Cette guerre dite psychologique

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il ne faut pas persecuter cette image de victimes de confessions juive que l'UE a galeré pour construire auprès de l'opinion publique et la statut donné recement aussi à Israel sinon l'opinion publique risque de pas être contente de savoir qu'une partie du contribuable va ailleurs que des fins dites éco dans ce pays



à ce sujet vu que le post consacré à la diffusion de la liste de SCHINDLER a été fermé, je voulais juste dire que seuls 3 millions l'on regardé c'est l'une des pierre audiences de France 2, même capital sur la 6 est arrivé avant !!

Comme quoi.......:D


Juste
 
à ce sujet vu que le post consacré à la diffusion de la liste de SCHINDLER a été fermé, je voulais juste dire que seuls 3 millions l'on regardé c'est l'une des pierre audiences de France 2, même capital sur la 6 est arrivé avant !!

Comme quoi.......:D


Juste
plus soucieux de leur argent de contribuable pardi :langue:
 
à ce sujet vu que le post consacré à la diffusion de la liste de SCHINDLER a été fermé, je voulais juste dire que seuls 3 millions l'on regardé c'est l'une des pierre audiences de France 2, même capital sur la 6 est arrivé avant !!

Comme quoi.......:D


Juste
TANT MIEUX je me suis demandé qui allé regarder?

si c pas dégueulasse de faire ça ils voulaient nous faire pleurer?
quand j'ai vue qu'il passait me suis dit ils prennent vraiment les françaouis pour des brels!
 
petit bijou

Toute méchanceté a sa source dans la faiblesse.

t'es faible alors!!! pourquoi ne pas voir un film comme schindler list?
téllement tu détéste ces enfants et femmes innocents?
tu ne penses pas que cela pourrait t'arriver?
pas que des juifs ont payé, des gitans , des chrétiens, des gays, des communistes
et tous ceux qui étaient contre le régime d'hitler.

vous etes sans coeur.honte a vous.
 
comme quoi les gens n'ont pas envie d'oublier la douleur qu'ont a fait subir au palestiniens, et qu'ils ont enfin décidé de ne plus considéré le peuple juif comme des éternel victimes.
 
comme quoi les gens n'ont pas envie d'oublier la douleur qu'ont a fait subir au palestiniens, et qu'ils ont enfin décidé de ne plus considéré le peuple juif comme des éternel victimes.
victimes :rolleyes:

ça me fait penser à quelqu un qui a écrit que ceux qui sont aujourd'hui au pouvoir ou même ceux qui habitent à Israel ne sont des anciennes victimes de ce qui s'est passé dans le temps donc de ce fait je pense qu'il est temps que les **** au pouvoir en occident cessent de nous baratiner et nous bassiner avec cette histoire et qu'ils aillent chercher d'autres larbins du services pour alléger leur conscience, s'ils en ont encore
 
Le Hamas derrière une falsification du nombre de victimes à Gaza ?

Par Guillaume Borrione pour Guysen International News

Jeudi 22 janvier 2009 à 14:31


Les colonnes du journal italien ‘Corriere della Sera’ contiennent ce jeudi 22 janvier des révélations stupéfiantes d’un médecin travaillant à l’hôpital de Shifa à Gaza. Ce dernier a déclaré que le Hamas a obligé les équipes médicales à gonfler les chiffres des pertes palestiniennes résultant de l’opération ‘Plomb durci’. Le bilan réel serait selon le médecin gazaoui compris entre 500 et 600 victimes, soit un décompte plus de deux fois inférieur aux 1300 morts rapportés par les Palestiniens à Gaza.

« Le nombre de morts ne dépasse pas les 500-600. La plupart d’entre eux sont des jeunes âgés de 17 à 23 ans, recrutés dans les rangs du Hamas, qui les a envoyés au massacre » a déclaré le docteur palestinien qui a souhaité témoigner sous couvert de l’anonymat, craignant pour sa vie.

Un résident de Tal al-Hawa a indiqué au reporter italien que « des hommes armés du Hamas recherchaient une bonne position pour provoquer les israéliens. Il s’agissait généralement d’adolescents en armes, âgés de 16 ou 17 ans. Ils ne pouvaient rien faire contre un tank ou un avion de chasse. Ils savaient qu’ils ne faisaient pas le poids, mais ils ont tiré sur nos


maisons afin que l’on puisse blâmer Israël pour crimes de guerre ».

Corriere della Sera cite également des reporters présents dans la bande de Gaza qui accusent le Hamas d’avoir grossi les chiffres. « Nous avons déjà demandé à des commandants du Hamas pourquoi ils insistaient pour gonfler le nombre de victimes » a déclaré l’un d’eux.

Ces mêmes reporters palestiniens ont signalé qu’il pourrait s’agir d’un scénario identique à celui qui a suivi l’opération ‘Rempart’ à Jenin en 2002. « On avait d’abord parlé de 1500 morts. Puis, on s’est rendu compte que le chiffre exact était de 54. Parmi ces 54 victimes, 45 étaient des hommes armés ».

