Egypte: affrontements continus

Salam UNIVERSAL

Je ne vais pas polémiquer juste que la majorité des égyptiens voulaient le retour de l armée et leur aide ça ne s invente quand même pas et ici j ai mis des liens avec l opinion de quelques égyptiens qui expliquent ce que font les FM(ce qui est rare sur le net et dans les médias )

Ce que je ne comprends pas c que ds d autres pays des peuples se révoltent aussi contre des gens qui sont au pouvoir alors qu' ils avaient aussi votés pour eux et l occident ne trouve rien à redire
Bon fin de ma participation j ai répondu et ça s arrêtera à ce message

;)
Ouai mais non. Je suis à moitié égyptiens tu vois, et ce que tu dis sont des ragots. Les victimes aujourd'hui sont les frères musulmans et les bourreaux l'armée. Et il n'y pas photo.
 
Ouai mais non. Je suis à moitié égyptiens tu vois, et ce que tu dis sont des ragots. Les victimes aujourd'hui sont les frères musulmans et les bourreaux l'armée. Et il n'y pas photo.


Salam
Ok des ragots lu dans la presse
Mon mari est égyptien il a bien du mal aussi à savoir le vrai et le faux,ne te fatigue pas à me répondre j ai coché la notif ne plus suivre la discussion :)
La vérité personne ne la connaît pas même les égyptiens, sauf les dirigeants

Un article concernant les FM


http://bonjouregypte.com/ArticleDetails.aspx?ArticleID=76234
 
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Salam
Ok des ragots lu dans la presse
Mon mari est égyptien il a bien du mal aussi à savoir le vrai et le faux,ne te fatigue pas à me répondre j ai coché la notif ne plus suivre la discussion :)
La vérité personne ne la connaît pas même les égyptiens, sauf les dirigeants

Un article concernant les FM


http://bonjouregypte.com/ArticleDetails.aspx?ArticleID=76234
Re belgica, non c'est un plaisir de te répondre.
T'as compris je ne voulais pas insinuer que tu radotais, j'ai été maladroit :indigne:
Je voulais effectivement dire que les médias radotent.

Ben voilà, on a déjà une chose en commun, l’Égypte.
je suis assis avec deux cousins qui vivent là bas, son arrivés hier. Et ils sont un peu de ton avis, pro impératrice. C'est mon analyse personnel.
L'histoire nous dira qui était dans le vrai ;)
 
Re belgica, non c'est un plaisir de te répondre.
T'as compris je ne voulais pas insinuer que tu radotais, j'ai été maladroit :indigne:
Je voulais effectivement dire que les médias radotent.

Ben voilà, on a déjà une chose en commun, l’Égypte.
je suis assis avec deux cousins qui vivent là bas, son arrivés hier. Et ils sont un peu de ton avis, pro impératrice. C'est mon analyse personnel.
L'histoire nous dira qui était dans le vrai ;)


Allez une petite dernière du coup comme tes cousins sont un peu de mon avis tu rajoutes pro sissi ? Pro rien du tout
Attend tu vas me dire que tu es décidément très distrait ou que tu t es mal expliqué ce n est pas la première fois que tu me là fais à l envers

Mon mari est égyptien il ne sait pas dire ni une majorité de la famille où est la vérité comme une majorité d égyptiens Sauf les dirigeants c est difficile à comprendre ce que j écris?enfin fais le à ta sauce rien à battre pour être polie

Prend un dictionnaire si tu ne sais pas ce que veut dire ragots et radoter :)





Alanehaya

:)
 
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Un référendum sous la chape de plomb des militaires.

