C'est même pas vrai
Si si
C'est même pas vrai
... Et puis il y a eu Shrek ....Bonjour,
Il y a aussi et sûrement l'idée latente et largement véhiculée depuis des siècles (cf. Peinture, littérature) que le beau est le bien. Dans l'imaginaire collectif, cette idée perdure encore.
Il suffit de lire les contes par exemple pour voir que le mal est toujours représenté de façons a s'éloigner des normes de l'époque de beauté. Et ceci est d'autant plus vrai chez les femmes.
Il y a également l'idée, souvent stupide d'ailleurs, que le beau selon les canons de beauté de l'époque est un élément démonstratif de la bonne santé de la personne. Je prends l'exemple de de la corpulence et de l'évolution de la perception de celle-ci en fonction de ce que le ras représente d'être bien nourri ou non.
Enfin, je rajouterai que l'objétisation de la femme comme un accessoire à exposer est aussi prépondérant dans cette exigence de beauté. Je ne sais si tu as lu La société des loisirs de Veblen mais il y consacre tout un pan de son analyse en la mettant en parallèle avec l'avènement d'une société de consommation. Je te conseille le livre si jamais.
et sa femme, elle s'appelle comment déjà?... Et puis il y a eu Shrek ....
Ahahahahaha voilà, changement de paradigme.... Et puis il y a eu Shrek ....
Fiona ! hahaet sa femme, elle s'appelle comment déjà?
Coucou IbnouNtiya 3alam ya @marokaine2frans , mchiti b3id
L'mra ketbatlik un argumentaire structuréNtiya 3alam ya @marokaine2frans , mchiti b3id
Chti à khouiti Ch3aybya kifèch khouya Ibnou mssta9bèlniL'mra ketbatlik un argumentaire structuré
Ou ntaya c'est comme ça que tu lui réponds
Iwa swab hada
A ton avis ?
La drague
La revanche ? c'est ça @IbnouCid@LIDEALISTE n'en profite pas pour draguer ! lol
Belles belles belles comme le jour
Belles belles belles comme l'amour…
MDR, il manquait que ça, tu veux me dicter ce que tu veux entendre ?tout seul le mec, t'aurais du t'arreter à d'accord chef, à la cool.
Ben j'ai pas le droit de lire-relire et re relire ?T'as relu et eu une autre lecture soudain ?
Je te permet pas de me parler sur ce ton, je trouve ta réaction disproportionnée par rapport à mon commentaire, on dirait que tu joues ta vie là, quelle mouche ta piqué, respire un bon coup, ce n'est que du virtuel.....Faire la grosse reloue grosse teubée ca te connait on dirait
Je vais faire mieux. t'ignorer, tu n'es pas normal!Ferme là.
@Ebion oui les femmes sont plus belles que les guenons et nous sommes plus intelligents que les baboins Ok pour ta reponse.
C'est tout ce que tu as retenu?
MDR, il manquait que ça, tu veux me dicter ce que tu veux entendre ?
Ben j'ai pas le droit de lire-relire et re relire ?
Je te permet pas de me parler sur ce ton, je trouve ta réaction disproportionnée par rapport à mon commentaire, on dirait que tu joues ta vie là, quelle mouche ta piqué, respire un bon coup, ce n'est que du virtuel.....
Je vais faire mieux. t'ignorer, tu n'es pas normal!
PS: C'est la dernière fois que je t'adresse la parole
Fin de la discussion.
Salut,
Je discutais avec une nana à propos de la photo d'une femme noire peinturlurée de fond de teint blanc.
Elle a dit : "On dirait une femme qui pense qu'il faut être blanche pour être belle."
J'ai dit : "On dirait une femme qui pense qu'il faut être belle."
Pas peu fier de ma petite phrase péremptoire, je me suis alors demandé d'où venait ce besoin impérieux, absolu et universel d'être (vouloir être, se faire) belle ?
La réponse "Pour plaire aux(à son) homme(s)" n'étant pas recevable : oubliez les hommes, et imaginez qu'on les a tous déportés sur Mars, le marché de la beauté prospèrerait tout de même.
La réponse "Non moi je suis une femme et je m'en fous royal" non plus : je vous vois venir le gang des batatas, ne mentez pas.
La réponse "Ouais mais les hommes aussi veulent être beau" non plus : on s'en fout des hommes, un homme çà devrait chasser le mammouth, à la base.
Merci de votre participation à élucider ce mystère
En même temps elle est lesbienne, donc que les hommes ne s'intéressent pas à elle ne devrait pas être un problème"J'écris de chez les moches, pour les moches, les vieilles, les camionneuses, les frigides, les mal baisées, les imbaisables, les hystériques, les tarées, toutes les exclues du grand marché à la bonne meuf. Et je commence par là pour que les choses soient claires : je ne m'excuse de rien, je ne viens pas me plaindre. Je n'échangerais ma place contre aucune autre parce qu'être Virginie Despentes me semble être une affaire plus intéressante à mener que n'importe quelle autre affaire.
Je trouve ça formidable qu'il y ait aussi des femmes qui aiment séduire, qui sachent séduire, d'autres se faire épouser, des qui sentent le sexe et d'autres le gâteau du goûter des enfants qui sortent de l'école. Formidable qu'il y en ait de très douces, d'autres épanouies dans leur féminité, qu'il y en ait de jeunes, très belles, d'autres coquettes et rayonnantes. Franchement, je suis bien contente pour toutes celles à qui les choses telles qu'elles sont conviennent. C'est dit sans la moindre ironie. Il se trouve simplement que je ne fais pas partie de celles-là. Bien sûr que je n'écrirais pas ce que j'écris si j'étais belle, belle à changer l'attitude de tous les hommes que je croise. C'est en tant que prolotte de la féminité que je parle, que j'ai parlé hier et que je recommence aujourd'hui.
