Vos bons plans sorties, expos, vernissages...
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Edition 2013 : Par ICI Dakar !
Du 13 septembre au 21 décembre 2013, l’Institut des Cultures d’Islam met Dakar à l’honneur pour le 8ème Festival des Cultures d’Islam : Par ici Dakar. Cette édition s’inscrit dans le cadre du Tandem Dakar-Paris, organisé par les Villes de Paris, Dakar et l’Institut français. Au cœur de la Goutte d’Or, rendez-vous dès le 13 septembre pour une programmation autour de la création contemporaine dakaroise, de la photographie à la scène, de la danse aux cérémonies traditionnelles réinterprétées…
http://www.institut-cultures-islam.org/edition-2013-par-ici-dakar.html
Du 13 septembre au 21 décembre 2013, l’Institut des Cultures d’Islam met Dakar à l’honneur pour le 8ème Festival des Cultures d’Islam : Par ici Dakar. Cette édition s’inscrit dans le cadre du Tandem Dakar-Paris, organisé par les Villes de Paris, Dakar et l’Institut français. Au cœur de la Goutte d’Or, rendez-vous dès le 13 septembre pour une programmation autour de la création contemporaine dakaroise, de la photographie à la scène, de la danse aux cérémonies traditionnelles réinterprétées…
http://www.institut-cultures-islam.org/edition-2013-par-ici-dakar.html
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Soomy
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Amour sur place ou à emporter
Très drôle !!
Très drôle !!
Le Maghreb des livres 2014
Le Maghreb des livres revient à Paris les 8 et 9 février 2014 pour sa 20e édition, voila l'occasion de découvrir cette année les publications du Grand Maghreb.
Organisée par l’association Coup de soleil, la 20ème édition du Maghreb des livres se tiendra à l’Hôtel de ville de Paris les 8 et 9 février 2014. Pendant deux jours, l’Hôtel de Ville de Paris accueillera près de 130 auteurs et une librairie de plus de 5 000 ouvrages qui mettront à l’honneur le Maghreb.
Exceptionnellement, pour ce 20ème anniversaire, la rotation triennale du Maghreb des livres entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie fait une pause avant de reprendre en 2015. L’édition 2014 mettra à l’honneur les publications touchant l’ensemble du Grand Maghreb (Libye et Mauritanie incluses). Comme chaque année, une grande librairie présentera les ouvrages édités en 2013 en France et au Maghreb, essentiellement en langue française mais aussi en arabe ou en tamazight (berbère).
Le Maghreb des livres, c’est aussi un lieu d’échanges et de rencontres. Cette année encore seront organisés des tables rondes, cafés littéraires, entretiens et lectures, qui se nourrissent de sujets tels que : L’évolution des structures familiales au Maghreb ou L’égalité en France, 30 ans après la Marche de 1983.
Participeront activement à ce 20ème anniversaire plus de 120 auteurs. Parmi les plus célèbres : Tahar BEN JELLOUN, Maïssa BEY, Faouzia CHARFI, Eric FOTTORINO, Abdellatif LÂABI, Sabri LOUATAH, Albert MEMMI, Karim MISKÉ, Serge MOATI, Boualem SANSAL, Abdelhak SERHANE, Benjamin STORA et tant d’autres, mais aussi de nombreux jeunes talents de l’écriture française et maghrébine.
Infos Pratiques :
Site Officiel: Le Maghreb des livres 2014
Entrée Libre
Samedi 8 février et Dimanche 9 février
Hôtel de Ville – 3, rue Lobau (4e)
Le Maghreb des livres revient à Paris les 8 et 9 février 2014 pour sa 20e édition, voila l'occasion de découvrir cette année les publications du Grand Maghreb.
Organisée par l’association Coup de soleil, la 20ème édition du Maghreb des livres se tiendra à l’Hôtel de ville de Paris les 8 et 9 février 2014. Pendant deux jours, l’Hôtel de Ville de Paris accueillera près de 130 auteurs et une librairie de plus de 5 000 ouvrages qui mettront à l’honneur le Maghreb.
Exceptionnellement, pour ce 20ème anniversaire, la rotation triennale du Maghreb des livres entre l’Algérie, le Maroc et la Tunisie fait une pause avant de reprendre en 2015. L’édition 2014 mettra à l’honneur les publications touchant l’ensemble du Grand Maghreb (Libye et Mauritanie incluses). Comme chaque année, une grande librairie présentera les ouvrages édités en 2013 en France et au Maghreb, essentiellement en langue française mais aussi en arabe ou en tamazight (berbère).
