Jésus est venu uniquement pour les brebis égarées d'Israël. Il y a des ajouts tardifs qui le montrent comme ayant radicalement changé d'objectif, mais ses paroles retenues de son vivant sont formels. Il commande les apôtres de ne pas aller chez les samaritains et les publicains. Mais uniquement chez les israélites... La parole "allez au nom du Père, du Fils et du Saint-esprit" est un anachronisme, qui ne se retrouve que dans un seul manuscrit tardif. Et qui contredit les paroles de Jésus.
Certains prosélythes chrétiens considèrent la scène avec la femme qui le supplie de guérir son enfant comme une ouverture aux païens. "Femme ta foi est grande". Cela signifie que Jésus tolère la foi de la femme, mais il reffuse de l'appeler au Seigneur, et dit clairement qu'on ne jète pas le pain des petits enfants aux chiots... Même la parole du centurion "Celui-ci était vraiment un Juste" est interprété comme la tolérance de Jésus et une conversion agréée. Ce qui est absurde, puisque Jésus est sensé à ce moment être mort sur la croix.
Jésus est formel, il est venu exclusivement pour les brebis égarées du peuple d'Israël, a interdit aux apôtres d'aller chez les samaritains et les publicains. Plus encore, il considérait les samaritains et même le Temple comme impur. Certains ont vus en lui un essénien, voire un zélote révolutionnaire.
Certains prosélythes chrétiens considèrent la scène avec la femme qui le supplie de guérir son enfant comme une ouverture aux païens. "Femme ta foi est grande". Cela signifie que Jésus tolère la foi de la femme, mais il reffuse de l'appeler au Seigneur, et dit clairement qu'on ne jète pas le pain des petits enfants aux chiots... Même la parole du centurion "Celui-ci était vraiment un Juste" est interprété comme la tolérance de Jésus et une conversion agréée. Ce qui est absurde, puisque Jésus est sensé à ce moment être mort sur la croix.
Jésus est formel, il est venu exclusivement pour les brebis égarées du peuple d'Israël, a interdit aux apôtres d'aller chez les samaritains et les publicains. Plus encore, il considérait les samaritains et même le Temple comme impur. Certains ont vus en lui un essénien, voire un zélote révolutionnaire.