Brexit: le royaume-uni quitte l'union européenne

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion UNIVERSAL
  • Date de début Date de début
Au contraire. Comme ça l'UE fera moins concessions
En fait, c'est encore pire: l'euro-sceptique David Davis a ete nomme Ministre charge du Brexit ("Brexit-Czar"). C'est lui qui negociera avec l'UE, et contrairement a Johnson, Davis est fortement anti-UE, et pas seulement opportunistiquement anti-UE. Ca promet de devenir interessant.
 
C'est pas bien grave pour eux pour l'instant... et c'est meme fort probable qu'ils absorberont le choc plutot bien.

D'abord, les indicateurs economiques et financiers n'ont pas plonge dans le rouge comme ce que les paniqueurs ont predit. C'est plutot tres modeste ce qu'on voit, meme immediatement apres le choc.

Ensuite, le Brexit effectif n'aura pas lieu avant 2019; il n'y a donc pas encore de repercussions economiques concretes. C'est de la pure psychologie pour l'instant.

Et finalement, la zone Euro ne se porte pas bien non plus, bien au contraire...; c'est meme possible qu'en 2019/2020, la monnaie britannique sorte gagnante de cette competition des monnaies, malgre le Brexit.

Il faudra voire et boire du the...
 
Brexit: Londres propose une "zone de libre échange" avec l'UE pour l'après-Brexit

Zone de libre échange avec l'UE et nouveau modèle douanier : Theresa May a présenté vendredi sa vision de la future relation qu'elle souhaite avec l'Union européenne, assurant que ses ministres, très divisés sur le Brexit, étaient parvenus à une "position commune".

Cette proposition était attendue de longue date par les Européens, lassés des atermoiements du gouvernement britannique sur le contenu des négociations sur le divorce d'avec l'UE, prévu dans moins de neuf mois. Le plan britannique, qui confirme la fin de la libre circulation des personnes, a été dévoilé sous la forme d'un communiqué publié à l'issue d'une réunion marathon de l'exécutif à Chequers, la résidence de campagne des Premiers ministres britanniques, à 70 km au nord-ouest de Londres.

"Notre proposition créerait une zone de libre échange entre le Royaume-Uni et l'UE avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles", déclare Theresa May dans ce document, Downing Street précisant que le secteur des services ferait en revanche l'objet "d'arrangements différents".

Intensifier le travail de préparation

"Nous avons également convenu d'un nouveau modèle douanier favorable aux entreprises avec la liberté de conclure de nouveaux accords commerciaux dans le monde entier", a ajouté la Première ministre conservatrice. Selon l'exécutif britannique, ces propositions permettront d'éviter le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et l'Irlande du Nord, cette question constituant le principal point d'achoppement des négociations en cours et une inquiétude majeure pour les habitants de l'île.

Dans ce projet, Londres souligne aussi la nécessité d'"intensifier" le travail de préparation pour faire face à tous les scénarios possibles, en particulier celui d'une éventuelle sortie de l'UE sans accord avec Bruxelles, que redoutent les entreprises. Theresa May, qui publiera la semaine prochaine un livre blanc détaillant plus avant ses objectifs, précise que cette proposition résulte d'une "position commune" des membres de son gouvernement, dont les divisions sur les orientations à donner au Brexit avaient fait craindre le pire pour la réunion de vendredi à Chequers.

https://www.rtbf.be/info/monde/deta...ange-avec-l-ue-pour-l-apres-brexit?id=9966450
 
Ils sont pleins de contradictions les britanniques, ils quittent une zone de libre échange et en veulent une autre de suite après.

Les britanniques n'ont pas d'autres choix que de devenir une plateforme commerciale des États-Unis,


Tout porte à croire que le Brexit est un Fiasco économique et commercial historique comme il y en a un chaque siècle



Brexit: Londres propose une "zone de libre échange" avec l'UE pour l'après-Brexit

Zone de libre échange avec l'UE et nouveau modèle douanier : Theresa May a présenté vendredi sa vision de la future relation qu'elle souhaite avec l'Union européenne, assurant que ses ministres, très divisés sur le Brexit, étaient parvenus à une "position commune".

