Israël entre manifestations sociales et stabilité économique, un avenir incertain
Depuis plusieurs années les gouvernements semblent avoir davantage misé sur la stabilité économique que sur la politique sociale.
Après une phase de ralentissement économique en 2009, la croissance économique israélienne a repris dans le courant de l’année 2010 pour atteindre 7,8% au quatrième trimestre 2010. Une nette accélération qui, selon le Bureau central des statistiques, a porté la croissance pour l’année 2010 à 4,5%, soit une moyenne très supérieure à celle des pays de l’OCDE (+2,8%), organisation qu’Israël a intégré en 2010.
En janvier 2011, le FMI a même salué les « fondamentaux robustes » et la « résilience » de l’économie israélienne. Selon les experts, 2011 serait une bonne année pour l’économie israélienne. La croissance du PIB restera forte (+ 3,8%), les déficits réduits (3% du PIB), le chômage contenu (à 5,5%), et l’inflation maîtrisée, avec des réserves en devises étrangères atteignant un record de 74 milliards de dollars (contre 70,9 milliards en 2010).
Ainsi, c’est avec une économie nationale tirée par une consommation privée dynamique, un niveau élevé d’investissement dans les entreprises et des exportations en augmentation, qu’Israël a résisté à la récession mondiale et jouit aujourd’hui du niveau de vie le plus élevé de la région.
Le gouvernement a su consolider son économie sur le long terme en investissant dans la recherche, le développement et les infrastructures.
http://www.guysen.com/article_Israe...ite-economique-un-avenir-incertain_16243.html
Depuis plusieurs années les gouvernements semblent avoir davantage misé sur la stabilité économique que sur la politique sociale.
Après une phase de ralentissement économique en 2009, la croissance économique israélienne a repris dans le courant de l’année 2010 pour atteindre 7,8% au quatrième trimestre 2010. Une nette accélération qui, selon le Bureau central des statistiques, a porté la croissance pour l’année 2010 à 4,5%, soit une moyenne très supérieure à celle des pays de l’OCDE (+2,8%), organisation qu’Israël a intégré en 2010.
En janvier 2011, le FMI a même salué les « fondamentaux robustes » et la « résilience » de l’économie israélienne. Selon les experts, 2011 serait une bonne année pour l’économie israélienne. La croissance du PIB restera forte (+ 3,8%), les déficits réduits (3% du PIB), le chômage contenu (à 5,5%), et l’inflation maîtrisée, avec des réserves en devises étrangères atteignant un record de 74 milliards de dollars (contre 70,9 milliards en 2010).
Ainsi, c’est avec une économie nationale tirée par une consommation privée dynamique, un niveau élevé d’investissement dans les entreprises et des exportations en augmentation, qu’Israël a résisté à la récession mondiale et jouit aujourd’hui du niveau de vie le plus élevé de la région.
Le gouvernement a su consolider son économie sur le long terme en investissant dans la recherche, le développement et les infrastructures.
http://www.guysen.com/article_Israe...ite-economique-un-avenir-incertain_16243.html