La bataille des chiffres s’annonce rude, en raison notamment de la multiplicité des sources. Toute donnée statistique avancée doit donc être prise avec précaution. Les sources « officielles », qui bien souvent tirent les leurs de sources palestiniennes, présentes dans la bande de Gaza sont les Nations Unies et la Croix Rouge. Ces dernières ont fait état de 1300 morts et plus de 5000 blessés.

Selon les Palestiniens, les trois-quarts de ces victimes étaient des civils sans armes. Le Hamas pour sa part, qui se targue d’avoir occis des soldats israéliens par douzaines, un chiffre formellement exagéré, ne revendique pas plus de 48 disparus dans les rangs de ses « combattants ». Tsahal affirme au contraire avoir tué des centaines de terroristes.

Ce jeudi 22 janvier, John Holmes, le chef de l’humanitaire à l’ONU, a commencé une tournée dans la bande de Gaza afin d’examiner l’étendue des dégâts après les 3 semaines de guerre entre les islamo-terroristes du Hamas et l’armée israélienne.

Selon lui, le nombre de pertes civiles est « extrêmement choquant ». Il a aussi enjoint Israël à mener une enquête minutieuse sur les tirs d’obus qui ont endommagé des bâtiments de l’ONU à Gaza. Des propos qui rejoignent ceux du Secrétaire général Ban Ki-Moon.
 
Le Hamas derrière une falsification du nombre de victimes à Gaza ?

Par Guillaume Borrione pour Guysen International News

Jeudi 22 janvier 2009 à 14:31


Les colonnes du journal italien ‘Corriere della Sera’ contiennent ce jeudi 22 janvier des révélations stupéfiantes d’un médecin travaillant à l’hôpital de Shifa à Gaza. Ce dernier a déclaré que le Hamas a obligé les équipes médicales à gonfler les chiffres des pertes palestiniennes résultant de l’opération ‘Plomb durci’. Le bilan réel serait selon le médecin gazaoui compris entre 500 et 600 victimes, soit un décompte plus de deux fois inférieur aux 1300 morts rapportés par les Palestiniens à Gaza.

« Le nombre de morts ne dépasse pas les 500-600. La plupart d’entre eux sont des jeunes âgés de 17 à 23 ans, recrutés dans les rangs du Hamas, qui les a envoyés au massacre » a déclaré le docteur palestinien qui a souhaité témoigner sous couvert de l’anonymat, craignant pour sa vie.

Un résident de Tal al-Hawa a indiqué au reporter italien que « des hommes armés du Hamas recherchaient une bonne position pour provoquer les israéliens. Il s’agissait généralement d’adolescents en armes, âgés de 16 ou 17 ans. Ils ne pouvaient rien faire contre un tank ou un avion de chasse. Ils savaient qu’ils ne faisaient pas le poids, mais ils ont tiré sur nos


maisons afin que l’on puisse blâmer Israël pour crimes de guerre ».

Corriere della Sera cite également des reporters présents dans la bande de Gaza qui accusent le Hamas d’avoir grossi les chiffres. « Nous avons déjà demandé à des commandants du Hamas pourquoi ils insistaient pour gonfler le nombre de victimes » a déclaré l’un d’eux.

Ces mêmes reporters palestiniens ont signalé qu’il pourrait s’agir d’un scénario identique à celui qui a suivi l’opération ‘Rempart’ à Jenin en 2002. « On avait d’abord parlé de 1500 morts. Puis, on s’est rendu compte que le chiffre exact était de 54. Parmi ces 54 victimes, 45 étaient des hommes armés ».

La bataille des chiffres s’annonce rude, en raison notamment de la multiplicité des sources. Toute donnée statistique avancée doit donc être prise avec précaution. Les sources « officielles », qui bien souvent tirent les leurs de sources palestiniennes, présentes dans la bande de Gaza sont les Nations Unies et la Croix Rouge. Ces dernières ont fait état de 1300 morts et plus de 5000 blessés.

Selon les Palestiniens, les trois-quarts de ces victimes étaient des civils sans armes. Le Hamas pour sa part, qui se targue d’avoir occis des soldats israéliens par douzaines, un chiffre formellement exagéré, ne revendique pas plus de 48 disparus dans les rangs de ses « combattants ». Tsahal affirme au contraire avoir tué des centaines de terroristes.

Ce jeudi 22 janvier, John Holmes, le chef de l’humanitaire à l’ONU, a commencé une tournée dans la bande de Gaza afin d’examiner l’étendue des dégâts après les 3 semaines de guerre entre les islamo-terroristes du Hamas et l’armée israélienne.

