@Docours Les parents sont devant les écoles à échanger entre eux et à se demander ce qui arrivent à leurs enfants, toi tu devrais propagander ces gens et leur dire:"Non mais vous vous trompez, la science le prouve, ils n'arrivent rien à vos enfants, c'est comme avant, juste avant vous n'aviez pas la science pour vous en rendre compte"!
Et encore une fois, tu poses TES mots dans mes écrits au lieu de te contenter de ce que je dis.
Donc, soit c'est malveillant soit tu n'as rien compris à ce que je disais. Parce que je dis exactement le contraire. Ca fait 4 messages, désormais, que je dis exactement le contraire de ce que tu mets entre guillemets. Pas "un peu différent" ou "nuancé", non, exactement l'inverse.
Je me répète donc une dernière fois et je vais bien mettre en gras les passages importants, parce que tu sembles les rater à chaque fois.
"Ces enfants
ont des troubles avérés et prouvés scientifiquement. Certains cas qui,
dans le temps, auraient été considérés comme
inexistants ou mal catégorisés sont
aujourd'hui bien
mieux diagnostiqués, grâce aux progrès dans le domaine, les investissements nombreux et les études qui sortent sur le sujet. Puisque nous sommes
plus précis, le nombre de
diagnostiques corrects augmentent, c'est simplement mathématique. Si ce n'était pas le cas, si le nombre n'augmentait pas, la science ferait mal son boulot.
Par contre, concernant les vaccins, puisque c'est le sujet, aucune des
milliers d'études
indépendantes n'a établi quelconque lien de
causalité entre la vaccination et l'autisme. Il est donc
déraisonnable d'affirmer le contraire
sans preuves"
Donc, je te demande encore une fois d'arrêter de déformer mes propos et de ne répondre qu'à ce que je dis, rien de plus. Il s'agit de discuter de faits scientifiques, pas de sentiments. L'appel au pathos, comme argument que tu présentes, n'a tout simplement pas sa place dans une discussion qui porte sur le raisonnement, la logique et la qualité des preuves/faits présentés.
Que tu te sentes impliqué, tant mieux, il faut l'être pour faire le boulot que tu fais. Ceci dit, le rôle d'un professionnel est aussi de mettre le subjectif de coté (ses sentiments, ses préjugés, ses présupposés) afin d'étudier les faits concernant son métier. Aujourd'hui, il n'y a AUCUN fait qui ne va dans le sens que tu présentes concernant une relation entre la vaccination et l'autisme.
Et, parce que je peux tout à fait me tromper, si tu as des preuves du contraire, je serais heureux de les étudier. Parce que c'est justement ça que je dis depuis le début : je suis prêt à changer complètement mon avis sur la question tant qu'on m'apporte des preuves concrètes de mon/mes erreur(s). J'ai aucun problème à faire un virage à 180° si tu me montres mes erreurs.