Le Maghreb des livres, c’est aussi un lieu d’échanges et de rencontres. Cette année encore seront organisés des tables rondes, cafés littéraires, entretiens et lectures, qui se nourrissent de sujets tels que : L’évolution des structures familiales au Maghreb ou L’égalité en France, 30 ans après la Marche de 1983.
Participeront activement à ce 20ème anniversaire plus de 120 auteurs. Parmi les plus célèbres : Tahar BEN JELLOUN, Maïssa BEY, Faouzia CHARFI, Eric FOTTORINO, Abdellatif LÂABI, Sabri LOUATAH, Albert MEMMI, Karim MISKÉ, Serge MOATI, Boualem SANSAL, Abdelhak SERHANE, Benjamin STORA et tant d’autres, mais aussi de nombreux jeunes talents de l’écriture française et maghrébine.
Infos Pratiques :
Site Officiel: Le Maghreb des livres 2014
Entrée Libre
Samedi 8 février et Dimanche 9 février
Hôtel de Ville – 3, rue Lobau (4e)
Expo Brassaï gratuite à l hôtel de ville ......pas mal il a bien vécu .....
Se terminant initialement le 8 mars, prolongation jusqu'au 29 mars 2014.
De 10h à 19h du lundi au samedi. Dernières entrées à 18h15.
Fermé les dimanches et les jours fériés.
Regarde ci-dessus mes contributions. Je suis un homme de culture moiPas mal je savais que t'étais pas complètement débile
Guerres de religion dans le monde musulman ?
Colloque du lundi 31 mars 2014, à 18 heures, à la Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007
Avec la participation de :
- Henry Laurens, membre du Collège de France, Chaire Histoire contemporaine du monde arabe (spécialiste de la question palestinienne)
- Ahmad Salamatian, intellectuel et ancien parlementaire iranien, ancien secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères (Iran)
- Pierre Conesa, membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica
- Flavien Bourrat, spécialiste du monde arabe, ancien chef du bureau Maghreb Proche Moyen Orient à la Délégation aux Affaires Stratégiques du ministère de la Défense.
Et :
- Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica
Pour assister au colloque, il est indispensable de s’inscrire au préalable : info@fondation-res-publica.org
Colloque du lundi 31 mars 2014, à 18 heures, à la Maison de la Chimie, 28 rue Saint-Dominique 75007
Avec la participation de :
- Henry Laurens, membre du Collège de France, Chaire Histoire contemporaine du monde arabe (spécialiste de la question palestinienne)
- Ahmad Salamatian, intellectuel et ancien parlementaire iranien, ancien secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères (Iran)
- Pierre Conesa, membre du Conseil scientifique de la Fondation Res Publica
- Flavien Bourrat, spécialiste du monde arabe, ancien chef du bureau Maghreb Proche Moyen Orient à la Délégation aux Affaires Stratégiques du ministère de la Défense.
Et :
- Jean-Pierre Chevènement, président de la Fondation Res Publica
Pour assister au colloque, il est indispensable de s’inscrire au préalable : info@fondation-res-publica.org
Dans le cadre du festival de l'imaginaire:
L’ART DU OUD
LES TAQÂSÎM D’OMAR BASHIR
IRAK
Vendredi 4 avril 2014 à 20h
Munir Bachir, le maître légendaire du oud, a eu plusieurs élèves mais un seul disciple, son fils Omar auquel il enseigna son art dès que l’enfant eut atteint sa cinquième année. Il venait de rentrer en Irak avec sa femme hongroise et leurs deux enfants, Saad né en 1966 et Omar né en 1970, après avoir obtenu en Hongrie son doctorat, passé quelques années au Liban et amorcé une carrière internationale. Omar suit des cours quotidiens avec son père qui lui consacre parfois plus de cinq heures par jour. À sept ans il entre à l’école de musique et de danse de Bagdad dont il deviendra plus tard l’un des professeurs après avoir donné, à l’âge de neuf ans, un premier concert de oud en solo au Conservatoire de Bagdad. À treize ans, il joue pour la première fois avec son père qu’il accompagnera, quelques années plus tard, régulièrement.
En 1991, toute la famille Bachir quitte l’Irak pour s’installer en Hongrie et Omar étudie, à l’Université Liszt, le piano, le chant et la direction chorale. Il participe à plusieurs concerts avec son père dans le monde arabe, aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, notamment à Paris où je les avais invités au Théâtre du Rond-Point en 1994.