Selon lui, le nombre de pertes civiles est « extrêmement choquant ». Il a aussi enjoint Israël à mener une enquête minutieuse sur les tirs d’obus qui ont endommagé des bâtiments de l’ONU à Gaza. Des propos qui rejoignent ceux du Secrétaire général Ban Ki-Moon.
Quelques réactions et commentaires :D


le 4 c'est le meilleur de tous et y en a d'autres encore

http://www.guysen.com/articles.php?...-falsification-du-nombre-de-victimes-à-Gaza--

(cliquez sur réactions pour lire plus :D)

nO sUrpRiSe
Tout cela n'est pas étonnant,quand on a vu la falsification de nombre de victimes lors de l'opération Rempart...
Le problème est,comme d'habitude,que le mal est fait,et Israel est,comme toujours,considéré comme un assassin par le monde entier.
Mais ne nous voilons pas la face,cette haine n'est pas seulement la conséquence de la désinformation,elle existe déjà à l'origine,et les peuples ne font que se délecter de ces fausses nouvelles qui mettent du sang sur les mains du peuple Juif.
Conclusion:ne comptons que sur nous même et faisons ce que nous avons à faire pour pouvoir vivre en paix sur notre Terre et ailleurs
dadoo, (22/01/2009)
2. pas étonnant
ce sont les menteurs buveurs de sang de la région le Hezbollah.. ils ont piége les maisons ils en ont fait de ttes les couleurs et on devrait leur mettre "le tapis rouge" ?? qui de par le Monde, Ban Ki Moon n'en est pas persuadé ? que l'auteur des maux est le seul et unique HANIEH
il n'y a que ceux qui ne veulent pas voir ni constater.. celui par qui les morts sont là HANIEH il décime les gazaouites et on s'etonne ?? de cette ile .. je le dis encore Hanieh est le + fourbe avec le Nasrallah.. le meneur de revue et combien sont ils encore .. comment croire cet homme ? pure ineptie
mattei, bastia (22/01/2009)
3. subjectivite des journalistes
Les journalistes n'ayant pu assister aux actions militaires de Tsahal, n'ont eu de cesse de provoquer chez des harkis de la presse palestinienne(???)-ces journalistes savait très bien qu'ont leur fournissés des infos bidonnés.
iIl fallait à tout pris faire du chiffre sachant qu-'il ne risquait rien pour ces informations mensongère...un tribunal pour ces pseudos professionnels
TAIEB, THIAIS (22/01/2009)
4. Mensonges
Le Hamas ment, l'ONU ment, la Croix Rouge ment, Amnisty International ment, ce n'est pas nouveau mais c'est de pire en pire, du moins lorsqu'il s'agit de cracher sur les Juifs ou Israël. Ce médecin italien risque sa vie en disant la vérité tout comme le caméraman italien qui avait filmé le dépeçage des deux réservistes israélien qui s'étaient perdus dans Ramallah et que les hordes sauvages des organisations arabes avaient étripé et décervelé VIVANT.
Résultat : l'Italie avait signé un accord avec les organisations terroristes arabes : "Tu ne filmes et relate que ce qu’on te permet et l'Italie ne subira pas d'attentats sur son sol".
Il y a fort à parier que d'autres pays de l'UE, qui ont décidé d'adopter la position couchée ou à quatre pattes devant les assassins, et ont passé des accords similaires.
Pour le moment les pleureuses professionnelles se ruinent en kleenex et le Kouchner mégalo va reconvoquer les "généreux donateurs" pour qu’ils ouvrent leurs caisses alimentées par des contribuables à qui on ne demande pas leur avis.
Des centaines de camions sont venus porter les vivres aux palestiniens durant ces trois semaines mais personne n'en parle. Des tunnels servent toujours à passer des armes mais l'UE s'en fiche. L’Egypte a une frontière avec la bande de Gaza mais ont ne va pas fâcher le vieux dictateur qui n’a jamais mis les pieds en Israël. Le Hamas est toujours là, l'UE en est toute attendrie. Que ces diplomates à la mode Chamberlain Daladier aillent se faire voir et qu'ils ne remettent plus seuls sales pieds en Israël, ils ne le méritent pas.
Shabbat Shalom.

Akerman Michel, Netanya Israël (22/01/2009)
5. les chiffres
quand c est l holocauste c est des millions et si on dit c est grossis c est du revisionisme et quand gaza et tout le monde dit c est 1300morts dont plus de 400 enfants et 170 femmes et 17 medecins et si on est pas d accord avec les chiffres est ce que du revionnisme encore
zerbib hamraoui, ile saint denis (22/01/2009)
6. Attaquer
Je me demande ce qu'attend Israel pour attaquer les ONG, Ban KI Loon, etc pour diffamation?
Peut-être la communauté française des pays où ont eu lieu des manifs pro-Hamas devraient-elles porter plainte pour calomnie!!!
Ivan, Netanya/Saint Maur (23/01/2009)
7. falsification
C'est vrai que si nous devions nous contenter de certains écrits, entendus ou vus en Europe on pourrait être 'convaincu', bien malgré soi de ce qu'ils nous assènent comme contre-rendus.
Que des politiciens importants par leur fonction, non par leur hauteur de vue (Ban Ki Moon, Louis Michel et autres européens...) répercutent dans leurs dires 'le n'importe quoi' est bcp plus attérant ! C'est même inquiétant pour la paix future qui devra arriver tôt ou tard. Car sans vérités assénées, rien n'est possible.
Hélàs ! Entend-on les voix arabes modérées ? Elles risquent leur vie, c'est certain. Ils ont peur de leurs minorités agissantes, cruelles, et deviennent ainsi complices par facilité ou lâcheté ; mais à long terme, cela les désservira. Depuis près de 20 ans, je ne peux m'empêcher de comparer cete situation à celle des peuples qui ont souffert du nazislme et/ou du communisme. Pas rassurant, mais éclairant qd à l'issue finale...la perte d'influence de l'islamisme mais après combien de millions de morts ?
Dans l'ensemble, je préfère les commentaires français (journalistiques et politiques) et de loin à ceux difusés en Belgique et sûrement ailleurs en Europe, quoiqu'en disent les français.
 