Le vote pour l'adoption d'une nouvelle Constitution s'est ouvert par un attentat à la bombe.
Le coup d’envoi du vote populaire sur la Constitution égyptienne a été donné à 7h40 heure locale, par l’explosion d’une charge devant le tribunal d’Imbaba dans le nord du Caire. Si aucune victime n’est à déplorer, cette nouvelle attaque, dont fait état le journal al-Ahram, témoigne de l’extrême tension qui règne dans le pays.
Alors que 53 millions d’Egyptiens sont appelés aux urnes, mardi 14 et mercredi 15 janvier 2014, pour se prononcer sur le texte élaboré par une commission de 50 personnalités censées représenter les différentes composantes de la société le 1er décembre 2013, le fossé qui sépare les partisans de l’armée et ses opposants apparaît d’une profondeur inégalée.
Depuis que l’état-major s’est emparé du pouvoir, le 3 juillet 2013, au détriment du président élu Mohamed Morsi et de ses affidés, les contestataires ont été muselés par le gouvernement de transition dirigé par Hazem el-Beblawi et le général Abdelfatah al-Sissi. Qualifié d’«organisation terroriste», le parti des Frères musulmans, dont est issu M. Morsi, a annoncé qu’il boycotterait le référendum pour protester contre l’emprisonnement de plusieurs de ses membres et le procès, jugé inique, de leur chef de fil, prévu pour le 1er février 2014.
Le vote devrait prendre des allures de plébiscite pour le général al-Sissi qui a profité du déchirement des partis politiques pour s’imposer en recours. Al-Sissi qui occupe déjà le poste de vice-Premier ministre a clairement fait part de son intention de se présenter à l’élection présidentielle «s’il était mandaté par le peuple et l’armée». Preuve que les généraux ont réussi à imposer une chape de plomb sur le pays, le parti islamiste al-Nour a choisi de donner son agrément au texte en votant oui, même si ce dernier est plus pauvre en référence religieuse que celui des Frères musulmans qu’il rejetait. Une façon de donner quitus à l’armée.
«Si nous votons non, la Constitution sera approuvée avec un plus faible pourcentage, mais sera tout de même votée, et le parti al-Nour sera écarté de la feuille de route», a déclaré Nader Bakkar, porte-parole d’al-Nour, soucieux de conserver une place sur l’échiquier politique".
Alors qu'il avait initialement choisi de faire campagne pour le «non», le parti islamiste modéré Egypte Forte, a annoncé qu’il refusait finalement de prendre part au vote, réclamant la libération de 35 de ses membres, d'après The Guardian. Ces derniers jours, l’armée n’a pas hésité à mettre en détention plusieurs activistes qui appelaient à voter contre le projet de constitution, selon les informations recueillies par l’ONG Human Right Watch. L’espace public a été pris d’assaut par des affiches favorables au pouvoir, et les médias ont été abondamment abreuvés de messages exhortant à voter oui.
 
La répression contre les étudiants d’Al-Azhar bat son plein.
Un nouveau raid a été lancé dimanche 12 janvier sur le campus d’Al Azhar suivant des semaines d’altercations entre étudiants et forces de l’ordre. Cette énième action ciblant les étudiants azharis, notoirement acquis aux frères musulmans, s’inscrit dans le cadre plus large de la répression que mène le gouvernement intérimaire contre la confrérie depuis le renversement de Morsi en juillet 2013.
La manifestation constituée principalement d’étudiants pro-Morsi de l’alliance Etudiants contre le coup, a démarré ce dimanche matin en chaîne humaine à l’extérieur de l’université, avant d’être violemment dispersée à coup de gaz lacrymogène et billes en caoutchouc. Après un regroupement des étudiants au sein du campus, les forces de l’ordre ont forcé leur entrée et procédé à de nouvelles arrestations.

Le même jour, la justice égyptienne a prolongé de deux semaines supplémentaires la détention de 174 étudiants arrêtés suite aux manifestations organisées lors des examens de fin d’année, le 30 décembre dernier. Les étudiants sont poursuivis pour incitation à l’émeute, violence contre les forces de l’ordre et destruction de biens publics.

La répression qui s’abat sur l’université égyptienne dépasse pourtant le cadre des seuls pro-Morsi. Oussama Ataa, porte-parole du groupe révolutionnaire azhari Al Midan, déplore des arrestations au sein des étudiants révolutionnaires. Il dénonce « une remise en place de l’Etat Mubarak à travers la destruction des espaces de contestation, ce qui dépasse la logique répressive qui cible les frères ». Un nouvel amendement législatif est d’ailleurs en cours de ratification par le président intérimaire Adly Mansour pour permettre à chaque président d’université d’expulser tout étudiant responsable d’action terroriste, de sabotage du processus académique ou de destruction matérielle. « Les clashs répétés avec les étudiants fréristes, ajoute Ataa, sont un prétexte pour s’attaquer à ceux qui mettent l’accent sur les sujets qui fâchent comme la gratuité de la scolarité ou la réforme de la sécurité sociale étudiante. » La contestation azharie a de fait dépassé le cadre des pro-Morsi au fur et à mesure que la répression s’est abattue de manière indiscriminée sur le campus. « Nous manifestons pour protéger les acquis de la révolution, explique Oussama Ataa, parmi lesquels se trouvent la liberté d’assemblée et la liberté d’expression qui ont permis depuis trois ans le développement de l’action politique au sein des campus universitaires. »

