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La psychiatrie dans le sang
Où sont les fautes de prononciation de ce bouffon, et son bégaiement?wili
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Live d’Algérie Part avec Abdou Semma du 28/09/2024
"Le Mali n'est pas une wilaya Algérienne", c'est avec ces termes inédits et sur un ton d'une sévérité glaciale que le Ministre de l'Administration Territoriale et de la Décentralisation, Porte-parole du Gouvernement de Transition au Mali, Abdoulaye MAIGA, s'est adressé à Abdelmadjid Tebboune et à tous les dirigeants algériens depuis la tribune des Nations-Unies à New York à l'occasion d'un discours prononcé le 28 septembre en marge de la 79e session de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations Unies (ONU) qui se tient à New York du 24 au 30 septembre. C'est la première fois dans l'histoire qu'un dirigeant africain, et surcroît malien, interpelle aussi ouvertement, mais aussi aussi brutalement, le régime algérien en décochant contre lui des flèches empoisonnées contenant de nombreux messages politiques ainsi que de fortes mises en garde. Abdoulaye MAIGA s'en est pris violemment au chef de la Diplomatie algérienne et au Représentant permanant de l'Algérie auprès des Nations-Unies en les qualifiant "d'énergumènes" en raison de leurs positions jugées hostiles contre le Mali et ses intérêts sécuritaires. Le représentant du gouvernement Malien a accusé encore le régime algérien devant tous les membres de l'ONU d'offrir "le gîte et le couvert certainement avec de succulents plats de chekchouka et de Chorba, à des terroristes et des renégats en débandade". Abdoulaye Maiga a rappelé aussi aux autorités algériennes les souvenirs amers de la décennie noire en évoquant les critiques faites par le régime Tebboune contre les actions militaires menées par l'Armée malienne contre les groupes armés séparatistes ou terroristes sur son territoire national. "Concernant l’usage des drones, les opérateurs sont bien des Maliens qui agissent avec professionnalisme, à l’instar du reste des Forces de Défense et de Sécurité maliennes, et traitent les cibles terroristes, suivant des procédures conformes aux normes internationales. A titre de rappel, il y a quelques années, les acteurs de l’instrumentalisation des droits de l’homme déterminés à ternir la performance anti-terroriste de l’Armée nationale algérienne, ont mis en exergue la question subversive du « Qui tue Qui ?». Aujourd’hui, nous sommes troublés que le Représentant permanent algérien ait rejoint la tendance manipulatrice des droits de l’homme pour s’attaquer à l’Armée malienne", a indiqué ainsi le porte-parole du gouvernement malien. Ce dernier a terminé son message adressé à Abdelmadjid Tebboune et les autres dirigeants algériens en faisant savoir que "le Mali exige de ces deux (02) énergumènes diplomatiques qu’ils cessent d’entrer dans l’histoire à reculons. Manifestement, ils ignorent tout, à la fois, de l’histoire entreles peuples frères du Mali et de l’Algérie, et la contribution exceptionnelle du Mali à la guerre de libération algérienne, et certainement de la géographie, car ils considèrent, à tort, le Mali comme une wilaya, c’est à dire une province algérienne". Cette attaque en règle du gouvernement malien contre le régime algérien est inédite dans l'histoire. C'est la première fois que l'Algérie se fait humilier et rabaisser par son voisin direct avec lequel elle entretient des relations historiques. C'est la preuve que le régime Tebboune procure à l'Algérie une série de problèmes dangereux avec son voisinage direct au risque de compromettre la sécurité nationale et la stabilité du pays.