mdrrrr, éternelles victimes quand tu nous tient?
On aura tout entendu après des jours de censure ils osent dire que l'Europe fait de la propagande pour le hamas alors qu'elle refuse même de discuter avec elle, qu'elle ne le considère même pas comme une entité politique qui est au pouvoir!!!
Qui est le premier partis à avoir été convié en Belgique la PALESTINE ou ISRAEL.
A qui l'Europe et les USA se sont empressé de dire qu'économiquement cela ne changeait rien à la donne.
Qui a essayé sur une population des armes de dernières générations conçue pour faire le plus de dégâts et le plus de bléssés collatéraux, c'est armes ont été utilisé pour terroriser toute la population PALESTINIENNE et empêcher toute futur résistance.
Mais comme on peut déjà le voir le moral des palestiniens bien que meurtri n'en n'ai pas moins fort et courageux.
Personnellement je pense qu'ils arriveront à rester présent qu'ils ne vont pas fuir leurs terre au profit des colons.
Car cette offensives quoi que l'on dise n'a servit qu'à cela faire fuir le max réfréner toute rebelion et produire de la main d'oeuvre palestinienne à moindre frais car dans les colonies en Cisjordanie notamment.
 
mdrrrr, éternelles victimes quand tu nous tient?
On aura tout entendu après des jours de censure ils osent dire que l'Europe fait de la propagande pour le hamas alors qu'elle refuse même de discuter avec elle, qu'elle ne le considère même pas comme une entité politique qui est au pouvoir!!!
Qui est le premier partis à avoir été convié en Belgique la PALESTINE ou ISRAEL.
A qui l'Europe et les USA se sont empressé de dire qu'économiquement cela ne changeait rien à la donne.
Qui a essayé sur une population des armes de dernières générations conçue pour faire le plus de dégâts et le plus de bléssés collatéraux, c'est armes ont été utilisé pour terroriser toute la population PALESTINIENNE et empêcher toute futur résistance.
Mais comme on peut déjà le voir le moral des palestiniens bien que meurtri n'en n'ai pas moins fort et courageux.
Personnellement je pense qu'ils arriveront à rester présent qu'ils ne vont pas fuir leurs terre au profit des colons.
Car cette offensives quoi que l'on dise n'a servit qu'à cela faire fuir le max réfréner toute rebelion et produire de la main d'oeuvre palestinienne à moindre frais car dans les colonies en Cisjordanie notamment.
on les a tellement conditionné dans ce genre de discours de victimes qu'ils ont fini par le croire vraiment et surtout en être plus que sûrs qu'ils le sont eux dans l'histoire..quand tu entends leur porte parole de l'armée parler si tu n'avais pas accès à la vraie info tu serais vraiment susceptible de le croire!!

à Sderot ils avaient fait un accueil chaleureux aux médias après la fin du massacre pour qu'ils puissent montrer l'autre revers de la médaille si j'ose dire, dis toi que même les personnes qui allaient être questionnées étaient préparées comme à un concours d'oral :D
 
En Israël, le détachement de la réalité est à présent la norme
mardi 27 janvier 2009 - 05h:42

Patrick Cockburn - The Independent

Quelque chose aurait changé, tant d’années après Sabra et Chatila ?

Je regardais le superbe dessin animé documentaire « Valse avec Bachir » au sujet de l’invasion israélienne du Liban en 1982. Le film atteint son paroxysme avec le massacre d’environ 1700 Palestiniens dans les camps de réfugiés de Sabra et Chatila au sud de Beyrouth. L’armée israélienne avait introduit les milices chrétiennes dans les camps et se tenait aux premières loges pour suivre la boucherie.
A quelques minutes de la fin, le film passe du dessin animé à des actualités brutales dans lesquelles des femmes palestiniennes hurlent de chagrin et d’horreur quand elles découvrent les corps criblés de balles de leurs proches. Et juste derrière les femmes, je suis avec un petit groupe de journalistes qui étaient arrivés au camp peu après la fin de la tuerie.

