zouzoubida
souwel 9elbek igoullik...
C'est pas du vrai vouvoiement.. c'est just for the fun
ah ok, et tu t'amuses bien ?
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C'est pas du vrai vouvoiement.. c'est just for the fun
Faux... je suis tout autant raciste que toi... quand l'occasion se présente et que la personne en face l'est.
cela ne m'empêche pas non plus d'aimer le Maroc, les marocains, les marocaines, le couscous, les tagines et bien plus.... ce n'est pas limitatif... pas du tout ... ne t'en déplaise.
ah ok, et tu t'amuses bien ?
En général oui. Si non cela ferait belle lurette que j'aurais quitté ces lieux
Tenez pour qui voudra bien lire s'il lit l'espagnol, si non google est de mise :
http://www.abc.es/historico-opinion/index.asp?ff=20070726&idn=164118988907
Je me suis bien amusé en le lisant voici un extrait
Y cuantos topónimos se apelliden Matamoros, deberán, púdicamente, denominarse Matamagrebíes o Matamusulmanes, para que quede constancia de nuestra crueldad y proclividad a sevicias y crímenes, aunque aprovecho la ocasión para dar un disgusto a los gurús de nuestra cultura presente -que van mundo adelante repitiendo que en esos lugares se mataban moros- informándoles de que Matamoros sólo es «Mata de los Moros», ¿o es que en Matallana mataban llanas y en Matagorda gordas? Y el muy musulmán -y terrorista- Frente Moro de Filipinas, afine el título y hágase otra fiestecita de Subú´ para cambiarse la marca y adoptar el mucho más apropiado nombre de Frente Magrebí de Liberación y etcétera.
(oui je sais ABC est un journal de droite... ceci explique sans doute cela ? )
et comme l'exemple qui m'est propre et que j'ai raconté (on me l'a reproché de raconter ma vie aussi...) est similaire a celui ci dans le site islamisant sans discussion aucune http://www.webislam.com/?idt=11468 je vous invite aussi a le lire -ou le traduire en googlant- et peut être que vous comprendrez enfin que "moro" n'est pas toujours ce que l'on veut y voir derrière.
Bonne lecture
nwidiya ne raconter pas n'importe koi ! "moro" n'a jamais voulu dire "Bougnoules" ! sa veut dire musulman ou maures ! alors aprenez donc l'espagnol corectement si possible, au lieu de dire des aneries ! et aprenez aussi l'allemand car se sont les allemand ki apelé les francais ainsi pendant la seconde guerre mondial ! demandez leur se que sa veut dire exactement ! verifier les traduction alevenir avec un dictionnaires si vous pouvez pas aprendre les langues etrangères ! je suis espagnol je vis en espagne et je sais ce que veut dire "moros".le maire de tenerife a tenu des propos extrêmement racistes envers les marocains
les insultant de bougnoules
nwidiya ne raconter pas n'importe koi ! "moro" n'a jamais voulu dire "Bougnoules" ! sa veut dire musulman ou maures ! alors aprenez donc l'espagnol corectement si possible, au lieu de dire des aneries ! et aprenez aussi l'allemand car se sont les allemand ki apelé les francais ainsi pendant la seconde guerre mondial ! demandez leur se que sa veut dire exactement ! verifier les traduction alevenir avec un dictionnaires si vous pouvez pas aprendre les langues etrangères ! je suis espagnol je vis en espagne et je sais ce que veut dire "moros".
BSA7TEK!
mabrouk aalik
il y a du soleil en ce moment?
La prouchaine fois, je te mettre une fessée, parole de mora
Las palabras de Valencia tuvieron en seguida reflejo en el propio cónclave y el presidente insular de CC, Javier González Ortiz, hizo esfuerzos por moderar el efecto de lo dicho por el alcalde villero. Según señaló, Valencia sólo había tratado de expresar la «vulnerabilidad» de Canarias «en un momento determinado» e insistir en las reclamaciones que la formación política ha venido haciendo al Estado respecto a la inmigración irregular. González Ortiz indicó que el Archipiélago está «absolutamente desprotegido» debido a «la dejación» del Estado, que «deja mucho que desear» en la custodia de las costas canarias, adonde llegan de continuo «pateras que ni siquiera son avistadas». Por otra parte, el presidente insular, que busca la reelección en el congreso que finaliza hoy, consideró prudente «no entrar más en esa polémica, porque más de uno la utilizará».
non
foie de morue
A part ça, j'ai vécu 5 ans en France et 3 ans en Espagne (Je vis encore en Espagne), et donc je connais les deux pays.