Cette proposition était attendue de longue date par les Européens, lassés des atermoiements du gouvernement britannique sur le contenu des négociations sur le divorce d'avec l'UE, prévu dans moins de neuf mois. Le plan britannique, qui confirme la fin de la libre circulation des personnes, a été dévoilé sous la forme d'un communiqué publié à l'issue d'une réunion marathon de l'exécutif à Chequers, la résidence de campagne des Premiers ministres britanniques, à 70 km au nord-ouest de Londres.

"Notre proposition créerait une zone de libre échange entre le Royaume-Uni et l'UE avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles", déclare Theresa May dans ce document, Downing Street précisant que le secteur des services ferait en revanche l'objet "d'arrangements différents".

Intensifier le travail de préparation

"Nous avons également convenu d'un nouveau modèle douanier favorable aux entreprises avec la liberté de conclure de nouveaux accords commerciaux dans le monde entier", a ajouté la Première ministre conservatrice. Selon l'exécutif britannique, ces propositions permettront d'éviter le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et l'Irlande du Nord, cette question constituant le principal point d'achoppement des négociations en cours et une inquiétude majeure pour les habitants de l'île.

Dans ce projet, Londres souligne aussi la nécessité d'"intensifier" le travail de préparation pour faire face à tous les scénarios possibles, en particulier celui d'une éventuelle sortie de l'UE sans accord avec Bruxelles, que redoutent les entreprises. Theresa May, qui publiera la semaine prochaine un livre blanc détaillant plus avant ses objectifs, précise que cette proposition résulte d'une "position commune" des membres de son gouvernement, dont les divisions sur les orientations à donner au Brexit avaient fait craindre le pire pour la réunion de vendredi à Chequers.

https://www.rtbf.be/info/monde/deta...ange-avec-l-ue-pour-l-apres-brexit?id=9966450
 
Ils sont pleins de contradictions les britanniques, ils quittent une zone de libre échange et en veulent une autre de suite après.

Les britanniques n'ont pas d'autres choix que de devenir une plateforme commerciale des États-Unis,


Tout porte à croire que le Brexit est un Fiasco économique et commercial historique comme il y en a un chaque siècle

Je pense qu'ils veulent la zone de libre échange pour avoir les avantages sans les contraintes à la base ils voulaient un compromis avec un statut spécial pour rester dans l'UE, ils n'ont pas pu faire cela ben ils cherchent un autre moyen pour avoir ce qui les intéressent.

En gros ils ne veulent plus contribuer à l'UE et bien réguler la migration ( ils n'apprécient pas notamment les européens des pays de l'Est qui peuvent circuler comme bon leur semble).
Il n'y à pratiquement que les relations commerciales qui les importent.

Quelque part ils ont un objectif, ils ne veulent pas le lacher, il n'y à que la forme d'arriver à leur but qui change...
 
Ils sont pleins de contradictions les britanniques, ils quittent une zone de libre échange et en veulent une autre de suite après.

[…]
Ce n’est pas exactement ça.

Les principes de l’UE font que le libre‑échange va obligatoirement avec la liberté de circuler pour les gens aussi. Les Britons (peut‑être pas tous) veulent la libre circulation des marchandises seulement, pas celle des personnes.
 
Brexit: Londres propose une "zone de libre échange" avec l'UE pour l'après-Brexit

Zone de libre échange avec l'UE et nouveau modèle douanier : Theresa May a présenté vendredi sa vision de la future relation qu'elle souhaite avec l'Union européenne, assurant que ses ministres, très divisés sur le Brexit, étaient parvenus à une "position commune".

Cette proposition était attendue de longue date par les Européens, lassés des atermoiements du gouvernement britannique sur le contenu des négociations sur le divorce d'avec l'UE, prévu dans moins de neuf mois. Le plan britannique, qui confirme la fin de la libre circulation des personnes, a été dévoilé sous la forme d'un communiqué publié à l'issue d'une réunion marathon de l'exécutif à Chequers, la résidence de campagne des Premiers ministres britanniques, à 70 km au nord-ouest de Londres.

"Notre proposition créerait une zone de libre échange entre le Royaume-Uni et l'UE avec un ensemble de règles communes pour les biens industriels et les produits agricoles", déclare Theresa May dans ce document, Downing Street précisant que le secteur des services ferait en revanche l'objet "d'arrangements différents".