Le film raconte l’histoire de son réalisateur, Ari Follman, qui savait qu’il avait été à Sabra et Chatila en soldat israélien et il essaie de découvrir pourquoi il a refoulé tout souvenir de ce qui lui est arrivé et le degré de complicité israélienne dans le massacre.

En sortant du cinéma, je me suis rendu compte que moi aussi j’avais refoulé mes souvenirs de cette horrible journée. Je n’ai même pas retrouvé de coupure de presse de l’article que j’avais écrit à ce sujet pour le « Financial Times » qui m’employait à l’époque. Même maintenant, ma mémoire est brumeuse et fragmentaire, bien que je me souvienne clairement de l’écœurante odeur sucrée des corps qui commençaient à se décomposer, des mouches qui s’agglutinaient autour des yeux des femmes et des enfants morts, des membres et des têtes maculés de sang dépassant de la terre déversée par les bulldozeurs qui avaient vaguement essayé d’ensevelir les corps.

Peu après avoir vu « Valse avec Bachir », j’ai vu à la télévision les images de corps palestiniens brisés par les bombes et les obus israéliens à Gaza le 22e jour du bombardement. Au début, j’ai pensé que peu de choses avaient changé depuis Sabra et Chatila. Une fois de plus, on sortait la même vieille excuse insultante selon laquelle, d’une manière ou d’une autre, Israël n’était pas à blâmer. Le Hamas utilisait les civils comme boucliers humains et de toute façon - argument avancé un peu plus furtivement - les deux tiers de la population de Gaza avaient voté pour le Hamas et méritaient donc ce qui leur arrivait.

Mais de retour à Jérusalem, dix ans après y avoir travaillé comme correspondant pour « The Independent » de 1995 à 1999, je constate que si Israël a beaucoup changé, c’est en pire. Il y a beaucoup moins de contestation qu’auparavant et la contestation est le plus souvent considérée comme de la déloyauté.

La société israélienne a toujours été repliée sur elle-même, mais ces jours-ci elle me rappelle plus que jamais les unionistes d’Irlande du Nord de la fin des années 60 ou les chrétiens libanais des années 70. Tout comme Israël, il s’agissait de communautés animées d’une mentalité de siège très poussée qui les conduisait toujours à se voir en victimes même quand c’étaient elles qui tuaient les autres. Il n’y avait pas de regrets et on ne savait même pas ce que l’on infligeait à autrui ; par conséquent, toutes représailles de l’autre partie étaient considérées comme une agression non provoquée, inspirée par une haine aveugle.

À Sabra et Chatila, le premier journaliste à avoir découvert le massacre était un Israélien qui a désespérément essayé de le faire arrêter. Cela ne se passerait pas ainsi aujourd’hui parce qu’il a été interdit aux journalistes israéliens et à tous les journalistes étrangers d’entrer à Gaza avant le début du bombardement israélien. Il a été ainsi beaucoup plus facile au gouvernement de faire accepter la version officielle du grand succès remporté par l’opération.

Personne ne croit autant la propagande que celui qui la propage et c’est ainsi qu’Israël voit le monde extérieur d’une façon de plus en plus détachée de la réalité. Un universitaire aurait dit que l’opinion des Arabes au sujet de ce qui se passait en Israël leur venait de ce que les Israéliens disaient d’eux-mêmes. Donc, si les Israéliens disaient qu’ils avaient gagné à Gaza, à l’inverse de ce qui s’était passé au Liban en 2006, les Arabes le croiraient et de ce fait la dissuasion israélienne serait rétablie par magie.

On tolère de moins en moins la contestation, et la situation pourrait bien empirer. Benjamin Netanyahou - qui a contribué à enterrer les accords d’Oslo avec les Palestiniens la dernière fois qu’il était premier ministre de 1996 à 1999 - gagnera probablement les élections le 10 février. La seule chose que l’on ne sait pas encore, c’est de combien l’extrême droite progressera.

Cette semaine, les membres de l’extrême droite ont fait connaître leur position, comme par exemple Avigdor Lieberman, président du parti Ysrael Beitenu, qui selon les sondages devrait obtenir des résultats particulièrement bons lors des élections ; Lieberman a soutenu la disqualification des deux partis israéliens arabes, les empêchant de se présenter aux élections. Il a averti leurs représentants : « Pour la première fois nous examinons la différence entre loyauté et déloyauté ». « Nous nous occuperons de vous comme nous nous sommes occupés du Hamas » .
 
Le piège de la division
mercredi 4 février 2009 - 09h:53

Morsi Attalla - Al-Ahram/hebdo


Bien qu’Israël ait annoncé le cessez-le-feu à Gaza, il poursuit une guerre médiatique féroce contre la cause palestinienne sur la scène internationale, et plus particulièrement sur la scène européenne. Cette guerre médiatique n’est pas moins dangereuse que la guerre barbare déclenchée contre Gaza.