La mort de Munir Bachir en 1997 va marquer un tournant important dans la carrière de Omar qui va chercher sa propre identité musicale en expérimentant différents instruments et techniques, et en explorant des styles musicaux qui lui sont proches, qu’ils soient ceux des tziganes hongrois ou des gitans. Les Gypsy King l’autorisent même à utiliser l’une de leurs chansons. Il collabore avec plusieurs artistes internationaux, comme tout récemment Jordi Savall, reçoit distinctions et prix dans le monde arabe, aux Etats-Unis et en Europe où il effectue plusieurs tournées de concerts et enregistrements de CD.
À partir de ses improvisations sur quelques-uns des maqams arabes les plus importants, Omar cherche à mettre en avant leur relation avec d’autres cultures. Il convie ainsi l’auditeur à laisser libre cours à son imagination lors d’un voyage qui l’emmènera sur les chemins des caravanes ou des voyageurs d’un monde qui va de l’Inde à l’Andalousie en passant par l’Irak et la Turquie.
Dans un parcours musical qui s’enrichit régulièrement et tout en développant un style qui lui est personnel, Omar Bashir (qui a opté pour le « s » dans l’orthographe de son nom de famille) n’en perpétue pas moins une des passions de son père, celle de rechercher les liens de parenté possibles entre les musiques de son pays natal et celles du reste du monde.
Dépassant un double héritage particulièrement lourd à porter, celui de la renommée du père en premier, et celui de la tradition musicale en second, Omar est bien plus que « fils de ». C’est un grand artiste qui contribue au vent de liberté qui revivifie la musique arabe.
Chérif Khaznadar
http://www.festivaldelimaginaire.com/Les-taqasim-d-Omar-Bashir.html
Pour le reste du programme : http://www.festivaldelimaginaire.com/-Programme-.html
L’ART DU OUD
LES TAQÂSÎM D’OMAR BASHIR
IRAK
Vendredi 4 avril 2014 à 20h
Munir Bachir, le maître légendaire du oud, a eu plusieurs élèves mais un seul disciple, son fils Omar auquel il enseigna son art dès que l’enfant eut atteint sa cinquième année. Il venait de rentrer en Irak avec sa femme hongroise et leurs deux enfants, Saad né en 1966 et Omar né en 1970, après avoir obtenu en Hongrie son doctorat, passé quelques années au Liban et amorcé une carrière internationale. Omar suit des cours quotidiens avec son père qui lui consacre parfois plus de cinq heures par jour. À sept ans il entre à l’école de musique et de danse de Bagdad dont il deviendra plus tard l’un des professeurs après avoir donné, à l’âge de neuf ans, un premier concert de oud en solo au Conservatoire de Bagdad. À treize ans, il joue pour la première fois avec son père qu’il accompagnera, quelques années plus tard, régulièrement.
En 1991, toute la famille Bachir quitte l’Irak pour s’installer en Hongrie et Omar étudie, à l’Université Liszt, le piano, le chant et la direction chorale. Il participe à plusieurs concerts avec son père dans le monde arabe, aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, notamment à Paris où je les avais invités au Théâtre du Rond-Point en 1994.
La mort de Munir Bachir en 1997 va marquer un tournant important dans la carrière de Omar qui va chercher sa propre identité musicale en expérimentant différents instruments et techniques, et en explorant des styles musicaux qui lui sont proches, qu’ils soient ceux des tziganes hongrois ou des gitans. Les Gypsy King l’autorisent même à utiliser l’une de leurs chansons. Il collabore avec plusieurs artistes internationaux, comme tout récemment Jordi Savall, reçoit distinctions et prix dans le monde arabe, aux Etats-Unis et en Europe où il effectue plusieurs tournées de concerts et enregistrements de CD.
À partir de ses improvisations sur quelques-uns des maqams arabes les plus importants, Omar cherche à mettre en avant leur relation avec d’autres cultures. Il convie ainsi l’auditeur à laisser libre cours à son imagination lors d’un voyage qui l’emmènera sur les chemins des caravanes ou des voyageurs d’un monde qui va de l’Inde à l’Andalousie en passant par l’Irak et la Turquie.
Dans un parcours musical qui s’enrichit régulièrement et tout en développant un style qui lui est personnel, Omar Bashir (qui a opté pour le « s » dans l’orthographe de son nom de famille) n’en perpétue pas moins une des passions de son père, celle de rechercher les liens de parenté possibles entre les musiques de son pays natal et celles du reste du monde.
