 000 contaminations quotidiennes). Et le déploiement de la vaccination ne suffira pas à éviter une nouvelle vague dès l’été si les mesures de restriction sont levées trop vite, comme le révèlent des modélisations de l’Institut Pasteur mises en ligne le 26 avril.
Les scientifiques ont établi différents scénarios de déconfinement d’ici le 1er juillet, en s’appuyant sur ce qui a été observé au cours de l’été 2020 (à ce moment-là, une grande partie des lieux publics avaient rouvert et les déplacements étaient libres). Selon eux, une quatrième vague pourrait s’amorcer dès le mois de juin, si la contagiosité du variant britannique – désormais dominant – reste 60 % supérieure à celle du variant historique. Sa hauteur pourrait même dépasser celle de la troisième vague si la vaccination n’accélère pas et se poursuit au rythme de 350 000 doses par jour.


Analogie avec la situation de l’été 2020

« Si on lève les mesures de freinage de façon plus progressive, le rebond sera décalé à une période où on aura davantage vacciné et où la reprise épidémique sera moins importante », souligne Simon Cauchemez, modélisateur à l’Institut Pasteur et membre du conseil scientifique, en rappelant que le premier déconfinement s’était fait par étapes.
Différents scénarios sont ainsi présentés avec des taux de reproduction du virus – le « R » dans le jargon – compris entre 1 et 1,3 pour la période allant jusqu’au 1er juillet. Une accélération de la vaccination, au rythme de 500 000 injections quotidiennes, permettrait d’aplatir davantage les courbes avec, dans le scénario le plus favorable, un rebond « à peine perceptible ».
L’analogie utilisée par les scientifiques avec la situation de l’été 2020 a cependant des limites. En juillet-août 2020, les écoles étaient fermées, ce qui ne sera a priori pas le cas en mai-juin de cette année. Autre différence : le port du masque devrait rester la règle, ce qui n’était pas le cas il y a un an. Enfin, même si le déconfinement de 2021 devait ressembler à celui de 2020, le comportement des Français ne sera sans doute pas le même, avec le risque que l’envie de « passer à autre chose » l’emporte sur la prudence.
https://www.lemonde.fr/planete/arti...e-quatrieme-vague-des-l-ete_6078442_3244.html
 
quelqu'un a déjà fait le test nasale?

j'en ai refait un hier, le troisièmes en tout... franchement à lire sur le web on dirait que c'est une torture MDR voir ça va perforer le cerveau ou quoi qu'est ce...

rien de tout cela, en tout cas pour moi.. je kiffe même :mignon:entre la première et deuxième narine j'éternue entre 5 et dix fois c'est franchement agréable d'éternuer une impression de sinus libéré avec une minuscule gène qui dur quelques heures comme si on avait un poil de chat dans le sinus.... en gros pas de quoi fouetter un chat.
 
@nwidiya tu peux changer le titre du topic

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Le pire reste à venir ..
 
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