Aujourd’hui, Washington ainsi qu’un nombre de capitales européennes se sont transformées en minarets ouverts sur lesquels se dressent avec audace les partisans d’Israël. L’objectif est d’attirer les regards de l’opinion publique mondiale loin des massacres et des crimes atroces commis contre les civils à Gaza.

Le danger réel de la guerre médiatique réside dans l’absence totale d’une puissance médiatique arabe influente et capable de réfuter les mensonges diffusés par Israël. Effectivement, les mensonges et les prétentions israéliens deviennent de plus en plus flagrants, en particulier après le témoignage du secrétaire général de l’Onu lui-même, qui a visité Gaza et témoigné du volume effrayant du massacre commis par Israël contre Gaza.

Il est remarquable qu’Israël continue, dans sa guerre médiatique, à employer les mêmes prétextes et les mêmes termes. Les partisans d’Israël annoncent le droit de l’Etat hébreu à se comporter ainsi sous prétexte que les nécessités de la sécurité lui donnent le droit à l’agression et lui donnent à lui seul le droit de s’armer tout en ôtant ce droit à ses ennemis. Selon le point de vue diffusé par les membres de la campagne médiatique, cette situation garantit à Israël sa sécurité, puisqu’il est le seul à posséder l’arme tandis que dans le cas contraire, le terrorisme sévira pour menacer la sécurité de l’Etat hébreu qui se considère comme la façade de la civilisation occidentale au Proche-Orient.

Ce qui est inquiétant c’est qu’Israël, en guettant les éventualités d’une nouvelle politique américaine, tente de jouer sur la corde de l’effroi ressenti par la conscience et la pensée américaines envers le terrorisme. Et ce, pour ne donner aucune chance à la nouvelle Administration américaine d’effectuer des pas qui attireraient les regards vers la cause palestinienne.

La situation critique actuelle et les défis qu’elle relève face aux Arabes ne permettent pas de perdre encore plus de temps dans des échanges inutiles d’accusations sur la scène arabe.

Par exemple, l’acceptation arabe de continuer à proposer l’initiative arabe pour la paix et de donner au nouveau président américain l’occasion d’entrer en contact avec cette initiative ne signifie pas que le monde arabe ne possède aucun autre moyen de faire face à Israël. Malheureusement, des voix arabes ont annoncé le refus de l’initiative, dont l’objectif est d’attirer le regard du monde entier sur la volonté de la nation arabe de réaliser une paix juste basée sur les principes de la légitimité internationale.

Le prétexte de ceux qui s’opposent à l’initiative est qu’Israël n’a pas présenté quoi que ce soit qui prouverait ses bonnes intentions ou son respect de l’initiative. Or, ceux qui refusent cette solution doivent revenir en arrière et se rappeler l’initiative de paix faite par l’Egypte en 1977. En effet, l’Egypte avait réussi à faire rater à Israël l’occasion de lui faire perdre patience et de renoncer aux négociations. Pendant les négociations, Israël prétendait qu’il était impossible de démanteler les colonies installées au Sinaï, de quitter les aéroports militaires ou de bouger d’un pouce derrière la ligne Arich/Ras Mohamad.

Là, l’Egypte aurait pu afficher sa colère et son mécontentement et annoncer son retrait des négociations. Chose qu’Israël désirait fortement, puisque cette initiative de paix de 1977 avait causé des réactions internationales positives au profit du droit arabe. Or, l’Egypte avait opté pour la patience et la poursuite des négociations afin d’obliger Israël à annoncer son choix : être pour ou contre la paix en acceptant ou en refusant catégoriquement les résolutions 242 et 338 du Conseil de sécurité sur lesquelles se sont basées les négociations. Et ce, avec une participation américaine complète dépassant le rôle du témoin ou du médiateur.

Dans les circonstances actuelles, les Arabes et les Palestiniens doivent suivre l’exemple de l’Egypte. Non parce que c’est une expérience de négociations apte à être refaite, mais en tant que méthode d’interaction avec Israël, tout en recourant aux tactiques et aux stratégies conformes à l’époque et aux circonstances actuelles.
 
La psychologie traumatique d’Israël et l’agression contre Gaza
vendredi 20 février 2009 - 06h:05

Avigail Abarbanel - Mondialisation

Une des choses dont on ne parle pas beaucoup, dans les médias, c’est l’insistance avec laquelle il est question, en Israël, d’attaquer l’Iran. La rumeur, dans la rue israélienne, dit qu’une attaque aérienne contre les réacteurs nucléaires de l’Iran est imminente.

Cela fait pas mal de temps, déjà, qu’une « bonne guerre » démange Israël. L’agression foirée contre le Liban, en 2006, a provoqué un désarroi psychologique, le but n’ayant pas été atteint, et cela n’a conduit qu’à l’approfondissement du chiasme entre les milieux politique et militaire, en Israël. Un ami israélien m’a dit, dégoûté, l’autre jour, qu’il règne là-bas une ambiance d’ « orgasme national », à l’idée de s’en prendre à l’Iran. Ainsi, paradoxalement, tandis que les habitants de Gaza se reçoivent des bombes sur la tronche, tous les Israéliens ne parlent que d’une seule chose : l’attaque annoncée contre l’Iran. Mais pas si paradoxalement que ça, car il y a un lien, entre les deux...