Dépassant un double héritage particulièrement lourd à porter, celui de la renommée du père en premier, et celui de la tradition musicale en second, Omar est bien plus que « fils de ». C’est un grand artiste qui contribue au vent de liberté qui revivifie la musique arabe.
Chérif Khaznadar
http://www.festivaldelimaginaire.com/Les-taqasim-d-Omar-Bashir.html
Pour le reste du programme : http://www.festivaldelimaginaire.com/-Programme-.html
Super conférence, Laurens, toujours aussi percuant et habile dans le verbe
Très étonnée par Chevènement.
Le titre de la conférence ayant été mal choisi, quelques remarque sur le sujet et notamment sur le ton plutot convenu des participants à laisser éclater dans l'auditoire quelques voix contestataires remettant en cause le facteur hégémonique occidental (israelo-americain). Ca n'a pas du tout été du gout de Conesa et Bourrat, mais il a plu des applaudissements dans la salle.
S
Soomy
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Les femmes berbères du Maroc exposées à la Fondation Pierre Bergé - Yves Saint Laurent
Les femmes berbères du Maroc s'invitent à la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent pour une exposition inédite du 21 mars au 20 juillet 2014.
Pour la première fois, les plus beaux témoignages de l'apparat de la culture et du patrimoine marocain sont présentés à la Fondation Pierre Bergé Yves Saint Laurent à Paris, avec 70% des oeuvres provenant de la collection du musée berbère de Marrakech -Fondation Jardin Majorelle- et 30% des oeuvres restantes du musée du Quai Branly, du Musée Bargoin à Clermont-Ferrand et de trois autres collections privées.
Après la disparition du couturier Yves Saint Laurent, Pierre Bergé a souhaité que le jardin Majorelle de Marrakech accueille un musée de la civilisation berbère, projet commun de longue date, qui a vu le jour en 2011 dans l'ancien atelier du peintre.
Colliers de mariages, parures traditionnelles et habits de fête: l'exposition explore avant tout la pace centrale des femmes dans la culture Amazigh -berbère- à qui elle doit sa survivance par la transmission de savoir-faire traditionnellement féminin comme le tissage, la poterie et la réalisation de bijoux et parures, la vannerie, la tapisserie et aussi les tatouages au henné. Outils du quotidien, objets rituels, bijoux et costumes ancestraux dont de rares capes handiras et des robes haïks, sont réunis pour évoquer les traditions des femmes berbères, sédentaires ou nomades du Rif au Sahara, au goût très affirmé pour l'apparat.
Les femmes berbères du Maroc s'invitent à la Fondation Pierre Bergé-Yves Saint Laurent pour une exposition inédite du 21 mars au 20 juillet 2014.
Pour la première fois, les plus beaux témoignages de l'apparat de la culture et du patrimoine marocain sont présentés à la Fondation Pierre Bergé Yves Saint Laurent à Paris, avec 70% des oeuvres provenant de la collection du musée berbère de Marrakech -Fondation Jardin Majorelle- et 30% des oeuvres restantes du musée du Quai Branly, du Musée Bargoin à Clermont-Ferrand et de trois autres collections privées.
Après la disparition du couturier Yves Saint Laurent, Pierre Bergé a souhaité que le jardin Majorelle de Marrakech accueille un musée de la civilisation berbère, projet commun de longue date, qui a vu le jour en 2011 dans l'ancien atelier du peintre.
Colliers de mariages, parures traditionnelles et habits de fête: l'exposition explore avant tout la pace centrale des femmes dans la culture Amazigh -berbère- à qui elle doit sa survivance par la transmission de savoir-faire traditionnellement féminin comme le tissage, la poterie et la réalisation de bijoux et parures, la vannerie, la tapisserie et aussi les tatouages au henné. Outils du quotidien, objets rituels, bijoux et costumes ancestraux dont de rares capes handiras et des robes haïks, sont réunis pour évoquer les traditions des femmes berbères, sédentaires ou nomades du Rif au Sahara, au goût très affirmé pour l'apparat.
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Van Gogh / Artaud "Le suicidé de la société" actuellement au musée d'Orsay.
Quelques jours avant l'ouverture d'une rétrospective Van Gogh à Paris en 1947, le galeriste Pierre Loeb suggéra à Antonin Artaud (1896-1948) d'écrire un texte sur le peintre.
Prenant le contrepied de la thèse de l'aliénation, Artaud s'attacha à démontrer comment la lucidité supérieure de Van Gogh gênait les consciences ordinaires. En voulant l'empêcher d'émettre "d'insupportables vérités", ceux que sa peinture dérangeait le poussèrent au suicide.