Intensifier le travail de préparation

"Nous avons également convenu d'un nouveau modèle douanier favorable aux entreprises avec la liberté de conclure de nouveaux accords commerciaux dans le monde entier", a ajouté la Première ministre conservatrice. Selon l'exécutif britannique, ces propositions permettront d'éviter le retour d'une frontière physique entre l'Irlande et l'Irlande du Nord, cette question constituant le principal point d'achoppement des négociations en cours et une inquiétude majeure pour les habitants de l'île.

Dans ce projet, Londres souligne aussi la nécessité d'"intensifier" le travail de préparation pour faire face à tous les scénarios possibles, en particulier celui d'une éventuelle sortie de l'UE sans accord avec Bruxelles, que redoutent les entreprises. Theresa May, qui publiera la semaine prochaine un livre blanc détaillant plus avant ses objectifs, précise que cette proposition résulte d'une "position commune" des membres de son gouvernement, dont les divisions sur les orientations à donner au Brexit avaient fait craindre le pire pour la réunion de vendredi à Chequers.

https://www.rtbf.be/info/monde/deta...ange-avec-l-ue-pour-l-apres-brexit?id=9966450
Qu'ils aillent de faire voir ailleurs, le beurre et l'argent du beurre:fou: ....brexit dur avec taxes, frontière et visa pour pour les ressortissant UK
 
Ce n’est pas exactement ça.

Les principes de l’UE font que le libre‑échange va obligatoirement avec la liberté de circuler pour les gens aussi. Les Britons (peut‑être pas tous) veulent la libre circulation des marchandises seulement, pas celle des personnes.

comme le CETA :fou:

mam
 
Que les anglais aille se faire voir et restent dans leur île , ils ont tendance à croire qu'ils sont le nombril du monde ces hypocrites
Ce n’est pas exactement ça.

Les principes de l’UE font que le libre‑échange va obligatoirement avec la liberté de circuler pour les gens aussi. Les Britons (peut‑être pas tous) veulent la libre circulation des marchandises seulement, pas celle des personnes.
 
Les négociations entre la Grande Bretagne et l’UE, n’avancent pas. Si elles n’aboutissent pas d’ici Mars 2019, il y aura rupture sans accord. Un document encore inachevé liste les problèmes qui se poseront pour la Grande Bretagne si la rupture était brutalement actée ainsi. Il y a une série de domaines qui sont actuellement réglementés par l’UE, qui nécessiteraient de nouvelles réglementations, faisant craindre que ce ne soit le bazar pour un temps dans tous ces domaines.

Voir : Londres se prépare au scénario noir du divorce sans accord (msn.com), Août 2018.
 
Les pro-Brexit ont encouragés la sortie de l'UE en sous estimant largement les conséquences néfastes pour l'Angleterre. Aujourd'hui, de nombreuses personnalités pro-Brexit font machine arrière, ou bien se font oublier par peur des conséquences aux prochaines élections.

Sans oublier ces grosses fortunes britanniques complètement hypocrites qui délocalisent leurs activités en Europe continentale et qui feront perdre des milliers d'emplois aux britanniques.

L'Angleterre a fait une erreur historique, car le monde a beaucoup changé depuis l’époque de l'empire Britannique tout puissant. Les ultra-libéraux américains ne vont pas privilégier les Britanniques , mais vont aller aux endroits où leurs intérêts économiques et stratégiques les mèneront. Les Britanniques se rendent trop tard qu'ils ne pourront pas compter sur les américains, dont l’égoïsme et l'individualisme est symbolisé au plus haut sommet de l'état avec un Trump versatile, qui ne respecte pas sa parole et qui ne soutient pas les britanniques.

Il n'est pas étonnant de voir de plus en plus de Britanniques rallier ces contestataires qui souhaitent qu'un nouveau référendum soit soumis au peuple
 
Sommet européen : le cas italien s'ajoute au Brexit

La réunion à Bruxelles devait marquer une percée, mais la négociation entre Londres et Bruxelles risque de se prolonger. Alors que le budget présenté par l'Italie fait craindre une tempête financière.

