LA PROTÉINE SPIKE VACCINALE RETROUVÉE PLUS DE DEUX ANS APRÈS L'INJECTION : TRANSCRIPTION DANS LE GÉNOME?
L'étude américaine LISTEN avait pour but d'étudier les effets indésirables graves des injections. Mais l'un des constats est que des personnes ont encore des taux très élevés de protéine Spike plus de deux ans après leur injection.
Les tests d'anticorps montrent que ces personnes n'ont jamais été infectées par le covid. Alors que le système immunitaire détruit rapidement les protéines spike nouvellement produites, cette découverte suggère que certaines personnes qui se sont fait vacciner pourraient fabriquer ces protéines par elles-mêmes.
La principale hypothèse est que le matériel génétique contenu dans les injections s'est intégré au génome, si bien que nos cellules continuent de produire des protéines. Si cela s'avère exact, cette explication a de sérieuses implications pour la sécurité des vaccins ARNm et pour les milliards de personnes injectées.
Cette étude n'a pas encore prouvé la transcription de l'ARNm vaccinal dans le génome mais il est important de rappeler qu'une
étude italienne l'a déjà démontré. Les auteurs constataient que 2% des “vaccinés” (sur un échantillon de 95 personnes souffrant de COVID long) ont la séquence de la production de la protéine Spike “vaccinale” dans leur génome.
Ils sont donc condamnés à produire ad vitam æternam de la spike, une protéine toxique, rappelons-le, qui entraine bon nombre de pathologies.
Voilà qui expliquerait l'explosion des covid longs depuis 2021.
Il est intéressant de noter que la chercheuse principale est une "scientifique de renom" qui avait défendu ardemment les injections ARNm. Celle-ci,
le Dr Akiko Iwasaki, est une ancienne présidente de l'Association américaine des immunologistes. En mai 2021, elle avait déclaré au
Washington Post que les inquiétudes concernant les injections d'ARNm étaient « absurdes » et a ajouté qu'« aucun problème de sécurité » n'avait été constaté lors des essais cliniques. Elle a par la suite signé une
lettre en faveur de l'obligation de vaccins Covid.
Contactée au sujet de ces résultats troublants, elle n'a pas contesté le fait que son équipe avait trouvé des preuves persistantes de la présence de protéines de pointe chez des participants qui avaient été vaccinés alors qu'ils n'avaient jamais été infectés. « Nous travaillons d'arrache-pied pour finaliser notre étude et la publier sur un serveur de prépublication », a-t-elle écrit.
On a hâte de lire ça!