« Les autorités ont tort de s’en prendre aux mouvements étudiants, conclut-il. Il n’y a pour l’instant que dans nos urnes que la confrérie a été démocratiquement battue depuis son arrivée au pouvoir en 2012. » Lors des élections estudiantines de mars 2013, les frères avaient effectivement essuyé un vote sanction leur laissant in extremis le contrôle de 8 des 15 universités d’Etat.
Source: Agnes Richieri
 
Égypte : heurts meurtriers entre pro-Morsi et policiers
Le Point.fr - Publié le 18/01/2014 à 09:53 - Modifié le 18/01/2014 à 10:11

Des heurts entre policiers et islamistes ont fait au moins trois morts à la veille de l'annonce samedi des résultats du référendum constitutionnel.
 
@UNIVERSAL

tu confirmes >>> (repris le com' sur un forum) les mosquées et qui par haut parleur menace les gens d'aller voter pour le oui sinon : 500 guineh d'amende et suppression de la retraite !!



Il fait un appel pour ceux qui n ont pas encore été votés pas pour les obliger à voter oui
Une amende de 500 livres pour ceux qui ne votent pas et pour les pensions ils retireront sur la retraite 500 livre pas de suppression de pension
C est pour faire peur aux gens et je ne sais pas si cette personne est pro FM ou pro Sissi
Ça n existe pas de toute façon en Égypte des amendes pour ceux qui ne votent pas
 
L’impossibilité de dire non dans une Égypte polarisée
Hier et aujourd’hui, les Égyptiens étaient appelés à voter. Encore. Depuis la chute de Moubarak, les votes et scrutins se sont succédé à un rythme effréné et dans une Égypte plus polarisée que jamais, voter « non » ou même exprimer son opposition est devenu périlleux. Voire impossible.
Source: http://orientxxi.info/magazine/l-impossibilite-de-dire-non-dans,0491
 
VIDEO. Egypte : attentat contre le QG de la police au Caire

Une puissante explosion a fait au moins quatre morts et plus de 50 blessés près du quartier général de la police égyptienne.

Un attentat en Egypte est survenu à la veille des célébrations du troisième anniversaire du soulèvement qui aboutit le 11 février 2011 à la chute du président Hosni Moubarak. Une voiture piégée a explosé près du quartier général de la police égyptienne au Caire, vendredi 24 janvier. Quatre personnes ont été tuées et plus de 50 blessées.

La façade du Directoire de la sécurité du Caire, qui abrite la police et la sécurité d'Etat, et celle du musée islamique situé en face ont été fortement endommagées. L'explosion a aussi détruit les vitrines des boutiques environnantes et propulsé des éclats de bois et de métal à des centaines de mètres à la ronde.

Une fusillade a également éclaté peu après. La télévision officielle, citant des témoins, affirme que des hommes armés circulant à moto ont ouvert le feu sur le bâtiment de la police. L'attentat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat. Mais les attaques contre les forces de l'ordre se sont multipliées depuis que l'armée a destitué le président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet.

http://www.francetvinfo.fr/monde/eg...ontre-le-qg-de-la-police-au-caire_512849.html
 
quadruple attentat au Caire, des morts et des blessés.
Quatre attentats ont eu lieu à quelques heures d'intervalle ce vendredi matin dans la capitale égyptienne, faisant au moins six morts et des dizaines de blessés.

Quadruple attentat au Caire ce vendredi. Au moins six personnes ont été tuées dans quatre attaques visant la police au Caire, en pleine campagne de répression contre les islamistes et à la veille du troisième anniversaire de la révolte ayant chassé Hosni Moubarak du pouvoir.

