Ça sent « l’unité de la nation » derrière le chef de guerre pour les présidentielles
Il est vrai que pour la majorité du public qui conserve une confiance enfantine en ses dirigeants, en particulier les présidents, l’accusation selon laquelle ils pourraient être commandité pour saborder son propre pays, reste pour lui quelque chose d’inconcevable.
Il n’en est pas moins vrai qu’aujourd’hui, et dans l’objectif de hâter sa prochaine disparition volontaire, les autorités politiques en charge de la France relaient avec zèle, voire même anticipent, l’agenda mondialiste consistant à appauvrir matériellement, physiquement et moralement la plus grande masse des gens peuplant la planète au profit de quelques usurpateurs, véritables escrocs économiques qui ont pris l’ascendant sur les pouvoirs politiques des États.
À sa décharge, disons que les prédécesseurs de Macron ne valaient pas mieux que lui. Rappelons que la France a eu notamment Georges Pompidou, et que c’est sous son gouvernement, et avec l’aide du ministre de l’Économie et des Finances d’alors (Valérie Giscard d’Estaing, futur Président) que la loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France, appelée aussi « loi Pompidou-Giscard » ou encore « loi Pompidou-Giscard-Rothschild », a été mise en vigueur. C’est cette loi qui est à l’origine de l’augmentation exponentielle de la dette et qui permet, sur le modèle de l’alchimie, de transformer les richesses publiques en richesses privées.
Remarquons que, comme Macron, Georges Pompidou a travaillé à la banque Rothschild avant de devenir Président de la République française : on le voit, le véritable pouvoir, en France du moins, n’a guère évolué en 50 ans.