Victoire historique : un expert sous influence de l’industrie est sanctionné par l’Ordre des médecins
6 décembre 2018/
Pour la première fois, un médecin qui n’a pas déclaré ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique lors de ses interventions médiatiques vient de recevoir une sanction de la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins. Cet avertissement fait suite à la plainte en février 2017 de l’association E3M, qui se mobilise pour faire reconnaître la dangerosité de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal.
C’est une avancée historique : jamais encore l’Ordre des médecins n’avait prononcé une telle sanction à l’égard d’un médecin expert en vaccination. Début 2017, le Dr Cohen était le chef de file des associations de professionnels de santé demandant l’extension de l’obligation vaccinale. Il a alors publiquement tenu des propos que nous, association E3M, avions vivement contesté. Mais surtout, il n’a pas déclaré ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, alors que la loi l’y oblige (articles L. 4113-13 et R 4113-110 du Code de santé publique). C’est à la suite de ces passages médiatiques que nous avions porté plainte.
6 décembre 2018/
Pour la première fois, un médecin qui n’a pas déclaré ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique lors de ses interventions médiatiques vient de recevoir une sanction de la chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins. Cet avertissement fait suite à la plainte en février 2017 de l’association E3M, qui se mobilise pour faire reconnaître la dangerosité de l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal.
C’est une avancée historique : jamais encore l’Ordre des médecins n’avait prononcé une telle sanction à l’égard d’un médecin expert en vaccination. Début 2017, le Dr Cohen était le chef de file des associations de professionnels de santé demandant l’extension de l’obligation vaccinale. Il a alors publiquement tenu des propos que nous, association E3M, avions vivement contesté. Mais surtout, il n’a pas déclaré ses liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, alors que la loi l’y oblige (articles L. 4113-13 et R 4113-110 du Code de santé publique). C’est à la suite de ces passages médiatiques que nous avions porté plainte.