Les attaques contre les forces de l'ordre se sont multipliées depuis que l'armée a destitué le président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet 2013, et réprime dans le sang toute manifestation de ses partisans. Jeudi déjà, cinq policiers ont péri dans l'attaque d'un poste de contrôle à Beni Suef, à une centaine de kilomètres au sud du Caire.

Voiture remplie d'explosifs Peu après l'aube, ce vendredi, un homme a attendu que les policiers lèvent un barrage qui fermait l'accès de la rue menant à la Direction de la police, au centre de la capitale, pour précipiter sa voiture bourrée d'explosifs contre la lourde grille fermant l'accès au bâtiment, selon le témoignage d'un policier légèrement blessé à la tête.Source A.S
 
Trois ans plus tard, la révolution confisquée.
Une trentaine de manifestants ont été tués aujourd'hui en Egypte où le troisième anniversaire du déclenchement de la révolution de l'hiver 2011 a illustré les fractures politiques du pays.
Elle est plantée là, devant le Syndicat des Journalistes, la voix cassée à fredonner à tue-tête le même slogan qu'il y a trois ans. «Pain, liberté, justice sociale», surenchérit la foule, agglutinée autour des marches - quelques centaines de protestataires prêts à défier les balles de la police en ce samedi de tous les dangers. Fatima, 25 ans, veut encore croire à cette révolution en voie d'extinction, ce cri de la rue qui pendant plus de deux semaines - du 25 janvier au 11 février 2011 - la poussa à défier les interdits. Et à faire tomber le pharaon. Mais la ferveur des jours d'espoir n'est plus de mise. «J'ai l'impression d'un retour à la case départ. Hier, Moubarak. Aujourd'hui, Sissi», souffle la jeune activiste. Soudain, des tirs de sommation retentissent en rafale. En quelques secondes, la rue est inondée de gaz lacrymogène. Hagards, les manifestants se dispersent en hurlant «A bas les voleurs!». Les plus zélés percent le ciel de trois doigts insoumis - une référence à cette fragile «troisième voix», doublement victime des dérives autoritaires des Frères Musulmans, au pouvoir pendant un an, et de l'armée qui les en a chassé pour mener à son tour une répression tout azimut. Un air de déjà vu. Deux heures plus tôt, un autre rassemblement pacifique d'ex-révolutionnaires a été dispersé par la force devant la mosquée Moustafah Mahmoud, dans le quartier des ingénieurs. En quelques secondes, la rue a ensuite été prise d'assaut par des vendeurs ambulants, la carriole chargée de drapeaux et de posters du général Sissi, le nouvel homme fort du pays, et candidat de plus en plus probable aux prochaines élections.

Affront encore plus douloureux: en ce jour anniversaire d'une révolution deux fois confisquée, l'armée a bunkérisé la place Tahrir sous prétexte de la protéger contre de nouveaux attentats. La veille, quatre explosions revendiquées par un groupe jihadiste du Sinaï ont secoué la capitale égyptienne, volant la vie à six personnes. Les pro-Sissi, eux, ont pourtant eu le droit d'aller piétiner l'épicentre emblématique de cette révolution à laquelle ils n'ont, pour la plupart, pas participé, dans une ambiance de fête foraine. Toute la journée, les chaînes télévisées - alignées sur l'actuel pouvoir pro-armée - ont passé en boucle les images de leurs rassemblements, omettant sciemment d'évoquer ceux des libéraux, comme ceux, encore plus nombreux, des pro-Frères.
Source: Delphine Minoui...
 
50 morts en vingt-quatre heures de célébrations de la révolution.
Au moins 50 personnes ont été tuées en marge de manifestations, samedi. A Suez, la police a de nouveau été visée par un attentat.
"A bas les militaires"
A l'appel des pro-Morsi et des mouvements de la jeunesse, qui accusent l'armée au pouvoir de renouer avec les méthodes du régime d'Hosni Moubarak, des centaines de manifestants ont tenté de défiler dans le centre-ville, mais la police les a dispersés à coups de grenades lacrymogènes et de tirs de fusils à pompe. "A bas les militaires" et "Le peuple veut la chute du régime", ont-ils scandé. La veille, quatre attentats revendiqués, depuis, par un groupe islamiste inspiré d'Al-Qaïda, avaient secoué la capitale égyptienne, faisant faisant six morts et des dizaines de blessés.
Source ANADOLU AGENCY
 
Tripoli: 5 membres de l'ambassade d'Égypte enlevés
Cinq membres de l'ambassade égyptienne ont été enlevés en moins de 24 heures à Tripoli, illustrant une fois de plus le chaos régnant en Libye, où les milices font la loi.
Le ministre de la Justice, Salah al-Marghani, a annoncé dans la soirée que les services de sécurité étaient en contact avec les ravisseurs, et que le gouvernement oeuvrait à obtenir la libération des 5 Égyptiens, se refusant à donner tout autre détail.