En s'appuyant sur les catégories ou les désignations singulières mises en avant par Artaud dans Van Gogh le suicidé de la société, le parcours de l'exposition se déroule à travers une quarantaine de tableaux, un choix de dessins et de lettres de Van Gogh ainsi qu'une sélection d'oeuvres graphiques du poète-dessinateur.
Lecture dans l'exposition, tous les jeudis entre 19h et 20h30, du Suicidé de la société d'Antonin Artaud par Jean-Luc Debattice, comédien.
J'y vais aujourd'hui!
Quelques jours avant l'ouverture d'une rétrospective Van Gogh à Paris en 1947, le galeriste Pierre Loeb suggéra à Antonin Artaud (1896-1948) d'écrire un texte sur le peintre.
Prenant le contrepied de la thèse de l'aliénation, Artaud s'attacha à démontrer comment la lucidité supérieure de Van Gogh gênait les consciences ordinaires. En voulant l'empêcher d'émettre "d'insupportables vérités", ceux que sa peinture dérangeait le poussèrent au suicide.
En s'appuyant sur les catégories ou les désignations singulières mises en avant par Artaud dans Van Gogh le suicidé de la société, le parcours de l'exposition se déroule à travers une quarantaine de tableaux, un choix de dessins et de lettres de Van Gogh ainsi qu'une sélection d'oeuvres graphiques du poète-dessinateur.
Lecture dans l'exposition, tous les jeudis entre 19h et 20h30, du Suicidé de la société d'Antonin Artaud par Jean-Luc Debattice, comédien.
J'y vais aujourd'hui!
Bercy Village invite l’artiste Christel Jeanne du 30 Janvier au 27 Mai 2014, laquelle exposera Les Fruits de Mon Imagination, une série de trente clichés food art, en argentique, qui allie gourmandise et humour.
Dans les allées de Bercy Village, autour de ses restaurants, les clichés deChristel Jeanne résonnent tel un hymne à la nature et aux plaisirs gustatifs : ça et là, on découvre des légumes aux formes étranges, des compositions de fruits dévoilant des corps ou personnages amusants, autant dire que Christel Jeanne aime jouer avec la nourriture et nous faire aimer les légumes !
Placée sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture, Les Fruits de mon Imagination est l’occasion pour les parents d’amener leurs enfants à aimer ces drôles de légumes, le temps d’une balade dans les allées de Bercy Village et de ses restaurants. Cette exposition de food art promet des moments de rire et d’intimité avec les légumes, qui paraissentgourmands sous le flash de l’artiste : pour ce faire, Christel Jeanne épie les marchés à la recherche de légumes tordus, de spécimens exotiques et improbables et les magnifie grâce à un regard ingénieux, voire enfantin…
Ces trente clichés nous transportent dans le food art – l’art de la photo culinaire – et nous ouvrent l’appétit : aussi, l’artiste et Bercy Village nous convient à tester notre créativité en famille le temps d’ateliers culinaires à croquer, proposés gratuitement après inscription sur place :
Dans les allées de Bercy Village, autour de ses restaurants, les clichés deChristel Jeanne résonnent tel un hymne à la nature et aux plaisirs gustatifs : ça et là, on découvre des légumes aux formes étranges, des compositions de fruits dévoilant des corps ou personnages amusants, autant dire que Christel Jeanne aime jouer avec la nourriture et nous faire aimer les légumes !
Placée sous le Haut Patronage du Ministère de l’Agriculture, Les Fruits de mon Imagination est l’occasion pour les parents d’amener leurs enfants à aimer ces drôles de légumes, le temps d’une balade dans les allées de Bercy Village et de ses restaurants. Cette exposition de food art promet des moments de rire et d’intimité avec les légumes, qui paraissentgourmands sous le flash de l’artiste : pour ce faire, Christel Jeanne épie les marchés à la recherche de légumes tordus, de spécimens exotiques et improbables et les magnifie grâce à un regard ingénieux, voire enfantin…
Ces trente clichés nous transportent dans le food art – l’art de la photo culinaire – et nous ouvrent l’appétit : aussi, l’artiste et Bercy Village nous convient à tester notre créativité en famille le temps d’ateliers culinaires à croquer, proposés gratuitement après inscription sur place :
Atelier cuisine moléculaire pour Pâques : Dimanche 20 et lundi 21 Avril 2014, de 13h à 18h, durée 30min
Les Fruits de mon Imagination, l’exposition de food art de Christel Jeanne
Du 30 Janvier au 27 Mai 2014
Lieu : Bercy Village
Déambulation Libre
Site internet de Christel Jeanne – Site internet de Bercy Village
Dans le cadre d'une ballade dans le parc du cours Saint Emilion, ça peut le faire.
