voila un article qui montre ce que feront les islamistes une fois arrivé au Pouvoir au Maroc
http://www.telquel-online.com/300/maroc1_300.shtml
Événement.
Choquant ! La chasse à l’homo
(AL MASSAE)
Au départ, une soirée privée à Ksar El Kebir, et des rumeurs malsaines… à l'arrivée, des émeutes populaires, des vies brisées, et un scandale national.
Ksar El Kébir n'a probablement jamais été autant médiatisée qu'en 2007. En l'espace de sept mois à peine, cette ville de 100 000 habitants (d'après les statistiques de 2004), nichée à mi-chemin entre Rabat et Tanger, mais restée à la marge de l'axe autoroutier qui sépare les deux villes, a eu les honneurs de l'actualité nationale. Le 1er mai 2007, déjà, des militants des droits de l'homme y ont été
interpellés et poursuivis en justice pour “slogans (proférés en public) portant atteinte aux valeurs sacrées”. Résultat : cinq hommes, tous membres de la section locale de l'AMDH, ont été condamnés à 3 ans de prison ferme. Une peine révisée à la hausse en appel (4 ans) qu'ils ont commencé par purger à Ksar El Kébir même, avant d'être transférés à la prison voisine de Souk El Arbaâ, toujours dans le Gharb.
Et voilà donc que, sept mois plus tard, Ksar El Kébir revient à l'actualité. Le décor est globalement resté le même : manifestations publiques, interpellations, participation active de la section locale de l'AMDH. “Seul” l'enjeu a changé : les manifestants, cette fois, n'ont pas pointé le chômage et la corruption supposée de nos gouvernants, ils ont choisi de décréter une gigantesque chasse à l'homo.
Tout a commencé le 19 novembre quand F. (on l'appellera ainsi pour éviter de dévoiler sa véritable identité comme cela a été, hélas, fait par une partie de nos confrères de la presse écrite), une célébrité locale, connu pour ses activités de “guerrab”, a décidé d'organiser une soirée privée dans une maison du quartier populaire de Hay Diwan, habituellement réservée aux célébrations de mariages. La “party” ne passe pas inaperçue.
“F. n'a pas la réputation d'un saint homme, plutôt celle d'un libertin dont les moindres faits et gestes sont épiés par tout Ksar El Kébir”, nous explique cette source locale. La soirée du 19 novembre a, en plus, quelque chose de particulier : elle ressemble à une cérémonie rituelle, avec animation gnaouie et, poussé sur la piste de danse, un homme… déguisé en femme.
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