La différence entre les espagnols et les Français, c'est que les premiers sont beaucoups plus honnêtes et moins hypocrites que leurs voisins du nord. Donc un raciste espagnol est raciste de la tête aux pieds, et ne cherche jamais à le cacher. Le Français, non, il est plus diplomatique, plus subtil et plus politiquement correct. Il peut voter PS, se déclarer contre le racisme et l'intolérance, et au même temps, écarter les CVs des "bougnoules" car au fond ils ne fait pas confiance à l'intélligence et la capacité de travail de l'arabe.
Générallement, selon mes expériences, l'Espagnol es plus "élitiste" (clasista) que raciste. Si tu es un arabe instruit, aisé et "occidentalisé", tu te feras respecter. Si tu es un clando analphabète, sorti directemment d'un douar marocain, on te méprisera.
Les Français par contre sont des vrais racistes de pur sang, tu ne seras jamais l'égale du Français Gaulois quoique tu fasses.
Mais, les espagnols ne méprisent-ils pas les français à la base....alors imagines un français d'origine maghrébine....
A part ça, j'ai vécu 5 ans en France et 3 ans en Espagne (Je vis encore en Espagne), et donc je connais les deux pays.
La différence entre les espagnols et les Français, c'est que les premiers sont beaucoups plus honnêtes et moins hypocrites que leurs voisins du nord. Donc un raciste espagnol est raciste de la tête aux pieds, et ne cherche jamais à le cacher. Le Français, non, il est plus diplomatique, plus subtil et plus politiquement correct. Il peut voter PS, se déclarer contre le racisme et l'intolérance, et au même temps, écarter les CVs des "bougnoules" car au fond ils ne fait pas confiance à l'intélligence et la capacité de travail de l'arabe.
Générallement, selon mes expériences, l'Espagnol es plus "élitiste" (clasista) que raciste. Si tu es un arabe instruit, aisé et "occidentalisé", tu te feras respecter. Si tu es un clando analphabète, sorti directemment d'un douar marocain, on te méprisera.
Les Français par contre sont des vrais racistes de pur sang, tu ne seras jamais l'égale du Français Gaulois quoique tu fasses.
Rajoute que dans les lieux d'émigration et de travail -officiel ou clandestin- les espagnols ont constaté qu'il y a toujours pratiquement des problèmes avec les maghrébins... a tort ou a raison tout le monde ensuite est classé dans le même "epigrafe".
D'ailleurs bien de donneurs de travail sur les champs ou sous le plastique des serres préfère depuis un certain temps embaucher des sub-sahariens ou des personnes de l'Est... qui présentent moins de problèmes selon eux.
Il n'y a jamais de fumée sans feu... c'est une constante partout
Je suis totalement daccord avec toi. Cest un sujet sensible mais il faut bien mettre les points sur les i. Si les Marocains sont méprisés en Espagne (et ailleurs) cest quils le méritent, désolé mais cest la pure réalité. Ici il ya des subsahariens, des Roumains, des pakistanais, des sud-américains, des gens de tous les pays, mais les seuls qui foutent le bordel ce sont toujours les marocains (et les gitans Roumains). Et cest dommage, car à la fin on met tout le monde dans le même sac, et tu dois faire beaucoup defforts pour quon te traite comme un individu et non comme un membre dune communauté stigmatisée. Dailleurs même les subsahariens, les pakistanais et les sud-américains sont « racistes » vis-à-vis les Marocains. Donc avant de crier « racisme ! » il faut faire un petit peu dautocritique
il ne faut pas non plus généraliser......c'est qu'une petite minorité de personnes qui "fout" la *****, et ensuite vous stigmatiser toute la communauté! ce qui n'arrange pas les choses
El racismo en las escuelas se ceba *** los musulmanes
Un estudio revela que los gitanos ya no son los más rechazados entre los alumnos
Por primera vez después de siglos, los gitanos no son el colectivo que más sufre el racismo en la escuela. Ahora son los marroquíes. Lo llevan siendo desde el año 2002, después de los atentados del 11-S contra las Torres Gemelas en Nueva York, según la encuesta escolar sobre racismo que elabora desde 1986 el Centro de Estudios sobre Migraciones y Racismo (CEMIRA) de la Universidad Complutense.