Dans le sud et l'ouest du pays, des affrontements tribaux et impliquant des partisans de l'ancien régime de Mouammar Kadhafi ont par ailleurs fait au moins 154 morts et 463 blessés en deux semaines, selon un bilan du ministère de la Santé.


«L'attaché culturel et trois autres fonctionnaires de l'ambassade d'Egypte ont été enlevés samedi à Tripoli», a déclaré à Xyz le porte-parole du ministère libyen des Affaires étrangères, Saïd Lassoued, qui n'était pas en mesure de fournir plus de détails sur les circonstances de l'enlèvement.


Les autorités avaient pourtant annoncé des «mesures de sécurité renforcées» autour de l'ambassade et des diplomates égyptiens après un premier enlèvement, vendredi, d'un membre de la représentation égyptienne chez lui, toujours à Tripoli.


Ces enlèvements n'ont pas été revendiqués jusqu'ici, mais le ministre libyen de la Justice a implicitement fait le lien avec l'arrestation vendredi en Égypte d'un chef des ex-rebelles qui avaient combattu le régime de Mouammar Kadhafi en 2011.


Chaaban Hadeia, alias Abou Obeida, est depuis à la tête d'un groupe d'ex-rebelles qui dépendent officieusement du ministère libyen de la Défense, le Centre d'opération des révolutionnaires de Libye, d'obédience islamiste.


«Nous attendons des explications de nos frères égyptiens sur les accusations portées contre Chaaban Hadeia. En même temps, nous condamnons fermement cette réaction», a déclaré M. Marghani au cours d'une conférence de presse, qualifiant l'enlèvement des cinq Égyptien d'«acte criminel».


Au Caire, un porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a confirmé la détention de M. Hadeia en Égypte mais n'était en mesure d'en fournir les raisons. «Si l'implication de M. Hadeia (dans une affaire quelconque) n'est pas établie, il sera naturellement libéré», a-t-il précisé à Xyz.


Le groupe de l'ex-rebelle, qui a confirmé l'arrestation sur la page Faceb00k, a fait état d'«inquiétude», ainsi que d'une «possible réaction».


Contacté par Xyz, Adel al-Ghariani, un dirigeant du Centre d'opération des révolutionnaires de Libye, a cependant démenti toute implication dans les enlèvements, et appelé à la «libération immédiate» de M. Hadeia.
Suite: http://fr.canoe.ca/infos/international/archives/2014/01/20140125-173448.html
 
Quel gachis, tous ces revolutionnaires mort pour rien. Je ne doute pas que Sisi va "remporter" les elections et ce sera le retour a la case dictature militaire. Mais bon, on a les politiciens qu'on merite. Les Egyptiens ont eu une chance et ils l'ont gachee en donnant le pouvoir au barbus, puis a l'armee. Ca ne pouvait que mal finir. Religion et politique ne font pas bon menage. Armee et politique ne font pas bon menage. Tant qu'une majorite d'Egyptiens continuera a plebisciter des formes de pouvoir moyenageuses -force brute de l'armee ou pouvoir "divin" des barbus -, ils seront condamne a vivre comme au moyen-age.
 
L'Egypte va juger 20 journalistes d'Al-Jazeera.
Les nouvelles autorités n’ont pas apprécié la façon dont Al-Jazeera a couvert la révolution, l’accusant de prendre parti pour les Frères musulmans. Les journalistes sont accusés d'avoir diffusé «de fausses nouvelles».