Quand j'étais au RMI, je ne ressentais aucune honte d'être exclue, juste de la colère. C'est la même en tant que femme : je ne ressens pas la moindre honte de ne pas être une super bonne meuf. En revanche, je suis verte de rage qu'en tant que fille qui intéresse peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne devrais même pas être là. On a toujours existé. Même s'il n'était pas question de nous dans les romans d'hommes, qui n'imaginent que des femmes avec qui ils voudraient coucher. On a toujours existé, on n'a jamais parlé. Même aujourd'hui que les femmes publient beaucoup de romans, on rencontre rarement de personnages féminins aux physiques ingrats ou médiocres, inaptes à aimer les hommes ou à s'en faire aimer.
Au contraire, les héroïnes contemporaines aiment les hommes, les rencontrent facilement, couchent avec eux en deux chapitres, elles jouissent en quatre lignes et elle aiment toutes le sexe. La figure de la looseuse de la féminité m'est plus que sympathique, elle m'est essentielle. Exactement comme la figure du looser social, économique ou politique. Je préfère ceux qui n'y arrivent pas pour la bonne et simple raison que je n'y arrive pas très bien, moi-même. Et que dans l'ensemble, l'humour et l'inventivité se situent plutôt de notre côté. Quand on n'a pas ce qu'il faut pour se la péter, on est souvent plus créatifs.
Je suis plutôt King Kong que Kate Moss, comme fille. Je suis ce genre de femme qu'on n'épouse pas, avec qui on ne fait pas d'enfant, je parle de ma place de femme toujours trop tout ce qu'elle est, trop agressive, trop bruyante, trop grosse, trop brutale, trop hirsute, trop virile, me dit-on. Ce sont pourtant mes qualités viriles qui font de moi autre chose qu'un cas social parmi les autres. Tout ce que j'aime de ma vie, tout ce qui m'a sauvée, je le dois à ma virilité.
C'est donc ici en tant que femme inapte à attirer l'attention masculine, à satisfaire le désir masculin, et à me satisfaire d'une place à l'ombre que j'écris. C'est ici que j'écris, en tant que femme non séduisante, mais ambitieuse, attirée par l'argent que je gagne moi-même, attirée par le pouvoir, de faire et de refuser, attirée par la ville plutôt que par l'intérieur, toujours excitée par les expériences et incapable de me satisfaire du récit qu'on m'en fera. Je m'en tape de mettre la gaule à des hommes qui ne me font pas rêver. Il ne m'est jamais paru flagrant que les filles séduisantes s'éclataient tant que ça.
Je me suis toujours sentie moche, je m'en accommode d'autant mieux que ça m'a sauvée d'une vie de ***** à me coltiner des mecs gentils qui ne m'auraient jamais emmenée plus loin que la ligne bleue des Vosges. Je suis contente de moi, comme ça, plus désirante que désirable."
Virginie Despentes, King Kong Théorie
En même temps elle est lesbienne, donc que les hommes ne s'intéressent pas à elle ne devrait pas être un problème
Il ne faut pas exagérer non plus, beaucoup de femmes pas spécialement belles sont en couple donc plaisent malgré tout.Oui mais ça change pas le problème de fond : pour les mecs, ou bien les femmes sont belles, ou bien elles n'existent pas...
Phrase factuelle dénuée de jugement fondée sur une réalité sociale et historique!Les hommes et femmes préhistoriques se maquillaient déjà, portaient des ornements, des bijoux.
En même temps elle est lesbienne, donc que les hommes ne s'intéressent pas à elle ne devrait pas être un problème
Une ancienne collègue qui était tout le temps nature avait un charme fou... Bien au delà de bien d'autres sur-maquillées... Et était contente du temps fou qu'elle gagnait chaque matin à être prête...
la chance d'avoir une beauté naturelle
ce qui n'est pas donné à toutes
Par coquetterie tout simplement. Par amour de soi, narcissicime sain et assume. J'aime me faire belle car ca me rend de bonne humeur de me sentir et de me voir belle. Pas plus pas moins que caSalut,
Je discutais avec une nana à propos de la photo d'une femme noire peinturlurée de fond de teint blanc.
Elle a dit : "On dirait une femme qui pense qu'il faut être blanche pour être belle."
J'ai dit : "On dirait une femme qui pense qu'il faut être belle."
Pas peu fier de ma petite phrase péremptoire, je me suis alors demandé d'où venait ce besoin impérieux, absolu et universel d'être (vouloir être, se faire) belle ?
La réponse "Pour plaire aux(à son) homme(s)" n'étant pas recevable : oubliez les hommes, et imaginez qu'on les a tous déportés sur Mars, le marché de la beauté prospèrerait tout de même.
La réponse "Non moi je suis une femme et je m'en fous royal" non plus : je vous vois venir le gang des batatas, ne mentez pas.
La réponse "Ouais mais les hommes aussi veulent être beau" non plus : on s'en fout des hommes, un homme çà devrait chasser le mammouth, à la base.
Merci de votre participation à élucider ce mystère
Cest vrai.. Et meme quand cest le cas il faut l'entretenir, se chouchouter.la chance d'avoir une beauté naturelle
ce qui n'est pas donné à toutes