Por primera vez después de siglos, los gitanos no son el colectivo que más sufre el racismo en la escuela. Ahora son los marroquíes. Lo llevan siendo desde el año 2002, después de los atentados del 11-S contra las Torres Gemelas en Nueva York, según la encuesta escolar sobre racismo que elabora desde 1986 el Centro de Estudios sobre Migraciones y Racismo (CEMIRA) de la Universidad Complutense. Aquel año, los resultados de la encuesta no se publicaron "para no echar más leña al fuego, porque revelaban una islamofobia brutal", afirma Tomás Calvo Buezas, antropólogo y director del CEMIRA. La encuesta se volvió a repetir en 2004, pero no fue publicada. Ahora -año 2008- que la fuerza del rechazo ha disminuido, el CEMIRA hace públicos los datos de las tres encuestas hechas entre chavales españoles de 13 a 19 años.
Los resultados de 2008 revelan que ese racismo visceral se ha reducido. Mientras que en 2002 un 48,6% de los chavales afirmaron que echarían a los marroquíes de España, seis años después la cifra se ha reducido al 39,1%. En otras preguntas, la islamofobia se mantiene: el año del 11-S, el 23,7% afirmó que le molestaría tener a un marroquí como compañero de clase, y en 2008 respondió lo mismo el 23,1%.
El 11-M
Lo sorprendente es que, cuando dos años después del 11-S, el terrorismo islamista azotó la capital de España, el 11 de marzo de 2004, los niños no respondieron *** más odio. La fobia no creció e incluso se rebajó algunos puntos. "Sucedió gracias a una pedagogía muy eficaz. Tanto en las manifestaciones como en los medios de comunicación se creó un discurso correcto: 'Terroristas no / inmigrantes sí'. Un discurso del que, además, ya había un antecedente en España: 'Vascos sí, ETA no'. La disociación entre terroristas e inmigrantes ha dado sus frutos positivos". Abdennur Prado (jefe de la comunidad musulmana de Cataluña) asegura que el crecimiento del rechazo hacia los musulmanes "es una bola". "Si no se hace algo para evitarlo va a estallar. Es necesario seguir las recomendaciones de la Unión Europea, que ha aconsejado realizar campañas entre menores y mayores para prevenir la islamofobia".
Los gitanos son ahora los segundos más repudiados. Durante cinco siglos han sido el grupo que sufría más y "pese a ser españoles, también han padecido el auge del rechazo en el mismo paquete imaginario de los inmigrantes", asegura Calvo Buezas. Aunque la xenofobia contra ellos ha decrecido, siguen manteniéndose niveles muy altos de recelo. En 2002, un 32% de los niños respondió que echaría de España a los gitanos (frente a un 48,6% que echaría a los marroquíes). En 2004 respondieron que les expulsarían el 29,5%, y en 2008 el 27,4%.
Mónica Chamorro González, responsable del área de educación de la Fundación Secretariado Gitano, asegura que, en general, sí han notado que el rechazo hacia los gitanos ha disminuido. Aunque puntualiza: "Es un dato que varía mucho entre los distintos barrios y colegios". Aun así, opina que el hecho de "que haya crecido el racismo hacia los musulmanes no significa necesariamente que haya menos rechazo hacia los gitanos. Hay mucho trabajo por hacer. Muchas veces, como los gitanos tienen un nivel más bajo a consecuencia de su elevado absentismo escolar, se les mete en las clases de educación compensatoria sin hacerles ningún examen previo. Esa actitud es un error porque su permanencia en grupos segregados continúa estigmatizándoles".