Les problèmes sociaux d’Israël se sont aggravés de manière exponentielle, ces quinze dernières années. L’Israël d’aujourd’hui, c’est un Israël qui est bien différent de celui où j’ai grandi. Il y règne plus de crime violent et organisé que par le passé, et il y a plus de violence domestique et de maltraitance à enfants que jamais. Il y a plus de drogue en circulation, et plus de consommation, et ils ont aussi des gens bourrés au volant, chose que je n’avais jamais connue quand j’habitais encore dans ce pays. Cela trouve un écho dans les rapports officiels, et aussi dans la presse quotidienne. Mon frère, qui habite en Israël, m’a raconté que des soldats faisant leur service militaire dans les territoires palestiniens occupés, où ils font régner la brutale occupation israélienne, ne rentrent chez eux, le week-end, que pour se retrouver impliqués dans des bringues alcoolisées et dans des assassinats. Impensable, ça, de mon temps...

http://www.info-palestine.net/article.php3?id_article=6150

La psychologie du trauma est traîtresse, elle est pleine de contradictions internes. C’est précisément la raison pour laquelle le monde doit intervenir de manière décisive dans le conflit palestino-israélien : pour sauver les Palestiniens des tueurs israéliens et pour sauver les Israéliens contre eux-mêmes, et si possible nous épargner une guerre d’une tout autre ampleur. En l’absence d’une intervention (internationale) mature, affirmée et clairvoyante, ce cycle de trauma, avec les violences qu’il génère, continuera, jusqu’à ce qu’un jour, il s’épuisera de lui-même parce que suffisamment de gens auront perdu la vie, ou parce qu’un coup final aura été asséné, quelque part, par quelqu’un, à partir duquel il ne saurait y avoir nul retour.
 
Le « barrage » de Rafah ou comment étrangler la bande de Gaza
vendredi 13 mars 2009 - 06h:10

Nabil Ennasri

Lundi 16 février, 11h au point de passage de Rafah qui sépare l’Égypte de la bande de Gaza. Nous attendons depuis plus de deux heures une éventuelle ouverture de la frontière pour pouvoir entamer notre mission médico-psychologique et de solidarité organisée par la Campagne Civile Internationale de Protection du Peuple Palestinien (CCIPPP).


Soudain, une forte explosion trouble le calme de cet endroit, seule porte d’entrée et de sortie pour toute la population de Gaza meurtrie par plus de 3 semaines d’intenses bombardements. Un hélicoptère israélien vient de lâcher un missile qui visait certainement un tunnel de la Résistance, seul moyen de briser le blocus criminel qui étrangle les Gazaouis depuis près de deux ans.

Le lieu de l’explosion ne se trouve qu’à quelques centaines de mètres de nous et le choc de l’explosion nous a tous fait sursauter. Scène terrible mais en même temps tellement coutumière des habitants de Gaza, victimes depuis plus de 40 ans de l’occupation israélienne.

C’était donc la première fois que nous assistions à un bombardement pour la plupart d’entre nous. Tout s’est passé si vite. En quelques secondes, l’hélicoptère a lâché son missile, survolé la zone de bombardement et est reparti alors que l’imposante fumée ne mettait que quelques minutes à disparaître du ciel, pourtant très clair, de cette bande de terre abandonnée par le monde entier.

Ce premier contact avec la bande de Gaza nous permet de constater à quel point le cessez-le-feu décrété il y a quelques semaines n’est qu’une chimère et qu’Israël poursuit ses bombardements avec la même impunité qui la caractérise depuis toujours. D’ailleurs, trois autres explosions retentiront encore dans la journée, toujours à proximité du terminal de Rafah et pendant des heures, nous constaterons la présence des drones survolant le territoire.

Nous resterons toute la journée au point de passage de Rafah, les autorités égyptiennes ayant interdit tout passage d’étrangers dans la bande de Gaza. Seules, quelques ambulances et voitures entreront et sortiront de ce point de passage qui est en fait un véritable barrage qui maintient la bande de Gaza dans une situation dramatique. Car depuis le 5 février, quasiment plus personne ne rentre et ne quitte la bande de Gaza faisant de celle-ci une véritable prison, ou plutôt une cage à ciel ouvert. Les histoires sont nombreuses de médecins, de volontaires internationaux ou de simples Gazaouis qui voient leur entrée refuser par les responsables égyptiens.

La raison ?L’ouverture du point de passage est suspendue aux négociations en cours entre le Hamas et Israël et tant que la trêve n’est pas signée, la frontière restera hermétiquement fermée. Nous savions que l’Égypte collaborait avec Israël pour faire plier le Hamas à Gaza mais la constatation de visu de cette alliance honteuse nous a tous mis en colère.

