wili wili....
je vois que tu ignores aussi ce que c'est les génes...
Pour en finir et revenir au sujet :
Le gène de Dieu existe-t-il ? L'hebdomadaire La Vie évoque l'existence de plusieurs études affirmant que l'attrait pour la religion serait en grande partie déterminée par les gènes. dans un dossier consacré cette semaine aux « secrets de la foi ». Toutes n'ont pas été publiées dans des revues scientifiques, ce qui n'a pas découragé le journal, qui décrit notamment la plus surprenante, l'histoire du gène VMAT2, baptisé « gène de Dieu ».
Dans une étude publiée aux éditions Doubleday en 2004, le biologiste moléculaire Dean Hamer a comparé le patrimoine génétique de mille volontaires, après leur avoir soumis un questionnaire chargé d'évaluer leur sentiment religieux. De là, il aurait isolé un gène, le fameux VMAT2, susceptible de déclencher selon lui de véritables vocations ecclésiastiques. Cependant, aucune revue scientifique n'a voulu publier les conclusions de Dean Hamer
et c'est tant mieux, car aujourd'hui le créateur du VMAT2 reconnait que la foi mobilise probablement des milliers d'autres gènes.
La deuxième étude, menée en 2005 par la psychologue américaine Laura Koening, tentait de sonder sur la base d'un questionnaire soumis à six cents personnes (dont une centaine de vrais jumeaux) l'importance donnée à la religion par ces sujets pendant leur enfance et dans la période adulte.
Selon la chercheuse, c'est à l'âge adulte que l'attitude adoptée face à la religion est plus souvent similaire entre des vrais jumeaux qu'entre les autres. La chercheuse en déduit qu'il existe des bases génétiques à la religiosité, qui s'affirment au fil de la vie des individus, s'ils parviennent à s'affranchir des influences de leur éducation