Je préfère faire un tour au jardin d'Acclimatation. Ambiance brésilienne en ce moment.
Plus qu’une exposition, un événement ! Dans toute sa splendeur d’autrefois l’Orient Express vient faire halte sur le parvis de l’Institut du monde arabe à l’occasion d’une grande exposition consacrée au plus mythique des trains, à cette icône de l’Art-Déco qui a fait le ravissement de générations de voyageurs, ouvrant grand à ceux-ci les portes de l’Orient.
Rendue possible grâce au concours de SNCF, cette manifestation de grande envergure est conçue en deux parties :
C’est tout un train d’abord – locomotive en tête, suivie de trois voitures exceptionnelles et d’un wagon-restaurant – qui prend place sur le parvis de l’Institut. Le visiteur entreprend son parcours sur un quai de gare reconstitué le long du train, avant de monter dans celui-ci et de le parcourir, voiture après voiture, y découvrant l’atmosphère luxueuse et feutrée qui accompagnait le voyageur tout au long d’un périple dont l’aboutissement était la découverte de l’Orient. La dimension cinématographique est omniprésente au fil d’une déambulation où les silhouettes des voyageurs prestigieux d’autrefois paraissent avoir quitté leur compartiment à l’instant… Leur existence à bord du train se donne à voir à travers le confort étrange, un peu irréel, des cabines parées de fines marqueteries et de laitons étincelants.
Plus qu’une exposition, un événement ! Dans toute sa splendeur d’autrefois l’Orient Express vient faire halte sur le parvis de l’Institut du monde arabe à l’occasion d’une grande exposition consacrée au plus mythique des trains, à cette icône de l’Art-Déco qui a fait le ravissement de générations de voyageurs, ouvrant grand à ceux-ci les portes de l’Orient.
Rendue possible grâce au concours de SNCF, cette manifestation de grande envergure est conçue en deux parties :
C’est tout un train d’abord – locomotive en tête, suivie de trois voitures exceptionnelles et d’un wagon-restaurant – qui prend place sur le parvis de l’Institut. Le visiteur entreprend son parcours sur un quai de gare reconstitué le long du train, avant de monter dans celui-ci et de le parcourir, voiture après voiture, y découvrant l’atmosphère luxueuse et feutrée qui accompagnait le voyageur tout au long d’un périple dont l’aboutissement était la découverte de l’Orient. La dimension cinématographique est omniprésente au fil d’une déambulation où les silhouettes des voyageurs prestigieux d’autrefois paraissent avoir quitté leur compartiment à l’instant… Leur existence à bord du train se donne à voir à travers le confort étrange, un peu irréel, des cabines parées de fines marqueteries et de laitons étincelants.
http://www.imarabe.org/activites-evenements/collections-expositions/expositions/orient-express
Rendue possible grâce au concours de SNCF, cette manifestation de grande envergure est conçue en deux parties :
C’est tout un train d’abord – locomotive en tête, suivie de trois voitures exceptionnelles et d’un wagon-restaurant – qui prend place sur le parvis de l’Institut. Le visiteur entreprend son parcours sur un quai de gare reconstitué le long du train, avant de monter dans celui-ci et de le parcourir, voiture après voiture, y découvrant l’atmosphère luxueuse et feutrée qui accompagnait le voyageur tout au long d’un périple dont l’aboutissement était la découverte de l’Orient. La dimension cinématographique est omniprésente au fil d’une déambulation où les silhouettes des voyageurs prestigieux d’autrefois paraissent avoir quitté leur compartiment à l’instant… Leur existence à bord du train se donne à voir à travers le confort étrange, un peu irréel, des cabines parées de fines marqueteries et de laitons étincelants.
Plus qu’une exposition, un événement ! Dans toute sa splendeur d’autrefois l’Orient Express vient faire halte sur le parvis de l’Institut du monde arabe à l’occasion d’une grande exposition consacrée au plus mythique des trains, à cette icône de l’Art-Déco qui a fait le ravissement de générations de voyageurs, ouvrant grand à ceux-ci les portes de l’Orient.
