De toutes façons, que les enfants soient issus d'un mariage polygame, d'un mariage homo (avec un peu d'aide ), d'un mariage de mécréants ou de croyants (voire les deux ), d'une liaison, d'un pacs ou je ne sais quoi encore (d'une partouze ?), ce qui compte avant tout pour eux, c'est qu'ils soient choyés, aimés, éduqués, protégés (liste non exhaustive).
Si les deux parents sont de bons parents pour leurs enfants, s'ils les aiment (et le reste précédemment dit), pourquoi les condamner à la prison, privant ainsi les enfants d'un de leurs parents ?
Si les parents ne s'entendent plus et qu'un des deux va chercher le réconfort, la tendresse ou l'affection ailleurs, pourquoi le condamner ?
Il n'est pas forcément obsédé sexuel, il recherche parfois autre chose que sa compagne ou son compagnon ne lui procure pas ou plus, pas forcément du sexe.
Peut-être qu'au départ, il ne pense pas tromper son conjoint ou sa conjointe et ne songe donc pas à divorcer et puis ça se termine en "adultère", est-ce une faute si grande qu'il faille l'envoyer en prison (ou pire ?)
Combien de couples mariés restent ensemble "pour les enfants" et finissent par se détester mutuellement ? tout ça parce que le divorce serait un déshonneur (ou autre chose).
Je vois parfois en France des papas qui s'occupent beaucoup plus de leur enfants depuis qu'ils sont divorcés, garde partagée oblige (alors qu'avant ils n'avaient pas le temps et qu'il laissait à la maman le soin de s'occuper de tout, notamment de l'éducation et des loisirs des enfants)
Naturellement l'idéal pour les enfants est un foyer uni avec des parents qui s'aiment et qui sont heureux (la petite maison dans la prairie), je n'ai pas eu cette chance mais je n'en veux pas à mes parents, je ne juge pas de leur vie et ne connait pas les difficultés qu'ils ont rencontrés ensemble.
Personne n'est parfait et on fait ce qu'on peut pour rendre nos enfants heureux, personne n'est à l'abri du désamour du parent de ses enfants (désamour qui peut être progressif sans qu'on ne s'en rende compte vraiment)
Et si l'adultère est une affaire privée entre deux adultes, il reste à "épargner" les enfants et ne pas rentrer dans une stupide campagne de dénigrement de l'autre, à continuer à vivre en respectant les choix de l'autre (sauf si c'est un gros ****** / ou une ****** mais on le dit en privé...)
Si les deux parents sont de bons parents pour leurs enfants, s'ils les aiment (et le reste précédemment dit), pourquoi les condamner à la prison, privant ainsi les enfants d'un de leurs parents ?
Si les parents ne s'entendent plus et qu'un des deux va chercher le réconfort, la tendresse ou l'affection ailleurs, pourquoi le condamner ?
Il n'est pas forcément obsédé sexuel, il recherche parfois autre chose que sa compagne ou son compagnon ne lui procure pas ou plus, pas forcément du sexe.
Peut-être qu'au départ, il ne pense pas tromper son conjoint ou sa conjointe et ne songe donc pas à divorcer et puis ça se termine en "adultère", est-ce une faute si grande qu'il faille l'envoyer en prison (ou pire ?)
Combien de couples mariés restent ensemble "pour les enfants" et finissent par se détester mutuellement ? tout ça parce que le divorce serait un déshonneur (ou autre chose).
Je vois parfois en France des papas qui s'occupent beaucoup plus de leur enfants depuis qu'ils sont divorcés, garde partagée oblige (alors qu'avant ils n'avaient pas le temps et qu'il laissait à la maman le soin de s'occuper de tout, notamment de l'éducation et des loisirs des enfants)
Naturellement l'idéal pour les enfants est un foyer uni avec des parents qui s'aiment et qui sont heureux (la petite maison dans la prairie), je n'ai pas eu cette chance mais je n'en veux pas à mes parents, je ne juge pas de leur vie et ne connait pas les difficultés qu'ils ont rencontrés ensemble.
Personne n'est parfait et on fait ce qu'on peut pour rendre nos enfants heureux, personne n'est à l'abri du désamour du parent de ses enfants (désamour qui peut être progressif sans qu'on ne s'en rende compte vraiment)
Et si l'adultère est une affaire privée entre deux adultes, il reste à "épargner" les enfants et ne pas rentrer dans une stupide campagne de dénigrement de l'autre, à continuer à vivre en respectant les choix de l'autre (sauf si c'est un gros ****** / ou une ****** mais on le dit en privé...)