Car il y avait quelque chose de surréaliste de voir les obus israéliens exploser de l’autre côté de la frontière alors que de ce côté-ci, les Égyptiens nous refusaient le passage pour porter assistance à un peuple en danger. Pris entre le marteau et l’enclume, on imagine la souffrance, la colère et le désespoir de ces centaines de milliers de personnes, victimes d’une situation hallucinante et révoltante.

Le lendemain, la situation est restée sensiblement la même. Seule une fine pluie donnait au désert une allure plus chatoyante. L’air s’était rafraichi en même temps que notre espoir de voir le terminal de Rafah s’ouvrir. En effet, cette journée allait se terminer comme celle de la veille. La police égyptienne ne laisse personne passer. Nous rencontrons devant le poste-frontière des familles palestiniennes à l’histoire stupéfiante.

Elles sont bloquées en Égypte depuis plusieurs jours voire depuis quelques semaines. Leur faute ? Personne ne sait, les autorités égyptiennes leur faisant savoir simplement qu’il leur est interdit de rentrer chez eux !! Nous sommes, avec d’autres médecins et volontaires étrangers provenant de Corée du Sud, d’Irlande, de Malaisie et du Canada spectateurs d’une véritable mascarade à l’accent tragique. En témoigne ces médecins marocains quittant la bande de Gaza et relatant une situation catastrophique ou cette voiture transportant dans un cercueil la dépouille d’une femme et qui mettra des heures à franchir la frontière...

En fin de journée, nous rentrons à Al-Arish, ville moyenne située à une quarantaine de km de Rafah. Avant de rentrer à notre hôtel, nous passons par le stade municipal, notre correspondant égyptien nous ayant informé que des tonnes d’aide humanitaire y était stockées. Quelle a été notre surprise en constatant ce gâchis inqualifiable. 12 000 tonne de vivres, de médicaments et de couvertures offerts par des pays du monde entier (Jordanie, Libye, Vénézuela, Qatar etc.) et provenant également des provinces d’Egypte se trouvent ici depuis un mois.

Des centaines de palettes d’eau, d’huile, de riz, de farine, de vêtements sont entassées de manière anarchique, certaines étant très endommagées. Des sacs de riz éventrés nous font comprendre qu’une partie de cette aide est déjà perdue. Plus tard dans la soirée, lors d’une rencontre avec des responsables des Nations Unies chargés de l’aide humanitaires, nous apprendrons que 15% de toute cette aide, soit plus de 1800 tonnes de vivres, est anéantie. Alors que le million et demi de Palestiniens manque de tout, l’Égypte bloque et laisse pourrir cette aide précieuse. A l’incompréhension s’ajoute désormais la colère.

Le jour suivant, soit le mercredi 18 février, nous décidons de retourner à Rafah pour continuer à mettre la pression, aussi modeste soit-elle, sur la police égyptienne. D’ailleurs, cette dernière semble visiblement agacée par notre détermination à vouloir franchir la frontière. Bien sûr, notre demande d’entrer à Gaza se verra essuyer une fin de non-recevoir de la part des Moukhabarat, les « légendaires » services secrets égyptiens, omniprésents dans ce secteur hautement sensible. Croulant sous une température de près de 30°, nous serons alors rejoints par un groupe de musiciens jordaniens désirant partager leur art avec leurs homologues palestiniens.

Dépités par le refus des policiers égyptiens, les chansons qu’ils entonneront seront bientôt couvertes par le vrombissement des F-16 israéliens qui attaqueront à plusieurs reprises. Cette journée aura été la plus violente depuis notre arrivée. Plusieurs bombardement auront lieu et la terre tremblera littéralement sous nos pieds à différentes reprises. Le paysage de Gaza en cette fin d’après-midi de février est parsemée de colonnes de fumée noire, symboles de l’oppression et de l’injustice infligées à tout un peuple.

A l’heure où ces lignes sont écrites, la probabilité de nous voir franchir le barrage de Rafah s’amenuise de plus en plus. En effet, les discussions autour de la trêve s’éternisent, Israël arguant encore une fois de faux prétextes pour ajourner sa mise en application. Rafah, triste et lugubre point de passage désespérement fermé, n’est que le reflet du cynisme d’une communauté internationale qui a décidé d’abandonner tout un peuple.

Devant Gaza la martyre, outre toutes ces violations répétées des lois humaines les plus élémentaires, nous retiendrons surtout ces quelques mots lancés à la face du monde par cette mère palestinienne, dont on refuse l’entrée à Gaza et qui n’a pas revu ses enfants depuis plus de trois mois : « Ghaza da’iman tabqa arda lsabr wassoumoud »...
 
hier encore on a pu voir sur Envoyé spécial de part leur enquete sur la cellule de crise du quai d'Orsay, le poids qu'exerce l'Egypte sur ce poste frontière et le fait que le sort des gazaouis soit entre leurs mains
 
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