La Première ministre britannique n’a rien proposé de nouveau au sujet du Brexit dans son discours devant les chefs d’État et de gouvernement des autres pays membres de l’Union européenne, hier-soir à Bruxelles, selon le président du Parlement européen, Antonio Tajani.

Selon une autre source européenne, il n’y a « pas assez de progrès » pour l’instant pour convoquer un sommet extraordinaire mi-novembre, plusieurs fois évoqué mais jamais confirmé jusqu’ici. Les 27 ont appelé le négociateur de l'Union, Michel Barnier, « à poursuivre ses efforts pour aboutir à un accord », a précisé cette même source.

Compte à rebours
Le 29 mars, le Royaume-Uni quittera l'Union européenne. Il peut le faire sans accord et exposer tout le monde à un choc à nos frontières. C'est ce que souhaitent, à Londres, les plus intransigeants du Brexit. Il peut aussi sortir avec un accord. C'est ce que souhaite la majorité des acteurs, y compris Theresa May, conviée à s'exprimer hier soir à Bruxelles, à l'ouverture du sommet européen. Dans ce cas, il faut que l'accord soit signé et ratifié dans les temps par les Parlements britannique et européen. « Le temps presse », reconnaissait hier une source française, même si Michel Barnier, le négociateur de l'UE, préfère poursuivre la négociation encore quelques semaines.

Hier soir, Theresa May n'a pas présenté de nouveautés majeures, mais s'est dite « convaincue de l'issue positive » des discussions. Les dirigeants européens ont jugé les résultats des négociations insuffisants. Ils ne se réuniront que lorsque M. Barnier aura fait état de progrès décisifs.

Blocages britanniques
La question des frontières est au coeur des débats. Les divergences au sein de sa majorité contraignent Theresa May à choisir entre trois maux : fragiliser les accords de paix de Belfast, si la frontière se durcit entre les deux Irlande ; fragiliser le Royaume, si elle se dessine en mer d'Irlande ; perdre sa majorité si elle renonce à une frontière.

C'est d'abord dans la sphère politique britannique que se trouve la clef du problème, et personne ne l'a encore trouvée. Pour abaisser la pression, l'UE a donné hier sa disponibilité à voir le régime transitoire (30 mars 2019-31 décembre 2020) éventuellement prolongé. Durant cette période, toutes les règles européennes continueront de s'appliquer au Royaume-Uni.

L'agenda européen...
Mais il n'y a pas que le Brexit. Ce matin, les Vingt-Huit vont se pencher sur l'épineuse question migratoire (renforcement de Frontex, accélération des procédures de retour des migrants...). Au déjeuner à Vingt-Sept, on discutera du domaine bancaire et de l'avenir de la zone euro.

... et l'agenda italien

Le projet de budget du gouvernement Conte, mêlant revenu de citoyenneté, baisse de l'âge de la retraite et amnistie fiscale, risque de creuser lourdement les déficits et inquiète Bruxelles.

lemonde

Fin octobre, les agences de notations pourraient dégrader la note de l'Italie. Une tempête italienne en plein Brexit, c'est le scénario que Bruxelles redoute.
 
Aujourd’hui a été annoncé que la Grande Bretagne et l’UE sont parvenus à un accord pour que la GB puisse continuer à fournir des « services financiers » en Europe. Cette question était apparemment la plus essentielle pour nos voisins du nord‑ouest, alors ils sont apparemment contents.

Personnellement, les « services financiers », ça ne me parle de rien de concret ni de bon, alors je ne vais pas perdre mon temps à essayer de comprendre cet accord, mais comme la question des accords après‑brexit était en suspend, je l’annonce quand‑même.
 
Aujourd’hui a été annoncé que la Grande Bretagne et l’UE sont parvenus à un accord pour que la GB puisse continuer à fournir des « services financiers » en Europe. Cette question était apparemment la plus essentielle pour nos voisins du nord‑ouest, alors ils sont apparemment contents.