Rendue possible grâce au concours de SNCF, cette manifestation de grande envergure est conçue en deux parties :
C’est tout un train d’abord – locomotive en tête, suivie de trois voitures exceptionnelles et d’un wagon-restaurant – qui prend place sur le parvis de l’Institut. Le visiteur entreprend son parcours sur un quai de gare reconstitué le long du train, avant de monter dans celui-ci et de le parcourir, voiture après voiture, y découvrant l’atmosphère luxueuse et feutrée qui accompagnait le voyageur tout au long d’un périple dont l’aboutissement était la découverte de l’Orient. La dimension cinématographique est omniprésente au fil d’une déambulation où les silhouettes des voyageurs prestigieux d’autrefois paraissent avoir quitté leur compartiment à l’instant… Leur existence à bord du train se donne à voir à travers le confort étrange, un peu irréel, des cabines parées de fines marqueteries et de laitons étincelants.
http://www.imarabe.org/activites-evenements/collections-expositions/expositions/orient-express
Tu peux y dîner je crois mais quand j'ai vu les tarifs...
Pour l'ambiance orientale ça sera à la maison avec babouches et tajine lol
Tu peux y dîner je crois mais quand j'ai vu les tarifs...
Pour l'ambiance orientale ça sera à la maison avec babouches et tajine lol
Ben tu ramène el gamila enfin....
Ben tu ramène el gamila enfin....
140 x 2 = 280€ juste le menu ils sont malades... même Cléopâtre je lui paye pas ça.
... Enfin si peut-être, mais avec Leonor Varela dans le rôle.
ça tombe très bien c'est moi!!!!140 x 2 = 280€ juste le menu ils sont malades... même Cléopâtre je lui paye pas ça.
... Enfin si peut-être, mais avec Leonor Varela dans le rôle.
BrahimAlpha
Qui que je sois, je ne suis jugé que par mes actes
c'est marrant ça me rappel quelque chose ?!
S
Soomy
Non connecté
Le "hajj", ou pèlerinage à la Mecque, est l’un des cinq piliers de l’islam. Il ne constitue une obligation pour le croyant que dans la mesure où celui-ci a les moyens physiques et matériels de l’accomplir une fois dans son existence. Le hajj doit être entrepris à une date précise du mois de "dhu al-hijja" du calendrier islamique. C'est l’occasion d’une rencontre religieuse, mais aussi sociale et culturelle, de millions de musulmans de toutes origines ethniques et géographiques.
http://www.offi.fr/expositions-muse...504/hajj-le-pelerinage-a-la-mecque-52987.html
- L’exposition Hajj, le pèlerinage à la Mecque, présentée à l'Institut du Monde Arabe, vise à mettre en avant ce pèlerinage dans ses diverses dimensions. Ces multiples facettes sont présentées à travers des objets d’art médiéval, manuscrits et enluminures, tissus d’apparats et offrandes.
- Lieu : Institut du Monde Arabe
Sous-Rubrique : Histoire / Civilisations
Date de début : 23 avril 2014Date de fin : 10 août 2014
- Voir les horaires et tarifs
http://www.offi.fr/expositions-muse...504/hajj-le-pelerinage-a-la-mecque-52987.html
BrahimAlpha
Qui que je sois, je ne suis jugé que par mes actes
tiens ça me rappel quelque chose ça aussi !!
S
Soomy
Non connecté
Ça te rappel quoi
BrahimAlpha
Qui que je sois, je ne suis jugé que par mes actes
que j'avais prévu il y a plus d'un mois de faire cette exposition...
J'ai regardé le programme bof
Surtout que vu qu'il fait beau, les musées risquent d'être bondés, encore bof
L'évènement sert surtout à rappeler que les musées existent.
La nuit peut aussi donner un charme particulier aux lieux, mais c'est loin d'être la fête des Lumières de Lyon
La fête des Lumières de Lyon, c'est du luxe sur plateau argenté.
S
Soomy
Non connecté
Du 25 au 28 septembre, la Gaîté lyrique passe à l'heure tangéroise. Au menu : concerts, films, couscous, souk..
Adulée dans les années 50, emblème de la Beat Generation, Tanger est aujourd’hui une ville de rencontres artistiques et de création. Celle que l’on nomme la ville du Détroit a été objet de fascination pour William Burroughs, Roland Barthes, Marguerite Yourcenar, Keith Richards, Jim Jarmush ou encore Jean Genet, qui y ont résidé, travaillé ou l'ont parcourue, pendant une période de leur vie. Avec l’occident à portée de vue, Tanger occupe une place à part au Maroc et son atmosphère indescriptible est une source d’inspiration pour les artistes du monde entier.