El rechazo a los latinoamericanos es el que más ha crecido: de un 15% de adolescentes que les echaría de España en 2002, a un 24,7% en 2008. En 1986, el primer año que se hizo la encuesta, tan sólo un 4,2% quería expulsarles. La animadversión hacia ellos ha crecido en 2008 en todos los indicadores: casarse *** un latino, compartir pupitre *** uno de ellos, echarles del país... "Los que antiguamente veíamos como nuestros hermanos latinos hoy ocupan el tercer puesto del rechazo, detrás de los marroquíes y de los gitanos. El amor romántico y fraternal de antaño se ha roto", ratifica Calvo Buezas. Sin embargo, el profesor opina que "aún quedan brasas ardientes de similitud en la lengua, en la religión, en la historia y en la cultura que darán sus frutos positivos como el mayor mestizaje y la mayor adaptación de sus hijos".
Los latinos son el ejemplo de lo que está pasando *** todos los grupos: cuando llegan los primeros colectivos, crece el racismo hacia ellos, pero luego el rechazo no aumenta exponencialmente conforme van llegando más inmigrantes. (Véase gráfico).
Después de los latinoamericanos, el rechazo a los asiáticos se mantiene. En 2002, un 25,8% les hubiera expulsado; en 2008, un 23%. "Siempre han ocupado niveles medios de xenofobia. Su variación, al alza o a la baja, suele coincidir *** los niveles generales de rechazo a la inmigración". Los negros de África son los quintos en la ignominiosa clasificación. Ellos también han experimentado un notable aumento de la xenofobia desde la primera encuesta, hace ya 22 años. Entonces, un 4,2% les hubiera expulsado; en 2002, un 26,7%, y en 2008, un 21,6%. "En los primeros años no eran visibles y se tenía hacia ellos un sentimiento compasivo", asegura el antropólogo.
Los judíos ocupan un nivel de rechazo muy bajo (un 18,8%), sobre todo si comparamos este dato *** los resultados que una encuesta internacional arrojaba sobre el sentimiento hacia los judíos entre los adultos. El trabajo, elaborado por el centro de investigación estadounidense Pew Center, reveló este año que eran los segundos más odiados. Según esa encuesta, el 52% de los españoles rechaza a los musulmanes y el 46% a los judíos.
Pero más allá de todo esto, el CEMIRA señala *** preocupación que entre los escolares está creciendo "muy peligrosamente" una "estigmatización, criminalización y satanización" de los inmigrantes sin papeles, lo que responde al discurso reinante en los medios y en la calle, dicen las conclusiones de la encuesta. "Se están convirtiendo en chivos expiatorios y son etiquetados como apestados", asegura Calvo Buezas. Si en 1999 el 33,5% de los chavales afirmaba que todos los inmigrantes irregulares debían regresar a sus países, ahora lo dice el 52,8%. Esta agresividad contra los sin papeles se ve más claramente en las redacciones y en los dibujos que les piden a los alumnos al final del cuestionario. Un mayoritario 79,2% (frente a un 17,9%) opina que los inmigrantes regularizados tienen los mismos derechos que los españoles.
¿Estamos a tiempo de combatir el racismo y la xenofobia en los colegios? El profesor Calvo Buezas cree que sí, siempre que en las aulas se fomenten "los valores de hospitalidad y solidaridad". "Hay que tener en cuenta que el racista se hace, no nace. Pero también el solidario. Por eso tenemos que introducir valores nuevos sin descuidar los que ya teníamos", añade. El segundo punto clave, asegura, es la reciprocidad: "La solidaridad tiene que ser una carretera de doble vía para que esto funcione".
il ne faut pas non plus généraliser......c'est qu'une petite minorité de personnes qui "fout" la *****, et ensuite vous stigmatiser toute la communauté! ce qui n'arrange pas les choses
La facilité. Toujours parler de minorité histoire d'éviter de faire son auto critique. J'ai vécu à Marseille et Paris. J'ai bossé dans d'autres villes de France. Je peux te dire que les minorités sont assez fortiches alors. Parce qu'une cité marseillaise, parisienne ou lyonnaise c'est tjs la même chose. C'est sale, ça vole, ça fout le bordel. Et on dit toujours que c'est la faute d'une minorité.