Personnellement, les « services financiers », ça ne me parle de rien de concret ni de bon, alors je ne vais pas perdre mon temps à essayer de comprendre cet accord, mais comme la question des accords après‑brexit était en suspend, je l’annonce quand‑même.
et pourtant c'est simple les anglais se sont rendue compte qu'ils se sont fait avoir dans leur vote du NON perdue les avantage qu'ils bénéficiaient surtout avec les banques du coup exclue de l’Europe et que sans l’Europe ils ne sont rien font marche arrière et essaye de renégocier tant qu'ils peuvent leur adhésion mais maintenant c'est l’Europe qui leur fait du chantage
 
L’Eurobaromètre est une mesure de la perception de l’image de l’UE auprès des citoyens Européens. Il repose sur 1 000 interviews par pays et est réalisé deux fois par an.

Corrélation n’est pas toujours causalité, mais un internaute a remarqué que entre l’Eurobaromètre précédent le brexit (Eurobaromètre de Mai 2016) et celui suivant le brexit (Eurobaromètre de Novembre 2017), l’image de l’UE est devenue plus positive partout, même en Grande Bretagne.

L’internaute en question en a fait une carte. Les données sont fournies plus bas dans la page de la carte : Public image of the EU before & after brexit — Referendum by EU country (brilliantmaps.com).

Sur l’Eurobaromètre en général : Opinion publique (europa.eu).
 

Pièces jointes

  • image-of-eu-before-after-brexit.png
    image-of-eu-before-after-brexit.png
    107 KB · Affichages: 6
toutes les banques quittent petit à petit Londres, ils ont vraiment fait la plus grosse erreur de l'histoire de leur pays.

ce que des siècles n'ont pas réussi a faire à la Grande Bretagne, cet idiot de David Cameron l'a fait, l'histoire retiendra son nom comme celui qui a réussi à faire de la grande Bretagne un petit pays parmi les nations.
 
toutes les banques quittent petit à petit Londres, ils ont vraiment fait la plus grosse erreur de l'histoire de leur pays.

ce que des siècles n'ont pas réussi a faire à la Grande Bretagne, cet idiot de David Cameron l'a fait, l'histoire retiendra son nom comme celui qui a réussi à faire de la grande Bretagne un petit pays parmi les nations.
Non Cameron avait calculer son coup et c etais dans la poche mais il n avait pas anticipe le vote sucidaire de ces compatriotes
 
Non Cameron avait calculer son coup et c etais dans la poche mais il n avait pas anticipe le vote sucidaire de ces compatriotes


c’est ce que je dis, il a calculé son coup pour des élections et a sacrifié son pays....tous les jours de nouveaux services émigrent de Londres vers Paris, ils sont dans le pétrin et ils ne s'en rendent même pas encore compte.
Cameron est responsable, un politique ne doit pas confié l'avenir de son pays à un vote populaire, on peut pas demain organiser un referendum pour demander au peuple si ils souhaitent la démocratie ou la dictature, la misère ou la richesse.
 
c’est ce que je dis, il a calculé son coup pour des élections et a sacrifié son pays....tous les jours de nouveaux services émigrent de Londres vers Paris, ils sont dans le pétrin et ils ne s'en rendent même pas encore compte.
Cameron est responsable, un politique ne doit pas confié l'avenir de son pays à un vote populaire, on peut pas demain organiser un referendum pour demander au peuple si ils souhaitent la démocratie ou la dictature, la misère ou la richesse.
Oui dison qu il ne croyais pas que son peuple pouvaient etre endoctriner par une presse aussi ignorant et imature
 
Oui dison qu il ne croyais pas que son peuple pouvaient etre endoctriner par une presse aussi ignorant et imature

Oui il a joué avec le feu, il est vraiment le grand responsable et moi qui aime ce pays, je le hais. Le Royaume Désuni ne fait plus rêver personne aujourd'hui.
du coup la Grande Bretagne s'est tiré une balle dans le pied et ils vont devenir un simple petit paradis fiscal....du même niveau que la Suisse ou Hong Kong.

ça va finir par une guerre toute cette histoire.
 
toutes les banques quittent petit à petit Londres, ils ont vraiment fait la plus grosse erreur de l'histoire de leur pays.

ce que des siècles n'ont pas réussi a faire à la Grande Bretagne, cet idiot de David Cameron l'a fait, l'histoire retiendra son nom comme celui qui a réussi à faire de la grande Bretagne un petit pays parmi les nations.
C’est le plus mauvais film de Cameron ça ! :wazaa:
 
Retour
Haut