les sauver de l'enfer et du châtiment d'ALLAH 3WJ!!!
pour ce faire ils ne doivent en aucun cas associer à Dieu n'importe quelle divinité aussi "importante" soit-elle!!!
mais peut-être que les chrétiens ne pensent pas comme moi , ...éclairez-nous s'il vous plaît!!!
Selon Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit :
*Ce jour-là, un héraut viendra crier :
-"Que chaque communauté suive ce qu'elle adorait".
Ainsi ceux qui associaient une autre divinité à Dieu en vouant un culte aux fétiches ou aux pierres dressées, seront tous précipités au Feu. Il ne restera que ceux qui adoraient Dieu, pieux ou pervers soient-ils, et les restants des gens du Livre (qui ont suivi la religion non-interpolée révélée à leurs Prophètes).
-On dira aux juifs :
"Qu'adoriez-vous?".
- "Nous adorions, répondront-ils, 'Uzayr, le fils de Dieu".
- "Vous mentez, répondra-t-on, Dieu n'a ni compagne ni enfant. Que désirez-vous?".
- "Nous avons soif, ô Seigneur. Donne-nous à boire", répondront-ils.
- "Eh bien, buvez", leur sera-t-il dit. Et alors ils seront précipités d'affilée en Enfer qui s'étendra devant eux comme un mirage.
*On s'adressera ensuite aux chrétiens et on leur dira :
"Qu'adoriez-vous?"
- "Nous adorions, répondront
-ils, le Messie, fils de Dieu".
- "Vous mentez, leur répondra-t-on, Dieu n'a ni compagne ni enfant. Que désirez-vous?".
- "Nous avons soif, ô Seigneur. Donne-nous à boire", répondront-ils.
-"Eh bien buvez", leur sera-t-il dit. Et alors ils seront précipités d'affilée en Enfer qui s'étendra devant eux comme un mirage. (Mouslim n°269)
Quand aux gens de la Géhenne, une fois arrivés, ils s'arrêteront devant ses portes, dans un état de tristesse et d'angoisse impressionnant. Puis les portes s'ouvriront. A leurs malheurs s'ajouteront les blâmes des gardiens de la Géhenne qui les feront pleurer quand ils diront : "Des messagers [choisis] parmi vous ne vous sont-ils pas venus vous récitant les versets de votre Seigneur et vous avertissant de la rencontre de votre jour que voici?"
Ils avoueront :
" Oui, en effet ".