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AncienMembre
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Une trace de pas, sur la Lune, photographiée le 20 juillet 1969. (PROJECT APOLLO ARCHIVE / FLICKR)
3. La lumière. Les tenants de la théorie du complot jurent aussi que les halos de lumière en haut à gauche sur la photo ci-dessous révèlent la présence de spots et d'autres sources de lumière. En fait, explique le National Geographic (en anglais), il s'agit simplement d'un "lens flare", un effet provoqué lorsqu'une lumière très puissante est braquée vers un objectif (ici, le soleil dont la lumière n'est filtrée par aucune atmosphère). Rien d'anormal, donc.
Un astronaute américain, le 20 juillet 1969, sur la Lune. (PROJECT APOLLO ARCHIVE / FLICKR)
Enfin, la Russie justifie également son enquête sur les alunissages américains par la soi-disant absence des prélèvements de roche lunaire, "que personne n'a jamais vus", selon le porte-parole du Kremlin. C'est oublier un peu rapidement que des échantillons lunaires ont été étudiés, entre autres, à Poitiers (Vienne), au CNRS, en 2009. Voilà au moins quelques scientifiques qui ont pu voir de leurs propres yeux de la roche lunaire.