et ils vendaent des kilos de shit aussi?
non mais arrétte avec ta propagande
La chute de Constantinople se déroula dans une violence dantesque.
Critobule, ce chrétien passé plus tard au service du sultan, raconte :
« Aucune tragédie, écrit-il, ne pourra jamais égaler celle-ci en horreur. Spectacle navrant et terrible ! On massacrait des malheureux qui, sortis des maisons couraient par les rues, attirés par les cris, et tombaient sous le glaive avant davoir saisi la réalité. On les massacrait dans les maisons où parfois ils se défendaient, et dans les églises où ils se réfugiaient. Les soldats turcs enragés... ne faisaient aucun quartier. »
« Quand ils eurent massacré et quil ny eut plus aucune résistance, ils ne pensèrent plus quà piller, et séparpillèrent, volant, dérobant, pillant, tuant, violant, faisant captifs hommes, femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, prêtres, hommes de tout âge, de toute condition... il y en eut (des vierges) qui furent surprises dans leur sommeil, agité de mauvais songes, par ces brigands aux mains sanglantes, aux traits respirant la fureur la plus abjecte.
Cette cohue de toutes les nations, ces brute effrénées, se ruaient dans leurs maisons ; les arrachaient, les traînaient, les déchiraient, les forçaient, les déshonoraient, les violentaient dans les carrefours, leur faisant les plus affreux outrages. » Les sens assouvis, les Turcs se livrent au pillage. Magasins, maisons, palais, églises, tout sera dévasté.
Toujours, selon Critobule « Les temples furent déshonorés, saccagés et pillés... Les objets sacrés, jetés à terre avec mépris, les saintes icônes et les vases sacrés profanés. On arrachait les ornements sacerdotaux, on les brûlait, on les brisait en morceaux, ou simplement on les jetait à la rue. On violait brutalement les châsses des saints pour en arracher les reliques et les jeter au vent. Les calices, les coupes du saint sacrifice étaient réservées pour leurs orgies ou brisées, ou fondues ou vendues. Les vêtements des prêtres, brodés dor, de perles et de gemmes, étaient cédés au plus offrant ou jetés au feu pour en retirer lor fondu. »
En Occident aussi limpression fut prodigieuse. La prise de Constantinople stupéfia les esprits. Personne ne la croyait possible. Chacun, en tout cas, comprit quavec la chute de Byzance une page était définitivement tournée dans lhistoire du monde.
Critobule, ce chrétien passé plus tard au service du sultan, raconte :
« Aucune tragédie, écrit-il, ne pourra jamais égaler celle-ci en horreur. Spectacle navrant et terrible ! On massacrait des malheureux qui, sortis des maisons couraient par les rues, attirés par les cris, et tombaient sous le glaive avant davoir saisi la réalité. On les massacrait dans les maisons où parfois ils se défendaient, et dans les églises où ils se réfugiaient. Les soldats turcs enragés... ne faisaient aucun quartier. »
« Quand ils eurent massacré et quil ny eut plus aucune résistance, ils ne pensèrent plus quà piller, et séparpillèrent, volant, dérobant, pillant, tuant, violant, faisant captifs hommes, femmes, enfants, vieillards, jeunes gens, moines, prêtres, hommes de tout âge, de toute condition... il y en eut (des vierges) qui furent surprises dans leur sommeil, agité de mauvais songes, par ces brigands aux mains sanglantes, aux traits respirant la fureur la plus abjecte.
Cette cohue de toutes les nations, ces brute effrénées, se ruaient dans leurs maisons ; les arrachaient, les traînaient, les déchiraient, les forçaient, les déshonoraient, les violentaient dans les carrefours, leur faisant les plus affreux outrages. » Les sens assouvis, les Turcs se livrent au pillage. Magasins, maisons, palais, églises, tout sera dévasté.
Toujours, selon Critobule « Les temples furent déshonorés, saccagés et pillés... Les objets sacrés, jetés à terre avec mépris, les saintes icônes et les vases sacrés profanés. On arrachait les ornements sacerdotaux, on les brûlait, on les brisait en morceaux, ou simplement on les jetait à la rue. On violait brutalement les châsses des saints pour en arracher les reliques et les jeter au vent. Les calices, les coupes du saint sacrifice étaient réservées pour leurs orgies ou brisées, ou fondues ou vendues. Les vêtements des prêtres, brodés dor, de perles et de gemmes, étaient cédés au plus offrant ou jetés au feu pour en retirer lor fondu. »
En Occident aussi limpression fut prodigieuse. La prise de Constantinople stupéfia les esprits. Personne ne la croyait possible. Chacun, en tout cas, comprit quavec la chute de Byzance une page était définitivement tournée dans lhistoire du monde.