La diplomatie américaine a eu mercredi des mots particulièrement sévères contre les atteintes selon elle à la liberté de la presse en Egypte, dénonçant avec force le procès à venir de 20 journalistes, dont quatre Occidentaux, de la télévision Al-Jazeera.
- «Le fait que le gouvernement cible des journalistes et d’autres sur des arguments fallacieux est non seulement une erreur, mais fait montre aussi d’un dédain monstrueux pour la protection des droits fondamentaux et des libertés», a déclaré la porte-parole du département d’Etat Jennifer Psaki, en commençant son point de presse quotidien.
- «Nous nous alarmons d’informations faisant état aujourd’hui de nouvelles poursuites contre des journalistes, dont ceux d’Al-Jazeera», a martelé Jennifer Psaki en lisant un communiqué.
- Vingt journalistes du réseau satellitaire Al-Jazeera vont être jugés en Egypte, dont quatre étrangers accusés notamment d’avoir diffusé «de fausses nouvelles», a indiqué mercredi le ministère public. Les seize reporters égyptiens sont accusés d’appartenance à une «organisation terroriste» et d’avoir «porté atteinte à l’unité nationale et la paix sociale», a expliqué le parquet dans un communiqué.
- Les quatre étrangers - deux Britanniques, un Australien et un Néerlandais - sont accusés de «collaboration avec (ces) Egyptiens en leur fournissant de l’argent, des équipements, des informations (...) et d’avoir diffusé de fausses nouvelles visant à informer le monde extérieur que le pays était en guerre civile». Sur les 20 accusés, seuls huit sont détenus, les autres étant recherchés par les autorités. Le parquet n’a pas révélé l’identité de ceux qui sont derrière les barreaux.
- Mais trois journalistes d’Al-Jazeera, l’Australien Peter Greste, l’Egypto-Canadien Mohamed Adel Fahmy et l’Egyptien Baher Mohamed, avaient été arrêtés le 29 décembre dans un hôtel du Caire.
- Le parquet les avait accusés d’entretenir des liens avec les Frères musulmans, considérés comme une organisation terroriste par les autorités, dirigées de facto par l’armée.

Des journalistes déclarés «terroristes»
«Le monde entier sait que les accusations portées contre nos journalistes sont infondées», a déclaré le chaîne basée au Qatar dans un communiqué, en précisant que ses reporters n’avaient pas été informés officiellement des nouvelles mesures judiciaires.

«Ce sont des accusations idiotes qui ne sont basées sur aucune réalité. Ceci est un affront à la liberté d’expression, au droit des journalistes de rapporter différents aspects des événements et au droit de la population de savoir ce qui se passe», a-t-elle ajouté.

Après la destitution du président islamiste Mohamed Morsi le 3 juillet par l’armée, les nouvelles autorités se sont lancées dans une sanglante répression contre ses partisans. Et elles n’ont pas du tout apprécié la façon dont Al-Jazeera a couvert les événements, l’accusant de prendre fait et cause pour les Frères musulmans.

En les déclarant «terroristes», le gouvernement a de fait placé les membres de la confrérie sous le coup d’articles du code pénal qui prévoient la peine de mort pour ses dirigeants et cinq années de prison pour toute personne participant à leurs manifestations.
Source G00gle Zyx
 
L’Égypte étend la « guerre contre le terrorisme » à Gaza.
Le renversement de Mohamed Morsi a eu d’importantes conséquences sur la bande de Gaza et ses dirigeants. D’allié privilégié, le Hamas est, du jour au lendemain, devenu la cible à abattre. La stratégie de l’armée égyptienne consiste à étouffer économiquement le Mouvement de la résistance islamique et à soutenir politiquement ses adversaires. Pourtant, malgré la destruction des tunnels, la politique des généraux égyptiens ne semble pas radicalement différente de celle conduite à l’époque par Hosni Moubarak, qui visait à éviter que l’effondrement du Hamas ne pèse sur la stabilité de l’Égypte.

