Sandra Badie, multi-médaillée nationale et mondiale en ju-jitsu, licenciée au club de Soumoulou (Pyrénées-Atlantiques) est décédée ce vendredi d’un arrêt cardiaque. Elle avait 31 ans.
La championne béarnaise préparait les prochains championnats du monde de la discipline qui devaient se tenir à la mi-juillet.
Sportive accomplie, Sandra Badie ne présentait aucune “comorbidité” permettant d’expliquer l’accident cardiaque qui l’a emportée.
En revanche, Sandra Badie était “vaccinée” contre le Covid…
Selon cet article : “la cardiotoxicité des injections de vaccins géniques est aujourd’hui avérée”
Selon la revue MedCheck – pourtant sponsorisée par Pfizer – : « La vaccination COVID-19 est étroitement associée au risque de décès de causes cardiovasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE »
Les auteurs évoquent « un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans, 7 fois plus après ajustement en fonction du sexe ».
La Food and Drug Administration (FDA) elle-même a reconnu dans son rapport d’évaluation de la demande d’autorisation du booster Comirnaty (Pfizer) l’existence de « risques graves de myocardite et de péricardite suite à l’administration de la série primaire (dose 1 et dose 2) de BNT162b2 », et n’exclut pas des « séquelles potentielles à long terme »
« La protéine Spike peut affecter les cellules endothéliales (pulmonaires et vasculaires) et provoquer des lésions vasculaires et cérébrales gravissimes »
Les preuves sont aujourd’hui accablantes au point que le ministère japonais de la Santé a exigé en décembre dernier des laboratoires qu’ils inscrivent ce risque dans la liste des effets secondaires graves fréquents.
La championne béarnaise préparait les prochains championnats du monde de la discipline qui devaient se tenir à la mi-juillet.
Sportive accomplie, Sandra Badie ne présentait aucune “comorbidité” permettant d’expliquer l’accident cardiaque qui l’a emportée.
En revanche, Sandra Badie était “vaccinée” contre le Covid…
Selon cet article : “la cardiotoxicité des injections de vaccins géniques est aujourd’hui avérée”
Selon la revue MedCheck – pourtant sponsorisée par Pfizer – : « La vaccination COVID-19 est étroitement associée au risque de décès de causes cardiovasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE »
Les auteurs évoquent « un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans, 7 fois plus après ajustement en fonction du sexe ».
La Food and Drug Administration (FDA) elle-même a reconnu dans son rapport d’évaluation de la demande d’autorisation du booster Comirnaty (Pfizer) l’existence de « risques graves de myocardite et de péricardite suite à l’administration de la série primaire (dose 1 et dose 2) de BNT162b2 », et n’exclut pas des « séquelles potentielles à long terme »
« La protéine Spike peut affecter les cellules endothéliales (pulmonaires et vasculaires) et provoquer des lésions vasculaires et cérébrales gravissimes »
Les preuves sont aujourd’hui accablantes au point que le ministère japonais de la Santé a exigé en décembre dernier des laboratoires qu’ils inscrivent ce risque dans la liste des effets secondaires graves fréquents.