Actualité de l'extrême droite en France

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Ce n'est pas plus Macron qu'un autre, le RN progresse parce que personne les problèmes qu'il dénonce sont réels et que personne ne s'en occupe.

Les problèmes écologiques sont réels et les partis écologiques ne progresse pas !
Les problèmes que dénonce le RN sont de la distraction pour ne pas s'attaquer aux vrais probléme cruciaux ! On sera mort de chaud et de faim avant d'être grand remplacé !
 
Ce n'est pas plus Macron qu'un autre, le RN progresse parce que personne les problèmes qu'il dénonce sont réels et que personne ne s'en occupe.
Le projet de loi sur l'asile et l'immigration a pour objet de « contrôler l'immigration et d'améliorer l'intégration » des étrangers en France. Il s'agit du 22ème texte sur l'immigration en 30 ans.
Et autant de Loi dit sécuritaire , anti terroriste ...
Par exemple 1987:
 
Les problèmes écologiques sont réels et les partis écologiques ne progresse pas !
jusqu'à une date récente, les problèmes écologiques n'avaient pas de conséquence pour M tout le monde.
Avec les incendies, les tempêtes et les inondations, cela va peut être changer.
Le RN ne progressait pas non plus quand il n'y avait pas de problème d'immigration
 
Les problèmes écologiques sont réels et les partis écologiques ne progresse pas !
Les problèmes que dénonce le RN sont de la distraction pour ne pas s'attaquer aux vrais probléme cruciaux ! On sera mort de chaud et de faim avant d'être grand remplacé !
Zou, comme en Italie les écolos :fou: ...la peste brune commence a sévir!!

Les manifestations écolos criminalisées, les militants risqueront la prison​


L’Italie de Giorgia Meloni s’attaque aux manifestants climatiques. Le texte, baptisé “anti-Gandhi” par ses opposants car il vise les militants pacifiques
Les manifestations écolos criminalisées, les militants risqueront la prison

L’Italie de Giorgia Meloni s’attaque aux manifestants climatiques. Le texte, baptisé “anti-Gandhi” par ses opposants car il vise les militants pacifiques
Bloquer une route pour protester contre l’inaction climatique ? Le gouvernement italien de Giorgia Meloni entend frapper fort contre les manifestants, même pacifiques, visant en particulier les militants écologistes qui risquent désormais la prison.

Le projet de loi – baptisé par ses opposants “anti-Gandhi” d’après l’icône pacifiste de la décolonisation indienne – l’occupation d’une route hors du parcours autorisé lors d’une manifestation, auparavant punie par une amende de 1 000 à 4 000 euros, est désormais passible d’une peine allant jusqu’à deux ans de prison. Ce texte “Sécurité”, déjà voté par les députés, est actuellement à l’examen au Sénat, où il devrait être définitivement adopté dans les jours qui viennent.

 

Fausses preuves pour emploi fantôme : nouvelles révélations sur Jordan Bardella​


Publié le 5 octobre 2024

L’actuel président du RN, Jordan Bardella, a-t-il truqué près de 1500 pages de documents pour maquiller l’emploi fictif qu’il a occupé en 2015 au Parlement européen ? Après de premières révélations, publiées en septembre, Libération a eu accès à de nouvelles pièces, bien plus nombreuses et toujours aussi incriminantes pour Bardella, qui n’est pourtant pas concerné par le procès en cours visant le RN et nombre de ses cadres, dont Marine Le Pen.

Ces 1 500 pages ne sont pas le genre de faux qu’on bidouille sur un coin de table : imprimé, le dossier est épais de 12 cm de haut et pèse dans les 5 kilos. Il s’agit, pour une grande partie, d’une revue de presse, classée en 18 chapitres, pour autant de semaines, de mi-février à juin 2015, signés à chaque fois par Jordan Bardella.

On peut y lire «revue de presse pour JF Jalkh», le nom de famille du député européen auquel était rattaché Bardella, à l’époque où il était censé travailler pour lui. Ce qu’il n’a, semble-t-il, jamais fait. Ou bien tard… Les faux documents consultés par Libération n’ont pas été réalisés en 2015, quand le jeune homme était alors en contrat, mais plus de deux ans après, en 2017, pour attester a posteriori, et faussement, de son prétendu travail.

Récemment interrogé au sujet des révélations de Libé, Bardella a expliqué via son «porte-parole», l’avocat et eurodéputé RN Alexandre Varaut, que «l’agenda, c’est un faux» : il «n’a jamais écrit ces trucs-là. Cela ressemble à son écriture, mais ce n’est pas la sienne». En résumé : face aux éléments contre lui, il concède que de fausses preuves de travail ont bien été fabriquées pour maquiller son emploi fictif de 2015, mais fait savoir qu’il n’aurait pas participé à leur conception.

Cette version est contredite par de nombreux témoignages et les documents obtenus par Libération. Plusieurs sources ont reconnu formellement son écriture sur les fausses preuves de travail, par ailleurs comparées plusieurs fois et de manière poussée, et soumises par Libé à une analyse graphologique professionnelle. Celle-ci a conclu qu’il n’y avait aucun doute quant à l’identité de leur auteur.
 

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Albi : les militants identitaires condamnés
Il faudrait «préserver l’existence de notre peuple et l’avenir des enfants blancs», proclamaient les affiches qu’ont placardées ces militants identitaires, illustrées par une femme armée d’un fusil. Agés respectivement de 21 et 22 ans, Foucauld et Géraud Pacotte avaient été interpellés en décembre après leur opération nocturne de collage, rappelle la Dépêche. Les deux frères ont été condamnés à quatre mois de prison avec sursis jeudi par le tribunal correctionnel d'Albi pour provocation à la haine raciale. Le slogan de leur affiche reprend une célèbre maxime du néonazi américain David Lane, mort derrière les barreaux en 2007 alors qu’il purgeait une peine de 150 ans de prison pour l’assassinat d’un avocat juif. Foucauld et Géraud sont les fils de Christophe Pacotte, un cadre du FN des années 1980 qui fut aussi chef de cabinet de Robert Ménard à Béziers en 2014 et qui dirige désormais une association identitaire toulousaine, le Cercle des Capitouls. Leur grand frère Enguerrand était également le leader de Furie française, petite bande d’activistes racistes qui sévit dans la Ville rose, avant de s’expatrier l’an dernier en Bretagne où il continue de militer. Une famille en brun.
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