Fais un tour à la Poste les jours des allocations. Y'a tjs le bordel. La faute à qui ? A une minorité. Si les arabes ont une mauvaise réputation en France, en espagne et en Italie c'est pas pour rien. Mais on trouve toujours la parade "c'est pas nous, c'est une minorité".
Et qu'on ne me parle pas de racisme des français ou des espagnols parce que je ne connais pas plus raciste qu'un arabe (vis à vis des blancs, des noirs, des juifs...).
On cherche à se faire passer pour des victimes en trouvant des excuses mais on n'est pas mieux que les autres. Le pire, c'est qu'on ne fait aucun effort. Plus ça va mal, plus on s'enfonce.
J'ai quitté ma cité grâce à une meilleure situation. J'y retourne parfois pour voir des amis. C'est devenu la jungle avec les odeurs de pisse, les boites à lettres pétées, les carcasses de bagnoles sur le parking, les détritus dans les escaliers.... La différence entre ma cité d'il y a une quinzaine d'années et aujourd'hui ? Une population arabe qui a augmenté. Autrefois, on comptait le nombre de famille arabe sur les doigts d'une main. Maintenant c'est les "français" qui sont en voie d'extinction et c'est le lot de l'ensemble des cités des quartiers nord de Marseille.
Les gens n'ont aucune éducation, les parents sont en très grande majorité illettrés mais dans l'ensemble, ils aiment vivre dans la ***** puisqu'ils passent leur temps à en produire.
Mais c'est la faute à qui ? D'une minorité et du racisme des autres.
Non mais tu me parles de réussites qui sont toujours exceptionnelles. Je viens d'une cité où les diplômés se comptent sur les doigts d'une main. Le reste ? Des smicards, des rmistes, des magouilleurs..... Tu es ce que tu es aujourd'hui par rapport aux efforts que tu as fais hier. On récolte ce que l'on sème et je ne suis pas là pour les blâmer car chacun mène sa vie comme il l'entend.
En France, tu as des aides de l'Etat, tu as l'école gratuite, tu peux recevoir des bourses et pourtant le taux de chômage et d'échec scolaire dans les quartiers populaires sont élevés.
Je fais la différence entre un mec qui vit à Beni makada à Tanger et un autre qui vit dans une cité française. Au Maroc, si tu n'es pas issu d'une famille qui a un peu de moyens, il te sera difficile d'y faire ton trou. Rien n'est impossible mais la pente sera plus dure à grimper. En france, tu as la possibilité de la grimper mais certains aiment devenir de véritables oisillons, la bouche ouverte en attendant que la société fasse quelque chose.
Ca passe son temps à trouver les coupables ailleurs sans faire le moindre travail d'autocritique. Il y a un Pierre, Paul ou Jacques qui demande à des jeunes de faire moins de bruit et dans 90% des cas, tu entends quoi ? "oh le voisin du 4iem, c'est un raciste".
Tous les jeunes de ma cité qui foutent rien de leur vie, ont tous arrêté l'école avant la 3iem. Ils n'ont jamais déposé de CV de leur vie et quand tu leur dis de faire l'effort de trouver un boulot, ils te répondent "trop de racisme au boulot, ils préfèrent prendre des français".
S'ils veulent vivre comme ça, cela ne me regarde pas. Comme je l'ai dit, chacun construit sa propre vie.
Même les marocains ou les algériens qui sont restés au pays ont souvent une mauvaise image des français d'origine maghrébine et pourtant, personne ici ne fait l'effort de se poser les bonnes questions.
Quand je vois mes voisins libanais qui sont venus en France dans les années 80 sans parler le français et qui ont quitté la cité avec un boulot en poche et que je vois d'autres amis d'enfance trainant leur âme devant le hall d'entrée et à se chercher toujours des excuses....