elle n'avais d'autre choix que d'epousé son bourreau, que lui reste t'il, vivre un enfer,bien sur je ne cautione pas le suicide loin de la encore un violeur en liberté .
Justement, c'est là que je me pose la question.
Elle avait le choix, mais le lui a-t-on laissé ? (à cause de ce bourreau, et aussi de ses parents ! ! ! - peut-être que ces derniers étaient contents de se débarrasser d'une fille impur, etc)
Il y a, au Maroc, diverses associations pour aider les femmes. Mais était-elle seulement au courant ? (enfermement social de la femme)
Il n'y a pas cette obligation.
Pour ma part, au vu de la situation, c'est son suicide que je trouve compréhensible.
Maintenant, il faut voir où se trouve le point de départ de ce genre de choses : n'est-ce pas notamment dans la sacralisation de la virginité, une fille qui a eu une relation (ici, victime de viol en plus) serait considérée comme coupable.
On voit la peine : devoir être violée tous les jours.
Dans d'autres pays, c'est la femme victime de viol qui est lapidée parce que les textes n'évoquent pas la notion de consentement de la femme !