Depuis la chute de Mohamed Morsi le 3 juillet 2013, les dirigeants du Hamas s’attachent à démentir toute ingérence dans les affaires intérieures de l’Égypte. Ils rappellent le droit des Égyptiens à mettre en œuvre les conditions nécessaires pour assurer leur sécurité et préserver leurs intérêts nationaux. Pourtant, ces mêmes dirigeants avaient déclaré officiellement que le renversement du président Morsi constituait un « coup d’État » (inqilâb) militaire. Face à ces propos contradictoires, le général Abdel Fattah Al-Sissi a choisi de porter un coup sévère au mouvement islamiste palestinien. La destruction de la quasi-totalité des tunnels de contrebande reliant le territoire palestinien à l’Égypte, la fermeture du point de passage de Rafah et l’interdiction formelle de tout déplacement des dirigeants du Hamas constituent autant de mesures témoignant d’une volonté acharnée d’affaiblir, voire renverser le pouvoir actuel à Gaza. (Leïla Seurat)

Suite : http://orientxxi.info/magazine/l-egypte-etend-la-guerre-contre-le,0499
 
Egypte / Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole – 18 février 2014


PARIS, France, 18 février 2014/African Press Organization (APO)/ – Quai d’Orsay – Déclarations du porte-parole – 18 février 2014

Q – Suivez-vous de près l’affaire du journaliste australien emprisonné en Egypte, dont la famille a lancé une pétition ?

R – Nous la suivons attentivement et comprenons les raisons qui ont amené la famille de ce journaliste à lancer cette pétition.

Nous nous sommes exprimés le 30 janvier pour faire part de notre préoccupation concernant l’ouverture du procès de vingt journalistes de la chaîne Al-Jazeera.

Plus généralement, nous sommes vivement préoccupés des menaces et des violences dont sont régulièrement victimes les journalistes exerçant leur métier en Égypte.

La France rappelle son attachement à la liberté d’expression et à la liberté de la presse, en Egypte comme partout dans le monde. Nous continuerons de suivre ce procès avec attention, en liaison avec nos partenaires européens.

SOURCE – Ministry of Foreign Affairs
 
Cela fait bien longtemps que je ne viens plus sur ce poste, mais ce soir, et 9 mois après le coup d’état, le grand héro sissi annonce officiellement qu'il est devenu le président d’Égypte, moi sincèrement, je ne vois pas l’intérêt de faire des élections et perdre encore du temps après ces 9 mois déjà perdus. Le gars, n'a pas fait un coup d’état pour faire plaisir a qui ce que soit, il a fait pour devenir le nouveau mobarak, bien sur, il est depuis 30 juin 2013, mais ce soir tt devient officiel.

Inch'Allah, je prie Dieu, pour qu'il finira décapité en plein public, ou une balle de la tete, bientôt inch'Allah.

Allahoum ma amin.

 
Après les espoirs nés sur la Place Tahrir, où des centaines de milliers de personnes sont descendues dans les rues pour renverser des décennies de dictature, les Égyptiens ont élu démocratiquement les Frères musulmans au pouvoir. Mais l’été dernier, les militaires ont organisé un coup d’État populiste, les partisans des Frères musulmans se sont révoltés et les militaires ont déclaré que le parti était une organisation terroriste avant de réprimer ses membres dans la violence. 16 000 militants pro-démocratie, des journalistes et même des collégiennes ont été arrêtés!

Ce procès était une parodie de justice. Outre les poursuites pour émeutes et destruction de la propriété, les 528 condamnés à mort sont tous accusés du meurtre d’un seul policier, et les avocats de la défense se sont vu refuser l’accès au prononcé du jugement, qui a duré moins d’une heure! Et ceci n’est pas un cas isolé: l’exécutif utilise fréquemment le pouvoir judiciaire pour réprimer les dissidences politiques, alors même que les forces de sécurité accusées du meurtre de centaines de manifestants sont rarement condamnées. Il existe effectivement de vraies menaces pour la sécurité des Égyptiens, mais plus les militaires se montrent durs, plus les intimidations grandissent, plus l’extrémisme se développe.

Il s’agit de la plus sévère condamnation en masse dans l’histoire égyptienne moderne, et ce cas particulier pourrait avoir des répercussions bien au-delà de l’Égypte

https://dub129.mail.live.com/mail/#n=696889047&fid=1&mid=b7fd4be1-b693-11e3-b036-00215ad7e65e&fv=1

mam
 
Aujourd'hui:
Deux explosions (peut être trois) quasi-simultanées ont secoué mercredi le centre du Caire, ont rapporté la télévision d'Etat et des témoins, alors que l'Egypte est régulièrement secoué par des attentats depuis la destitution l'été dernier du président islamiste Mohamed Morsi. Des passants couraient dans tous les sens près des lieux des détonations, tout près de l'université du Caire et du zoo.
 
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