Je pense que c'est aux dirigeants corrompus et assassins de leur peuple de le faire car ils risquent d'être jugés !
Vu que derrière cette farce macabre, il y a des metteurs en scène, il faut imaginer que les dirigeants de chaque pays avaient une feuille de route, des objectifs à atteindre.
Dans les annales de ces temps là, on peut lire ce qui suit :
" Chaque tribu devait contribuer à la grande cérémonie sacrificielle en offrant son lot d’agneaux, de brebis, de moutons et béliers préalablement fixé en fonction de son statut présent dans l’organisation et de ses ambitions. Pour le grand nombre, le dieu auquel était offert le sacrifice n’avait pas de nom. Chacun était fait à son image et il était interdit de le représenter. Quand les gens prenaient la peine de se regarder, il apparaissait à certains qu’ils étaient tous différents mais ils acceptaient ce que disaient les grands prêtres puisqu’ils avaient été choisis, élus par le dieu lui-même, ils ne pouvaient pas se tromper. Du reste le grand nombre était tenu de croire que les sacrifices étaient des pratiques barbares dignes des temps obscurs.
Un classement des tribus les plus prodigues et des récompenses et bénédictions du Saint-Père au double masques, l’un blanc et souriant, l’autre rouge et grimaçant, avait été établi et tenu secret.
Certains firent remarquer que certaines tribus avaient de manière évidente une motivation bien plus affirmée que d’autres et proposèrent de mettre dans le groupe de tête les tribus suivantes : La Nouvelle Zélande, l’Australie, le Canada, l’Autriche, la Belgique, la France, le Pays bas, l’Angleterre, les US, le Portugal, Israël, l’Espagne.
Des hérétiques dignes du bûcher osèrent noter que toutes ces tribus se comportent comme des parasites tueuses depuis 500 ans et seraient bien embêter de n’avoir plus de sang à sucer et que c’est pour maintenir leur emprise maléfique sur le monde que ce premier grand rituel a été organisé à l’échelle de la planète. "
Certains pessimistes ou réalistes, se référant à Albert Camus, disent » Le virus de la peste ne meurt pas. Il vit dans les petits papiers » attendant son heure.
D’autres, rêveurs optimistes ? peut-être, disent : On trouvera les donneurs d’ordre où qu’ils se trouvent, on les pendra jusqu’au dernier.