Création d'anti-corps spécifiques.
http://anne.decoster.free.fr/d1viro/introvir.html
( faire défiler le cours jusqu'à ;
c) réactions de l'organisme, et plus particulièrement
défenses spécifiques. )
En théorie Docours a raison.
En pratique...on peut tout voir.
Nous absorbons tous de l’aluminium, principalement par voie digestive avec les aliments qui en contiennent de manière naturelle. Nous ingérons aussi del'aluminium avec les additifs alimentaires et les médicaments qui contiennent ce métal, ainsi qu'avec les boissons et les aliments cuits ou conservés dans des ustensiles en aluminium. Fort heureusement, une partie de cet aluminium ne passera pas la
barrière intestinale et sera éliminée avec les excréments. Des cosmétiques contenant
de l'aluminium apportent eux aussi à l'organisme leur charge aluminique.
Mais combien de personnes réalisent que nos pauvres nourrissons sont submergés
par des doses incroyables d’aluminium quand ils reçoivent des vaccins ? Les vaccins
injectés directement dans le milieu intérieur court-circuitent les barrières naturelles de la peau et des muqueuses et l'aluminium qu'ils contiennent se retrouve très rapidement dans le sang.
La voie d’élimination de loin la plus importante de l'aluminium sanguin est l’excrétion urinaire, mais la fonction urinaire est encore bien faible chez les nourrissons et l’aluminium ira s’accumuler dans leurs organes.
A titre indicatif, l’eau est considérée comme potable si elle contient moins de 100 microgrammes d’aluminium par litre
Or, certains vaccins en contiennent jusqu’à 1250 microgrammes.
En raison de son faible volume liquidien, après un vaccin, le nourrisson pourra avoir dans ses liquides
corporels une concentration d’aluminium 20 à 40 fois supérieure, voire davantage, à celle de l’eau potable.
Si l’injection du vaccin est intramusculaire, une grande partie de cet aluminium s’accumulera dans le
muscle ayant reçu l’injection et il pourra en résulter des troubles musculo-articulaires très invalidants du type fatigue chronique ou myofasciite à macrophages.
L’aluminium est utilisé dans les vaccins pour sa fonction adjuvante, c’est-à-dire pour le renforcement de la stimulation du système immunitaire. Malheureusement l’aluminium oriente préférentiellement la
réponse immunitaire vers une production importante d’anticorps, ce qui peut conduire au développement d'allergies, voire, dans certains cas, de maladies auto-immunes.
étude du Dr Pilette,
Michel Georget
Agrégé de biologie (France),
professeur honoraire des Classes préparatoires aux grandes écoles biologiques ,
auteur de « Vaccinations, les vérités indésirables »
mam