A Tanger, les rues labyrinthiques de la Médina fourmillent de petits commerces de fortune, la place du grand Socco ne désemplit jamais, les musiciens du cercle arabo-andalou jouent aux portes de la Kasbah et l’espace public tout entier déborde à toute heure du jour et de la nuit... C’est sous l’angle de regards croisés entre Tanger et le reste du monde, mais aussi entre ses mythes et son actualité la plus contemporaine, que cette Ville Invitée est abordée à la Gaîté lyrique.
http://gaite-lyrique.net/ville-invitee/tanger-tanger
Adulée dans les années 50, emblème de la Beat Generation, Tanger est aujourd’hui une ville de rencontres artistiques et de création. Celle que l’on nomme la ville du Détroit a été objet de fascination pour William Burroughs, Roland Barthes, Marguerite Yourcenar, Keith Richards, Jim Jarmush ou encore Jean Genet, qui y ont résidé, travaillé ou l'ont parcourue, pendant une période de leur vie. Avec l’occident à portée de vue, Tanger occupe une place à part au Maroc et son atmosphère indescriptible est une source d’inspiration pour les artistes du monde entier.
A Tanger, les rues labyrinthiques de la Médina fourmillent de petits commerces de fortune, la place du grand Socco ne désemplit jamais, les musiciens du cercle arabo-andalou jouent aux portes de la Kasbah et l’espace public tout entier déborde à toute heure du jour et de la nuit... C’est sous l’angle de regards croisés entre Tanger et le reste du monde, mais aussi entre ses mythes et son actualité la plus contemporaine, que cette Ville Invitée est abordée à la Gaîté lyrique.
http://gaite-lyrique.net/ville-invitee/tanger-tanger
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Soomy
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Expo et délices : un petit coin de Tanger à la Gaité Lyrique
Laissez-vous porter par l’ambiance effervescente de Tanger. Une atmosphère électrique qui secoue la Gaîté Lyrique tout le week-end à l’occasion d’un festival haut en couleurs et riche en animations.
Concerts, expos de photos et d’affiches de films, ciné, littérature… Toute la culture tangéroise se délocalise à Paris et plus encore.
La gigantesque couscous party de vendredi est un bon prétexte pour mettre la main à la pâte (ou plutôt à la semoule). Car là-bas, bonne bouffe rime avec partage, le tout rythmé aux sons des platines des DJs (20h-minuit, à p. de 2,50€ la bouchée).
Autres temps forts, le souk de créateurs façon médina (samedi et dimanche) pour dénicher des créations de designers tangérois et de frenchies en lien avec le Maroc (artisanat, design, textile) et l’immanquable brunch à l’orientale dimanche concocté par des cuisiniers marocains (pastilla de pigeon, tajine de poisson… De 12h à 15h, comptez 20€).
Le plus : un parcours connecté et sonore grâce à l’appli Sonosphères à télécharger d’urgence sur son smartphone.
Plus d’informations et billetterie sur le site de la Gaîté Lyrique.
Tanger, Tanger, Du 25 au 28 septembre 2014
http://www.doitinparis.com/fr/sorti...petit-coin-de-tanger-a-la-gaite-lyrique-18296
Laissez-vous porter par l’ambiance effervescente de Tanger. Une atmosphère électrique qui secoue la Gaîté Lyrique tout le week-end à l’occasion d’un festival haut en couleurs et riche en animations.
Concerts, expos de photos et d’affiches de films, ciné, littérature… Toute la culture tangéroise se délocalise à Paris et plus encore.
La gigantesque couscous party de vendredi est un bon prétexte pour mettre la main à la pâte (ou plutôt à la semoule). Car là-bas, bonne bouffe rime avec partage, le tout rythmé aux sons des platines des DJs (20h-minuit, à p. de 2,50€ la bouchée).
Autres temps forts, le souk de créateurs façon médina (samedi et dimanche) pour dénicher des créations de designers tangérois et de frenchies en lien avec le Maroc (artisanat, design, textile) et l’immanquable brunch à l’orientale dimanche concocté par des cuisiniers marocains (pastilla de pigeon, tajine de poisson… De 12h à 15h, comptez 20€).
Le plus : un parcours connecté et sonore grâce à l’appli Sonosphères à télécharger d’urgence sur son smartphone.
Plus d’informations et billetterie sur le site de la Gaîté Lyrique.
Tanger, Tanger, Du 25 au 28 septembre 2014
http://www.doitinparis.com/fr/sorti...petit-coin-de-tanger-a-la-gaite-lyrique-18296